Melih Basaran

Galatasaray Üniversitesi, Felsefe, Emeritus

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Writer, french speaker, thinker, filmmaker, ex-étudiant de Deleuze et Lyotard de Paris8, et un inlassable auditeur et lecteur de J. Derrida; voire pour mes films melih basaran on YouTube, et herrselavy.bloğspot.com
Supervisors: René Scherer
Address: Istanbul, Turquie

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Papers by Melih Basaran

Exposition sacrificielle : logiques et économies de l'énonçable et du visible

A partir d'une critique de la metaphysique de la "presence", nous avons indique l&#... more A partir d'une critique de la metaphysique de la "presence", nous avons indique l'etendue d'un champ sacrificiel qui ne se limite pas aux sacrifices du type seulement "ethnologique". A l'encontre d'un discours rationaliste qui pretend que le sacrifice est aboli, nous avons montre que dans l'exposition a autrui, et au monde, nous reproduisons encore les logiques et les economies du sacrifice. Par ailleurs, nous avons montre qu'une certaine "rationalite" determinant l'economie du sacrifice, n'etait pas etrangere a la logique de l'"ancien sacrifice", et que le sacrifice avait toujours fonctionne en se dissimulant, en se substituant aux autres sacrifices. Ce qui est sacrifie etant l'incommensurable", echappe aussi au regime d'enonces et de visibilites. La "perte irrecuperable" reste indicible et invisible.

“Derrida ve Yapıçözüm” veya “Vav”

DergiPark (Istanbul University), Apr 15, 2013

Bu çalışmada, Jacques Derrida'nın "ve" bağlacının çeşitli dillerdeki ve felsefe dilindeki (Latinc... more Bu çalışmada, Jacques Derrida'nın "ve" bağlacının çeşitli dillerdeki ve felsefe dilindeki (Latince cum, Yunanca sum) çoğul değerlerine vurgu yaptığı "Et cetera" makalesinden itibaren yapıçözümün ilişkili olduğu temalardan sadece uzam ve zamana (uzamda aralanma, zamanda erteleme) değinerek "ile-olmanın" etik ve siyasi olmadan önceki ontolojik statüsü tartışılmaktadır. Anahtar Terimler Jacques Derrida, Yapıçözüm, Uzay, Zaman. "Jacques Derrida et la Déconstruction" ou bien "Wav" Résumé A partir d'un article de Jacques Derrida ("Et cetera") où il fait signe aux valeurs multiples de l'adverbe "et" dans les diverves langues et dans celles philosophiques (cum en Latin, sum en grec), on discute la statue ontologique de l' "être-avec" avant ses significations éthiques et politiques, en ouvrant précisement le problème de l'espace et du temps (espacement dans l'espace, différer dans le temps) entre les autres problèmes avec lesquels la déconstruction est liée.

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“Jacques Derrida et la déconstruction” ou bien “Wav”

Bu çalışmada, Jacques Derrida’nın “ve” bağlacının çeşitli dillerdeki ve felsefe dilindeki (Latinc... more Bu çalışmada, Jacques Derrida’nın “ve” bağlacının çeşitli dillerdeki ve felsefe dilindeki (Latince cum, Yunanca sum) çoğul değerlerine vurgu yaptığı “Et cetera” makalesinden itibaren yapıçözümün ilişkili olduğu temalardan sadece uzam ve zamana (uzamda aralanma, zamanda erteleme) değinerek “ile-olmanın” etik ve siyasi olmadan önceki ontolojik statüsü tartışılmaktadır.A partir d’un article de Jacques Derrida (“Et cetera”) où il fait signe aux valeurs multiples de l’adverbe “et” dans les diverves langues et dans celles philosophiques (cum en Latin, sum en grec), on discute la statue ontologique de l’ “être-avec” avant ses significations éthiques et politiques, en ouvrant précisement le problème de l’espace et du temps (espacement dans l’espace, différer dans le temps) entre les autres problèmes avec lesquels la déconstruction est liée

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Une violence sans revers, sur une bande de Moebius

Rue Descartes, 2015

Distribution électronique Cairn.info pour Collège international de Philosophie. © Collège interna... more Distribution électronique Cairn.info pour Collège international de Philosophie. © Collège international de Philosophie. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.

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Du Signe vers le Secret De la Présence Pleine de l’Amour vers l’Objet: Du Point de Vue de Hegel, La Métaphysique du Signe dans les Romans de Orhan Pamuk: Le Livre Noir et Musée d’Innocence

Hegel-Jahrbuch

En s'inspirant de la théorie du signe de Hegel qu'on peut suivre dans son Encyclopédie, on va ess... more En s'inspirant de la théorie du signe de Hegel qu'on peut suivre dans son Encyclopédie, on va essayer de la mettre en épreuve dans la lecture comparative de deux romans d'Orhan Pamuk: Le Livre Noir et Musée d'Innocence. İl semble que Pamuk dans l'un de ces romans (Kara Kitap) voulait suivre un chemin qui va des signes et à travers leurs déchiffréments vers un secret ou à une magie, vers une plenitude spirituelle à laquelle, en tant que narrateur ne croyait guère, mais cependant tenait comme indispensable pour qu'il y ait du sens (dans la vie, dans notre modernité, etc.). Les signes interprétés vers un dénouément ou vers une resolution s'imposaient dans chaque étape: ceci n'est pas sans évoquer la délibération de Hegel, rédigeant la Phénoménologie de l'Esprit. Alors que dans l'autre roman (Masumiyet Müzesi), Pamuk semble suivre un chemin qui semble l'inverse: il va de la présence vivante ou de la plénitude amoureuse, à travers une dispersion de la vivacité de la vie immédiate et sa dissolution en ville ou en objet, vers une théorie du fétichisme qui n'est pas sans intéret mais remplie encore d'une spiritualité avec "l'épaise mémoire des choses" évoquant chaque fois la présence perdue et en essayant de la réconstruire après coup en Musée, mais déjà prévue ou inclue dans la "vie" même du livre. Cette lecture comparative, enrichie par d'autres références, serait l'occasion de révisiter les concepts d'abord comme Errinerung, à savoir "la récollection intériorisante", le signe, le symbole, etc. Je commencerais par une citation du fameaux livre d'Orhan Pamuk, Le Livre Noir: "Soit qu'il s'agisse de l'Idea dans la philosophie antique greque, soit qu'il soit dit de Dieu du chrisitianisme néo-platonicien, soit qu'il s'agit de Nirvana des Hindus, soit qu'il parle de Phoenix de Feriddun Attar, soit qu'il soit ‚amant' de Jelaleddin Rumî, soit qu'il soit ‚Trésor Caché' de mystiques Hurufi [mysticisisme de Lettres], soit qu'il soit Noumenon de Kant, soit qu'il signifie le ‚coupable' d'un roman noir (de dedectif), le secret signifiait chaque fois un ‚centre' caché dans le monde. De la perte [ou la disparition] de la pensée du ‚secret' [comme chez Freud, la ‚pensée du rêve' qui serait formellement different de ‚contenu du rêve'-M. B.] dans une civilisation, il faut donc déduire que'elle a perdu son ordre, étant dès lors dépourvue d'un ‚centre' dans sa pensée."

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Ve niçin (yine) felsefe ... : yapıçözümler

Books by Melih Basaran

Proximité et Distance à l'épreuve de l'hétéro-auto-nomie: Speculum Mundi

Critique et Autonomie, 2018

Proximité et Distance à l'epreuve de l'hétéro-auto-nomie Plaidoyer pour l'autonomie doit passer a... more Proximité et Distance à l'epreuve de l'hétéro-auto-nomie Plaidoyer pour l'autonomie doit passer aujourd'hui par l'epreuve de termes de proximité et de distance dont la description phénoménologique est encore en soufrance malgré les travaux riches de Jean-Luc Marion (à la suite de ceux de Emmanuel Levinas dans lesquels sont explicitement dévéloppés). Le terme et la problématique de "distance" selon Marion, aura une portée qui engloberait celle de la différence ontologique heideggerienne d'abord, et celle de la question de l'altérité d'autrui (la différence de l'autre du même) de Levinas et celle de la différence de la différance au sens derridien ensuite, et restera comme problématique sans être épuisée par ces dernières.

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Identite par adoption

Diversité Culturelle en Turquie et en Europe, 2004

Disons tel serait mon argument: "L'identité n'est jamais naturelle, ni substantielle". Une telle ... more Disons tel serait mon argument: "L'identité n'est jamais naturelle, ni substantielle". Une telle proposition en forme négative ("n'est pas"), ne suppose-t-elle pas que nous savons déjà ce qu'est en vérité une identité, ou l'identité en général. Serait-elle donc (selon un savoir positif qui serait inclus dans la forme négative de la proposition) plutôt "culturelle? Peut-être. Mais ne nous fions pas trop à ces oppositions -justement culturelles-entre la "nature" et la "culture". Mais d'où savons-nous qu'une identité est ceci ou cela; plutôt ceci que cela, etc, avant de définir ce qu' est une identité? Est-elle unique? Y a-t -il une identité qui reste inchangée, immuable, toujours identique à soi-même dans le temps et l'espace? Vous devinerez l'abîme qui s'entrevoit ou s'ouvre à travers ce genre de questions. La question d'identité n'est pas une question parmi les autres, mais elle est peut-être la question même, celle qui nous permet de poser une question quelconque, et même de parler, de dire quoi que ce soit qui ait un sens, de se comprendre les uns les autres, et voire de comprendre ou de témoigner que nous ne nous comprenons pas, et qu'il y a des identités en dehors de nous, et qu'ils ne sont pas identiques à nous, qu'il y a autrui, altérités, étrangers, même ceux dont les identités sont des plus difficiles à définir ou à déceler, etc. Dans l'abîme qui s'ouvre dans la question d'identité, dans ce qu'il y a de plus intime en nous, dans la question qui nous accuse avant toute accusation, avant toute apparition de l'autre dans sa phénoménalité, avant toute menace qui viendrait d'un dehors à nous inquiéter dans notre identité, nous -donc déjà une multitude qui dit "nous", rassemblée ne serait-ce qu'imaginairement autour d'une "identité", voire l'adoptée -nous sommes déjà et toujours étrangers à nous-mêmes, ne sachant déjà pas trop ce que nous sommes en vérité. La question d'identité est donc toujours une question d'étranger, celle d'un dehors, d'une extériorité; et non pas seulement que ce soit toujours l'étranger qui nous donne notre identité. L'identité n'est pas donnée empiriquement dans l'acte sensible de donner, pas plus qu'elle n'est un simple héritage, quasi-naturel, impossible à refuser ou à ne pas recevoir, se trouvant déjà là, dans un en-soi irréfléchi. La donation de l'identité passe souvent par le nom, c'est ce qui assure une continuité, même un début de l'idéalité. Mais nous ne sommes pas nos noms. En tout cas nous n'y sommes pas réduits. Certes, les noms, noms propres ou communs, les appellations, la parole, la langue en général agissent d'une manière active dans l'existence. Mais où s'arrêter? Les lieux-communs, les mœurs, les institutions, les pratiques religieuses, même l'Etat servent à former et à assurer la continuité de l'identité, parfois même l'impose. "Former", "assurer", "imposer", ce ne sont pas des procédés du même ordre, chacun

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Exposition sacrificielle : logiques et économies de l'énonçable et du visible