Documentary Studies

In this paper, we explore three conceptions of religious reading (informative, formative, and transformative) to illustrate the diversity of information use in religious contexts. “Informative” refers to contexts of discovery, “formative” concerns education, while “transformative” points to ideals of enlightenment, fulfillment, or selfimprovement. We provide instantiations of these conceptions across Christianity and Islam and highlight similarities and differences between these religious traditions through a review of relevant literature, textual analysis of prescriptive documents in Catholicism and Orthodox Christianity, and select preliminary data gathered through current ethnographic research on Muslim converts in the Greater Toronto Area. Our discussion builds upon Buckland’s (1991, 2012) notion of theological information, Kari’s (2007, 2009) understanding of information as revelatory knowledge, and Kari and Hartel’s (2007) discussion of profound phenomena. It assumes an inclus...

L'immeuble qui occupe le numéro 1 de la rue de la Madeleine à Nîmes s'est formé en plusieurs étapes entre le Moyen Âge et l'époque contemporaine. Sa façade principale, sur rue, est bien connue pour ses décors sculptés figuratifs et justifie le nom donné localement à l'ensemble : la maison romane. Aujourd'hui divisé en plusieurs appartements, l'immeuble fait l'objet d'une restauration et d'une réhabilitation qui ont donné lieu, début 2019, à des décroûtages partiels des murs et à des observations archéologiques. Celles-ci ont été axées sur la compréhension de l'évolution du bâti, depuis la demeure initiale jusqu'à nos jours, en privilégiant les phases les plus anciennes. La première construction est une vaste maison en un seul corps de bâti, à deux niveaux, occupés par deux magasins au-rez-de-chaussée, encadrant une porte cochère et un passage vers la cour arrière, et deux grandes salles à l'étage. L'une est probablement d'apparat, l'autre de travail ou d'habitation. L'ensemble est construit en pierre de taille et largement ouvragé côté rue. L'accès aux magasins se faisait par des grandes baies de type vitrine à linteau droit, tandis que l'on accédait à l'étage depuis la cour, par un escalier et un perron aujourd'hui disparus. Le premier étage était éclairé par quatre fenêtres géminées dont trois sont en partie conservées en place. L'ensemble est de style roman et peut être daté de la seconde moitié du XII e siècle ou du début du XIII e . Cette maison connaît ensuite, aux XIII e ou XIV e siècle, une surélévation formant un deuxième étage, puis au XV e , l'ajout d'un troisième étage et le remplacement de l'escalier externe médiéval par un escalier en vis dans l'angle de la cour. Au siècle suivant, un quatrième étage prend place, une loggia est installée à chaque étage, côté cour, les planchers sont refaits et l'escalier en vis reconstruit tandis que dans la cour un nouveau corps de bâtiment est ajouté, en retour de l'immeuble médiéval. À l'époque contemporaine, au XIX e siècle et manifestement sous le contrôle ou l'influence de l'architecte des Monuments Historiques Henry Revoil, six grandes fenêtres sont insérées dans la façade sur rue, rompant l'ordonnance des baies géminées antérieures. À cette occasion, on en redistribue les ornements en les répartissant comme ils se trouvent aujourd'hui. Parallèlement, la distribution interne est modifiée à chaque étage, pour transformer l'ensemble en immeuble de rapport.

Sur les bases des découvertes archéologiques et de nouvelles analyses architecturales, Jean-Sylvain Caillou, Dominic Hofbauer et Eric Johannot esquissent une reconstitution du projet originel pour le château de Chambord, projet qui fut ensuite abandonné en cours de construction. Cet article est issu du catalogue de l'exposition organisée à Chambord pour les 500 ans de la construction du château (Chambord, 1519-2019: l'utopie à l'œuvre, 2019, éditions Faton)

This article analyzes Francesco Taboada’s 13 pueblos en defensa del agua, el aire y la tierra documentary (2008) from the perspective of the “coloniality of power.” This concept, in accordance with Walter Mignolo, refers to the subordination of the knowledge and culture of subaltern and excluded groups that is a feature of Western modernity. Taboada highlights the epic struggle of the 13 Villages in the State of Morelos Movement to defend not only natural resources (water, land, forests) but also the full rights of indigeous communities.  This film is an obligatory reference for documenting indigeneous people’s movements and the social struggles that are being waged in today’s neoliberal Mexico.

Стаття присвячена аналізу взаємозв'язку між глобалізацією і універсалізацією комунікативних норм і принципів, представленого, насамперед, в етосі науки. У статті зазначено, що практика кодифікації етичних і комунікативних регулятивів сучасної науки формує зразок міжкультурного діалогу в глобалізованому суспільстві й здатна вплинути на становлення етики солідарної відповідальності. Зазначено що глобальні виклики призводять до необхідності вироблення універсальних культурних норм взаємодії, розуміння глобальної відповідальності спільнот, які перебувають на різних стадіях розвитку і належать до різних культур.В данной статье актуальностью является обновленное содержание образования в Казахстане.

Séminaire organisé par l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), en partenariat avec le Service archéologique de la Ville de Lyon (SAVL) et les Archives municipales de Lyon. Lieu du séminaire Archives municipales de Lyon 1 place des Archives 69002 Lyon Pour accéder aux archives Tramways T1, T2 (Place des Archives) Métro 4, TER

L'immeuble qui occupe le numéro 1 de la rue de la Madeleine à Nîmes s'est formé en plusieurs étapes entre le Moyen Âge et l'époque contemporaine. Sa façade principale, sur rue, est bien connue pour ses décors sculptés figuratifs et justifie le nom donné localement à l'ensemble : la maison romane. Aujourd'hui divisé en plusieurs appartements, l'immeuble fait l'objet d'une restauration et d'une réhabilitation qui ont donné lieu, début 2019, à des décroûtages partiels des murs et à des observations archéologiques. Celles-ci ont été axées sur la compréhension de l'évolution du bâti, depuis la demeure initiale jusqu'à nos jours, en privilégiant les phases les plus anciennes. La première construction est une vaste maison en un seul corps de bâti, à deux niveaux, occupés par deux magasins au-rez-de-chaussée, encadrant une porte cochère et un passage vers la cour arrière, et deux grandes salles à l'étage. L'une est probablement d'apparat, l'autre de travail ou d'habitation. L'ensemble est construit en pierre de taille et largement ouvragé côté rue. L'accès aux magasins se faisait par des grandes baies de type vitrine à linteau droit, tandis que l'on accédait à l'étage depuis la cour, par un escalier et un perron aujourd'hui disparus. Le premier étage était éclairé par quatre fenêtres géminées dont trois sont en partie conservées en place. L'ensemble est de style roman et peut être daté de la seconde moitié du XII e siècle ou du début du XIII e. Cette maison connaît ensuite, aux XIII e ou XIV e siècle, une surélévation formant un deuxième étage, puis au XV e , l'ajout d'un troisième étage et le remplacement de l'escalier externe médiéval par un escalier en vis dans l'angle de la cour. Au siècle suivant, un quatrième étage prend place, une loggia est installée à chaque étage, côté cour, les planchers sont refaits et l'escalier en vis reconstruit tandis que dans la cour un nouveau corps de bâtiment est ajouté, en retour de l'immeuble médiéval. À l'époque contemporaine, au XIX e siècle et manifestement sous le contrôle ou l'influence de l'architecte des Monuments Historiques Henry Revoil, six grandes fenêtres sont insérées dans la façade sur rue, rompant l'ordonnance des baies géminées antérieures. À cette occasion, on en redistribue les ornements en les répartissant comme ils se trouvent aujourd'hui. Parallèlement, la distribution interne est modifiée à chaque étage, pour transformer l'ensemble en immeuble de rapport.

Висвітлено історію розробки концепцій архівної, рукописної та бібліографічної україніки в 90-х роках ХХ ст. Розкрито основні положення, спрямовані на збирання, зберігання, надання інтелектуального доступу до національної архівної, рукописної та книжкової спадщини, створення електронних ресурсів національного археографічного і бібліографічного реєстрів. Репрезентовано учасників державних програм та проектів, основні напрями та результати виконання програм у 1993-1996 гг., організаційні заходи. Ключові слова: проекти україніки, рукописна та книжкова спадщина, архіви, бібліотеки, інформаційний ресурс архівів, національна бібліографія України.

The article aims to present some generalizations on Ukrainian Translation Studies in the Prešov region of Slovakia and introduce the readers with the most prominent figures representing it. The subject of research is the contribution of translation studies scholars of Prešov region to the development of Ukrainian translation studies and popularization of literature translated from and into Ukrainian among Ukrainians in Slovakia. The study of works by the most active translation studies researchers from Prešov writing in Ukrainian resulted in a general description of the main problems raised by them, as well as short personalized characteristics of the ”research style” of each of these figures. The findings have been achieved by applying such methods as analysis, synthesis, contrasting and comparison. Conclusions: The Ukrainian community of Prešov region is represented by a number of talented translation studies scholars who have actively conducted and continue to conduct research on...

We present here considerations of three trans-medial translations that have caused dis-ease. We look at novel to film, poem to cantata, and novel to film to television series translations to examine various strains of dis-ease. Upon early consideration, we realized Wilson’s call for a “turn to the functional” provides a means of determining whether a translation is “inadequate” – has gone awry. We then fit the concept of translation into our model of proximity as a way to consider whether a “putative translation really [is] a translation of some text.” Ultimately, we argue that one person’s disease may be another’s may be another’s cure.

Il mito e ben noto: il Settecento avrebbe visto nascere edifici destinati al piacere di una classe sociale fortunata e spesso oziosa, piccole case dall’aspetto dimesso adatte a discreti appuntamenti galanti, padiglioni isolati dotati di stanze lussuose che si scoprivano solo una volta varcato l’ingresso e che erano parte di un meccanismo seduttivo sapientemente predisposto dal libertino. La leggenda delle petites maisons e basata comunque su una realta concreta: questi edifici apparsi all’inizio del Settecento si contarono presto a decine nei dintorni di Parigi. I successivi piani di ingrandimento e risanamento condotti nell’Ottocento hanno determinato la scomparsa di una parte importante del suburbio, e particolarmente di questo tipo di abitazioni innovative. La folie Le Pretre de Neubourg, costruita da Marie-Joseph Peyre ai confini del Boulevard du midi, e una di queste petites maisons e conobbe un notevole successo nel Settecento. Tuttavia, la scoperta e l’analisi di documenti di...

Travis Wilkerson's experimental documentary, An Injury to One (2002), about the Anaconda Mining Company of Butte, MT, and its orchestration of the 1917 murder of Frank Little, a Wobblie organizer, has been well-received by film critics. The criticism of the film has properly centered on Wilkerson's combination of Marxist politics and minimalist aesthetic beauty. Writing for The Village Voice, for example, Ed Halter argues that the film is "a deft, ambitious exercise in old-school socialist agitprop crafted with the precise multimedia flair of a corporate PowerPoint presentation." This essay proposes to read An Injury to One in a larger cultural historical context to tease out the specific combination of aesthetics and politics which gives the film its remarkable power. My reading will activate the film's relationship to three primary intertexts that span historical, national, and textual boundaries: a fiction film (Salt of the Earth), a play (The Threepenny Opera), and a novel (Red Harvest). Given the film's engagement with American brutality toward organizing miners, An Injury to One can be profitably compared to Salt of the Earth, blacklisted director Herbert Biberman's 1953 film about a mill-miner union's successful strike in New Mexico. Such an intertextual encounter brings to light the relationship between McCarthyite America (Biberman's pro-union film was denied both production technicians and projection by right-wing Roy Brewer's IATSE union) and contemporary America (Wilkerson struggles to find funding and distribution in a political climate in which anyone discussing class politics is seen as some sort of Marxist dinosaur).

An archaeological analysis has been made of the sector formerly occupied by the bailey or forecourt of the first dwelling of Louis XIII at Versailles. In 1624 a medieval road was filled in to make way for the enceinte of the royal château. Two parallel walls, associated with a tower, are part of a small enceinte that separates the bailey and the park from the public road. The later addition of an ornamental lake deprives us of observations concerning the gatehouse. Three walls perpendicular to the walls of the enceinte are easily understood as the extremities of the outbuildings, stables and offices. The distance between the walls allows for some remarks on the forecourt and commentaries on a vignette taken from Maisons royalles et remarquables aux environs de Paris accompanying the map of Paris drawn up by Gomboust in 1652, the only known representation of the first château of the king at Versailles. Zusammenfassung In der Zone, in der einst der Vorhof oder Wirtschaftshof des ersten Hauses Ludwigs XIII. in Versailles lag, hat eine archäologische Untersuchung stattgefunden. Im Jahre 1624 wurde ein mittelalterlicher Weg verfüllt, um die Umfassungsmauer des Königsschlosses darüber zu errichten. Zwei mit einem Turm verbundene parallele Mauern sind Teil einer kleinen Ummauerung, die den Vorhof und den Park vom öffentlichen Weg trennen. Ein später ausgehobenes Becken hindert uns daran, Beobachtungen über die Toranlage anzustellen. Drei senkrecht zu der Umfassungsmauer verlaufende Mauern lassen sich leicht als die Außenseiten der Nebengebäude, Stallungen und Amtsstuben deuten. Der Abstand zwischen diesen Mauern ermöglicht einige Überlegungen über den Vorhof und Anmerkungen zu einer Vignette aus dem Werk-Maisons royalles et remarquables aux environs de Paris", das dem Parisplan von Gomboust von 1625 beigefügt istder einzigen bekannten Zeichnung, die das erste Königsschloss von Versailles abbildet. Résumé Une opération de diagnostic archéologique eu lieu dans le secteur jadis occupé par la basse-cour ou avant-cour de la première maison de Louis XIII à Versailles. En 1624, un chemin médiéval est remblayé pour assoir l'enceinte du château royal. Deux murs parallèles, associés à une tour font partie d'une petite enceinte qui sépare la basse-cour et le parc du chemin public. Un bassin plus tardif nous prive d'observations sur la porterie. Trois murs perpendiculaires aux murs d'enceinte s'interprètent aisément comme les extrémités des communs ; écuries et offices. La distance entre ces murs permet quelques considérations sur l'avant-cour et commentaires sur une vignette extraite des Maisons royalles et remarquables aux environs de Paris accompagnant le plan de Paris réalisé par Gomboust en 1652, seul dessin connu représentant le premier château du roi à Versailles.

India Retold: Dialogues with Independent Documentary Filmmakers in India is an attempt to situate and historicize the engagement of independent documentary filmmakers with the postcolonial India and its discourses with a focus on their independent documentary practices. Structured as an interview collection, the book examines how these documentary filmmakers, though not a homogeneous category, practice their independence through their ideology, their filmmaking praxis, their engagement with the everyday and their formal experiments. As a sparsely studied filmmakers, the book through meticulously tracing a wide ranging historical transitions (often marked by communal conflicts and the forces of globalization) not only details the ways in which independent filmmakers in India address the questions of postcolonial nation and its modernist projects but also explores their idiosyncratic views of these filmmakers which are characterized by a definitive departure from the logic of commercial films or state-sponsored documentary films. More important in many ways, these documentary filmmakers expose incongruences in national institutions and programs, embrace the voice of the underrepresented, and thus, imagine an alternative vision of the nation. During the last three years of the execution of the project, thirty Indian documentary filmmakers are interviewed in this book. Given the dearth of quality interviews and little theoretical engagement with documentary as a genre, this book would not only fill in the gap in scholarship but also would serve as an authentic guide for interested readers and for documentary filmmakers alike.

This chapter describes the reanimation of the Camino de Santiago pilgrimage as a "postsecular sanctuary"—a place where religious and axiological pluralism is practiced in everyday life. As such, the Camino pilgrimage is playing an important role in reshaping European civil society and the West’s changing identity as postsecular. In writing the term “postsecular” rather than “post-secular” without a hyphen, as many do, I am following the rationale of Kristina Stoeckl (2011) and example of Massimo Rosati (2015) who use the term not to imply a return to religion or an attack on secularism or modernity, but rather as a way to acknowledge that modernity is changing form and to suggest that religion and modernity might, after all, be compatible. I put ritual and the sacred at the center of my analysis in the effort to show how the contemporary Camino is a modern experience of the sacred and is a situation where people discover compatibility between the religious and secular.

Дисертація присвячена комплексному дослідженню документного потоку перекладів українською та з української мови за період 1991-2013 рр., а також процесів міжкультурної комунікації, які відображає його структура. У роботі здійснюється документознавчій аналіз перекладу, формулюється та пропонується поняття «переклад» як документ і як видання. Розкривається сутність, особливості документного потоку перекладів, поняття «документний потік перекладів» і «документний потік перекладів українською та з української мови», визначаються параметри вимірювання та чинники зовнішнього середовища, які впливають на їх зміни.
Здійснюється бібліометричний і статистичний аналіз документного потоку перекладів українською та з української мови за матеріалами бібліографічної бази даних «Index Translationum» та статистичних збірників «Друк України»: вивчається структура, загальний і щорічний обсяг, динаміка, основні тенденції. Визначаються форми міжкультурної комунікації, які відображає структура аналізованого потоку, та культури, з якими українська взаємодіє за кожною з них. Культури характеризується за тематичною і цільовою комунікативною спрямованістю перекладів. На основі здійсненого аналізу оцінюється ступінь представленості документного потоку перекладів українською та з української мови на світовому та національному рівнях. Доводиться потреба подальшого поглибленого дослідження в даному напрямі та пропонуються практичні рекомендації, зокрема щодо реалізації проекту зі створення національної бази даних «Переклади України».

Mindanao is the Philippine's second largest island in the south. Identifying Mindanao-based documentaries that have development themes remain unknown or unacknowledged. Using Phenomenology as theoretical framework and method, as a result, the researcher found out that similar to other documentary films in other parts of the country and the world, the themes showed by Mindanao-based documentaries reflect  in agriculture, health, women and children, environment and population.
However unlike its other foreign and local counterparts, a number of Mindanao-based documentaries anchor the mentioned development themes under the context of peace and conflict situation, human rights, indigenous peoples and their ancestral domains.

The dominant view of time sees time as homogeneous and one-directional. But this does not adequately characterize the human experience of time: Some hours feel longer than others, for instance, and we may forget what day it is. Moreover, we recall and reshape our pasts, jumping backwards, and we plan for our futures, jumping forwards. When documents become involved, the experience of time is all the more multidimensional. Up to now, the digital humanities have been operating with the dominant (positivist, physical) view of time, but in order to provide a holistic representation of the human condition, other models of time should be explored. This paper argues that Heidegger’s theory of time, from phenomenology, and the theory of document transaction, from document studies, can be used to present a theory of documental time. For Heidegger, time does not exist, per se, but rather unfolds as part of being. Being and time are characterized by the fusion of past, present and future; the three are not simultaneous, but they co-exist and can co-determine each other. The theory of document transaction postulates the document as the momentary coming-together of a person and an object. A document transaction is the mechanism by which a document comes to be; thus the document is neither the object nor the person, but something that arises when the two meet. In documental time, then, the past and future of the person and the past and future of the object cohere in a shared present. This view of time invites a host of analytical and visualization strategies for the digital humanities to explore.

This study uses interpretative phenomenological analysis, a qualitative interview methodology, to examine the information experience of Catholic readers of the Bible. It presents a detailed, individual-focused account of how Catholics experience the Bible, in its diverse oral, print and digital manifestations, as a source of religious information. Partici- pants in this study were found to experience the Bible as God’s Word, with which they inter- face in three thematic ways: Connections, Journey and Practice. These themes are, in turn, linked by the processes of sharing, repetition and interpretation. This work extends previous research on the religious reading of believers and numinous document experience, and it contributes to a budding conceptualization of reading as an example of document work rather than a merely cognitive activity.

Sur le point le plus élevé du massif des Baux-de-Provence, les vestiges d’un château médiéval subsistent depuis le XVIIe siècle. Situé au nord-est du village-même, ce château-fort témoigne de l’histoire régionale provençale et du passé de cette importante famille qu’étaient les seigneurs des Baux.
Expression des performances militaires médiévales mais également de l’installation seigneuriale, cet édifice représente un intérêt patrimonial considérable en raison de l’importance et du poids historique des vestiges encore visibles. C’est pourquoi une étude documentaire a été réalisée par des étudiants de seconde année de Master professionnel « Métiers du patrimoine », sous la direction de Nicolas Faucherre, et en collaboration avec des étudiants de cinquième année d’architecture, sous la direction de Stéphane Baumeige.

A la demande de la société chargée de la gestion et de la mise en valeur du site, Culturespace, les étudiants ont du proposer une synthèse historique et architecturale de l’édifice, essayant d’exprimer au mieux les différentes étapes de construction et de destruction du château-fort. Les étudiants-historiens devaient rechercher dans les fonds d’archives les documents pouvant retracer la chronologie du lieu. Ensuite, les étudiants-architectes traduisaient sur des plans les informations recueillies. Ainsi, l’analyse du château proposent une interprétation diachronique mais également spatiale du site afin de croiser les différentes conjonctures.
Les étudiants-historiens ont donc effectué un inventaire des sources existantes ainsi que des travaux des chercheurs ayant déjà étudiés le site. Toutefois, l’éparpillement des sources archivistiques a rendu la tâche malaisée et ne leur a pas permis de tirer de conclusions exhaustives. Par conséquent, d’autres moyens de recherche ont été utilisés pour l’analyse des vestiges :
- L’étude des photographies du XXe siècle, particulièrement précieuses car les vestiges n’avaient alors subit aucune restauration. Ils représentent donc l’état de conservation du château le plus proche de celui du XVIIe siècle.
- L’apport des travaux archéologiques réalisés sur le site à la fin des années 1980 et au début des années 2000, les informations du terrain étant des compléments indispensables aux sources archivistiques. Les fouilles permettent de dater, même approximativement, de localiser et de retrouver des structures pouvant n’avoir jamais été mentionnées.
- La collecte des recherches sur d’autres monuments, pouvant ainsi donner lieu à des comparaisons susceptibles de confirmer ou d’infirmer une conjoncture. 

L’objectif ultime de ce travail est de soumettre à Culturespace un plan de valorisation du château, qui sera effectué par les étudiants-architectes, afin de rendre le lieu davantage lisible et compréhensible par les visiteurs. Aujourd’hui, le public ne perçoit pas l’importance du volume qui prenait place sur ce promontoire, ainsi que de la circulation dans le château ou encore, les entrées de cette demeure. L’enjeu de ce travail documentaire repose donc sur la capacité des gestionnaires et des chercheurs à rendre l’histoire du site intéressante pour un public de non-initié.

Pour commencer, le château-fort des Baux-de-Provence est construit sur le point culminant d’un rocher, situé au sud des Alpilles. Une occupation est attestée à la fin de la période antique (IVe siècle) grâce aux vestiges d’un rempart au nord du rocher. Au Xe siècle, le castrum des Baux est mentionné pour la première fois à l’écrit. Des constructions romanes (XIIe siècle) sont noyées dans des maçonneries plus tardives comprises entre les XIIIe et le XVIe siècle, et enfin, quelques traces sur le plateau témoignent d’une présence humaine au XVIIe  et au XVIIIe siècle, notamment pour des activités de carrière.
Le secteur concerné par l’étude inclut donc uniquement le château-fort et ses deux basses-cours. Dans la première, les vestiges correspondent à l'ancien logis du seigneur des Baux et aux bâtiments résidentiels, divisés entre deux terrasses orientées nord-sud : la terrasse haute appuyée contre l’arête rocheuse à l’est, et la terrasse basse, en bordure ouest du château. Séparée de celles-ci par un fossé, la seconde basse-cour renferme quelques constructions mal définies témoignant d'une activité dans cette zone.
Les deux cours sont délimitées sur leurs côtés est par une barrière rocheuse et à l’ouest, par l’esplanade du Terras ainsi que par le village.

Un trinôme composé d’un historien et de deux architectes a été formé de façon à traiter un sujet aussi vaste. Justine Marie et Andréa Coste se sont chargées de la réalisation des plans et je me suis chargée de la partie historique. Nous nous sommes concentrées sur les problématiques des circulations dans le château, en lien avec la question des entrées et des fortifications. En effet, les éléments les plus remarquables et même, les plus visibles aujourd’hui, sont deux tours situées en hauteur sur des arêtes rocheuses, le donjon (néanmoins, ce sujet est largement approfondi dans le mémoire de l’étudiante Marlène Poirier , et ne sera donc pas inclut dans cette étude), et une enceinte appareillée en glacis. Entre ces éléments, les vestiges sont disparates. La circulation mise en place au XXe siècle pour l’ouverture au public n’est pas fidèle à la circulation médiévale. C’est pourquoi il semblait intéressant de mettre en lien le système de fortifications avec la localisation des entrées du château, qui au Moyen Age, relève d’une importance capitale dans la défense de la place-forte.

This essay explores the philosophy of time and documents. It first presents a number of theories of time and discusses how time has been applied in research on documents to date. These applications have been limited by their conceptualization of time. In order to extend our understanding of documental time, this paper draws from Heidegger's experiential theory of time and the theory of document transaction in order to introduce a theory of documental time. In documental time, the past and future of the person and the past and future of the object cohere in a shared present. The special case of numinous document experiences—and numinous time—is also explored.

This paper argues for a reconsideration of the balance of power in theorizations of documentary ethics through discourses on intersubjective experience in disability studies, primarily analyzing the first film by director Hara Kazuo, "Sayonara CP" ("Goodbye CP," 1972). The non-sync black and white 16mm film documents his pact with a group of activist men with cerebral palsy called the Kanagawa Green Grasses, filming the members giving up all supports of Japanese society, crawling off wheelchairs to rally in the streets against the invisibility of the disabled. The project led to Hara and his partner Kobayashi Sachiko’s more famous political works pushing the boundaries of private and public realms in postwar Japan. However "Sayonara CP" not only captures a turn toward personal documentary when radical leftist collectives were producing activist films, but invites an investigation of the ethical space the apparatus establishes and the political implications of documentary ethics, particularly through the film’s controversial central images of the disabled body contorted in pain. Taking previous frameworks of ethical space in documentary theory (Vivian Sobchack’s taxonomy of gazes, Bill Nichols’ axiographics) outside a spectatorial model, I analyze the film’s two encounters, around the camera and before the projector, citing Rosemarie Garland-Thomson’s adoption of the stare as a politically generative dynamic in disability studies in considering the agency of the documentary subject and the political potential of personal cinema practice.

This paper argues for a reconsideration of the balance of power in theorizations of documentary ethics through discourses on intersubjective experience in disability studies, primarily analyzing the first film by director Hara Kazuo, "Sayonara CP" ("Goodbye CP," 1972). The non-sync black and white 16mm film documents his pact with a group of activist men with cerebral palsy called the Kanagawa Green Grasses, filming the members giving up all supports of Japanese society, crawling off wheelchairs to rally in the streets against the invisibility of the disabled. The project led to Hara and his partner Kobayashi Sachiko’s more famous political works pushing the boundaries of private and public realms in postwar Japan. However "Sayonara CP" not only captures a turn toward personal documentary when radical leftist collectives were producing activist films, but invites an investigation of the ethical space the apparatus establishes and the political implications of documentary ethics, particularly through the film’s controversial central images of the disabled body contorted in pain. Taking previous frameworks of ethical space in documentary theory (Vivian Sobchack’s taxonomy of gazes, Bill Nichols’ axiographics) outside a spectatorial model, I analyze the film’s two encounters, around the camera and before the projector, citing Rosemarie Garland-Thomson’s adoption of the stare as a politically generative dynamic in disability studies in considering the agency of the documentary subject and the political potential of personal cinema practice.

This article explores the role of found footage in (auto)biographical documentaries, by means of a theoretical and historical analysis of two different case studies: THE MAELSTROM (Péter Forgács, 1997) and GRIZZLY MAN (Werner Herzog, 2005). At the heart of these documentaries' textual structure lies a dual process of selection and composition by both the 'original' filmmaker of the incorporated found footage as well as the 'author' of the documentary film, called 'shared textual authority'. Through their use of multiple directorial voices, such 'polyphonic' found footage documentaries are (historical) reconstructions that challenge and open up boundaries and categories both inside and outside of documentary studies. In a polyphonic found footage documentary, the 'voice' of a documentary can be expressed by more than one filmmaker or 'author'. Fundamentally, this work reveals how the found footage documentary can be a site of biographical and autobiographical activity, demonstrating the thin line between private and public history.