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2001, Revue internationale des sciences sociales
Distribution électronique Cairn.info pour ERES. © ERES. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Dans les études fédérales, le positivisme (en droit) et le comparatisme (en sciences politiques) sont les écoles ou méthodes scientifiques dominantes. L’étude du fédéralisme se ferait ainsi dans les systèmes fédéraux ou quasi-fédéraux, présents et passés, à partir du droit et des institutions posés. La thèse qui est défendue dans cet article est que l’approche dominante néglige le substrat sociologique légitimant dans les systèmes fédératifs et a ainsi tendance à dépolitiser les relations entre les niveaux fédéral et fédéré. Or, si cet enchaînement peut être historiquement validé au regard de l’évolution des systèmes fédératifs vers des formes plus ou moins poussées de décentralisation (la fédération sans fondement fédéral – Schmitt), la question se pose de savoir si la logique du fédéralisme n’exige pas, à contrecourant des thèses dominantes, un retour à une approche sociologique, plus attentive à la tension et aux sources de légitimation qui fondent et animent la fédération
Civitas Europa, 2017
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Revista D Estudis Autonomics I Federals, 2005
12. Ces textes qui avaient circulé dans le cadre de la CIG avaient été publiés sur les sites des présidences italienne et irlandaise.
Études internationales, 1997
Revista d'estudis autonòmics i federals, 2009
Hinging on Michael Billig's Banal Nationalism theory, this article raises theoretical questions on how the nation is perpetuated in daily life through "banal" devices. This article introduced the edited issue of political science Journal Raison Politique dedicated to banal national
Revue de l'OFCE, 2005
Les opinions émises dans cet article n'engagent que les auteurs. Nous remercions Jérôme Creel pour ses commentaires et suggestions. Toutefois, nous demeurons seuls responsables des erreurs éventuelles. [email protected] [email protected] La Suisse, État fédéral, est l'un des pays dont le pouvoir fiscal est le plus décentralisé. Cette décentralisation se vérifie particulièrement dans le cadre des impôts sur le revenu et la fortune des personnes physiques d'une part, et celui des impôts sur le bénéfice net et le capital des personnes morales d'autre part. En outre, de fortes disparités de charges fiscales sur les personnes physiques et morales sont observées entre les cantons et les communes. Ces deux constats laissent supposer la présence de concurrence fiscale entre les gouvernements sous-nationaux. Les conclusions de plusieurs études empiriques viennent confirmer la présence de cette concurrence fiscale à l'échelle régionale ou locale. Cependant, elle ne semble pas avoir de conséquences négatives sur le bien-être. Tout d'abord, différentes études empiriques indiquent que la fourniture des services publics n'en est pas affectée par cette concurrence. Ensuite, la Suisse est dotée d'un système décentralisé de redistribution des ressources qui lui permet de fonctionner en dépit de cette concurrence fiscale. Enfin, s'il est plus difficile d'apporter des réponses à la question de la cohésion de l'État, la concurrence fiscale ne semble toutefois pas avoir d'effets négatifs sur la performance économique des cantons.
LA PROBLEMATIQUE de la construction européenne sert souvent au Canada de référent pour penser l’évolution du système fédéral et notamment la place que devrait y occuper le Québec. En revanche, sauf de très rares exceptions, l’expérience canadienne de fédéralisme n’a guère été réciproquement utilisée pour penser le processus d’Union européenne. Cela est sans doute lié au fait que les pères fondateurs de la Communauté ont eux-mêmes conçu leur action en référence au modèle fédéral des États-Unis d’Amérique. Pourtant, si on ne restreint pas la perspective à la seule économie et qu’on s’intéresse aux dimensions politique et sociale de la construction européenne, sa mise en regard avec l’évolution de la fédération canadienne semble porteuse de plus riches enseignements. Le rapprochement du Canada et de l’UE conduit à se demander si n’est pas en jeu ici et là une solution postnationale de portée plus générale au problème d’action collective qui est posé partout où prévaut la recherche et/ou le maintien d’une union politique respectant la diversité des entités qui s’unissent tout en revendiquant la continuité ou la reconnaissance de leur dimension nationale. Chapitre 1. Le fédéralisme canadien : un modèle pour l’Union européenne ? In : L'Europe qui se fait : Regards croisés sur un parcours inachevé [en ligne]. Paris : Éditions de la Maison des sciences de l’homme, 2008 (généré le 20 octobre 2013). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/editionsmsh/1003>. ISBN 9782735115624.
McGill Law Journal, 2015
Rendus à quelques semaines d’intervalle, le Renvoi relatif à la réforme du Sénat de même que le Renvoi relatif à la Loi sur la Cour suprême, art. 5 et 6 posent des limites importantes à l’action unilatérale d’Ottawa en matière de réforme des institutions, et ce, au nom d’un principe fondamental jouant un rôle matriciel dans l’interprétation de la procédure de modification constitutionnelle : le fédéralisme. À l’occasion de ces deux avis, la Cour a non seulement précisé le champ d’application des procédures multilatérales de modification de la partie V de la Loi constitutionnelle de 1982, mais elle a aussi tiré les conséquences qui s’imposent du principe fédéral. D’abord, sur le plan institutionnel, ce dernier principe constitue, non seulement une limite à l’action unilatérale d’Ottawa, mais aussi un facteur structurant l’ordonnancement juridique et un fondement à l’action de la Cour suprême du Canada. Puis, sur le plan du contenu du principe fédéral, la Cour suprême développe, à l’o...
Revue économique, 2003
Distribution électronique Cairn.info pour Presses de Sciences Po. Distribution électronique Cairn.info pour Presses de Sciences Po. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-economique-2003-3-page-469.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info.
Critique Internationale, 2001
Après l'ère des Empires, puis celle des États-nations, sommes-nous entrés dans celle des fédérations ? En 1648, les traités de Westphalie signaient le déclin de la forme impériale en Europe et l'acte de naissance de l'État territorial moderne fondé sur le principe de la souveraineté nationale. Le traité de Rome de 1957, lui, a indéniablement annoncé la fin du pouvoir exclusif de l'État-nation sur le continent. Et cela d'autant plus qu'il a aussi, fût-ce indirectement, conduit
Notre but n’est pas de chercher une vérité du federalisme – une vérité de plus ? –, mais de comprendre ce qui a légitimé l’identification d’un moment historique appelé « fédéralisme ». Comme il est nécessaire de comprendre la transformation de faits en événements, il faut comprendre comment un ensemble d’événements s’est organisé en un système interprétatif, saisi ensuite et transmis par l’historiographie.
Philosophiques, 1981
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Les Cahiers de droit, 2018
En ce 150e anniversaire de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique, 1867, l’article qui suit explore la manière dont les règles non écrites et les conventions concernant la Couronne dans le système de Westminster, en général, et la règle de l’indivisibilité de la Couronne, en particulier, ont servi à augmenter le prestige et les pouvoirs des exécutifs provinciaux au sein de la fédération canadienne, et ce, malgré un texte semblant hiérarchiser l’État fédéral au regard des provinces. D’abord, le texte présente les principales règles concernant la Couronne et le rôle de cette dernière dans la structure constitutionnelle, pour, par la suite, observer la manière dont l’exercice de la prérogative royale par les gouvernements canadiens a permis d’augmenter leur autonomie par rapport aux autorités impériales. Puis il analyse l’ambivalence des constituants lors de la genèse du fédéralisme canadien relativement au rôle des provinces ; finalement, il démontre, entre autres, par une analyse d...
Classiques des sciences sociales., 2004
Brunelle (sociologue, UQAM) " Continentalisme, fédéralisme et nationalisme ". (1984) Une édition numérique réalisée à partir de l'article de Brunelle, Dorval, " Continentalisme, fédéralisme et nationalisme ". Dossier : "Études et analyses." Un article publié dans la revue Conjoncture politique au Québec, no 5, printemps 1984, pp. 167 à 181. Dossier : Études et analyses. Montréal : Éditions Albert Saint-Martin. Dorval BRUNELLE est professeur au département de sociologie de l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Il est également codirecteur du Groupe de recherche sur la continentalisation des économies canadienne et mexicaine et auteur de nombreuses publications sur les processus d'intégration nord-américain et européen et le néolibéralisme.
Parmi les « tabous » fréquemment évoqués en matière de décentralisation figure en bonne place la notion même de fédéralisme dont la seule évocation suffit en général à disqualifier sans débat le moindre propos qui s'y rapporte, à moins qu'il n'ait pour principal objet de procéder lui-même à cette disqualification, notamment parce que « l'expérience politique française semble contredire intégralement l'esprit du fédéralisme » 1 sous toutes ses formes, au moins dans la sphère publique.
Études internationales, 1974
Tous droits réservés © Études internationales, 1974 Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
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