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2022, L'EMPIRE DU THÉ, LE GUIDE DES THÉS DE CHINE
L’empire du thé. Le guide des thés de Chine Thé vert, rouge, noir, bleu-vert, blanc, jaune, compressé, sculpté, parfumé... Selon le dicton, une vie ne suffirait pas à goûter toutes les variétés de thés de Chine ! Mais connaît-on vraiment ces derniers, créés et perfectionnés par le pays du Milieu depuis des millénaires ? Qu’est-ce qui différencie le thé chinois des succédanés que consomme majoritairement l’Occident depuis que les navires des Compagnies des Indes ont rapporté en Europe les premières caisses de « Tay » au xvii e siècle ? À l’heure du retour de la Chine au premier plan mondial, alors que les passionnés de culture et de cuisine chinoises sont de plus en plus nombreux, il manquait un ouvrage de référence sur le thé chinois, son histoire, sa civilisation, ses grandes aires géographiques à l’échelle d’un pays continent, la diversité de ses terroirs et jardins, nullement figés dans le passé. C’est chose faite avec L’empire du thé. Le guide des thés de Chine. De la graine à la tasse finale, L’empire du thé. Le guide des thés de Chine vous ouvre les portes de l’univers complexe du thé chinois et de plus de 200 jardins prestigieux ou moins connus. Mythes fondateurs, agronomie du Camellia sinensis, cueillette et multiples étapes de la transformation des feuilles, économie, cérémonie et art du thé à la chinoise, ustensiles et méthodes de préparation, vocabulaire de la dégustation, qualité de l’eau, conseils pour choisir le ou les thés les plus appropriés à son bien-être : tout y est ! Sans oublier, en fin d’ouvrage, un index détaillé de tous les thés, en pinyin et chinois, par couleur et par région. Rédigé à partir des meilleures sources chinoises, enrichi de nombreuses cartes et informations inédites en Europe, ce livre rend hommage au thé, la boisson sans égale d’un pays unique. L’empire du thé. Le guide des thés de Chine apparaît d’emblée comme une référence incontournable dont aucun amoureux de la Chine, de sa gastronomie et de ses thés ne saurait désormais se passer.
L'empire du thé, le guide des thés chinois, 2022
L’empire du thé. Le guide des thés de Chine Thé vert, rouge, noir, bleu-vert, blanc, jaune, compressé, sculpté, parfumé... Selon le dicton, une vie ne suffirait pas à goûter toutes les variétés de thés de Chine ! Mais connaît-on vraiment ces derniers, créés et perfectionnés par le pays du Milieu depuis des millénaires ? Qu’est-ce qui différencie le thé chinois des succédanés que consomme majoritairement l’Occident depuis que les navires des Compagnies des Indes ont rapporté en Europe les premières caisses de « Tay » au xvii e siècle ? À l’heure du retour de la Chine au premier plan mondial, alors que les passionnés de culture et de cuisine chinoises sont de plus en plus nombreux, il manquait un ouvrage de référence sur le thé chinois, son histoire, sa civilisation, ses grandes aires géographiques à l’échelle d’un pays continent, la diversité de ses terroirs et jardins, nullement figés dans le passé. C’est chose faite avec L’empire du thé. Le guide des thés de Chine. De la graine à la tasse finale, L’empire du thé. Le guide des thés de Chine vous ouvre les portes de l’univers complexe du thé chinois et de plus de 200 jardins prestigieux ou moins connus. Mythes fondateurs, agronomie du Camellia sinensis, cueillette et multiples étapes de la transformation des feuilles, économie, cérémonie et art du thé à la chinoise, ustensiles et méthodes de préparation, vocabulaire de la dégustation, qualité de l’eau, conseils pour choisir le ou les thés les plus appropriés à son bien-être : tout y est ! Sans oublier, en fin d’ouvrage, un index détaillé de tous les thés, en pinyin et chinois, par couleur et par par région. Rédigé à partir des meilleures sources chinoises, enrichi de nombreuses cartes et informations inédites en Europe, ce livre rend hommage au thé, la boisson sans égale d’un pays unique. L’empire du thé. Le guide des thés de Chine apparaît d’emblée comme une référence incontournable dont aucun amoureux de la Chine, de sa gastronomie et de ses thés ne saurait désormais se passer.
Actes Sémiotiques, 1987
L'histoire des sciences nous montre à différentes reprises comment les « nouvelles disciplines » se constituent à la suite d'une mutation dans la façon de voir : les mathématiques, la physique, la chimie... se sont détachées de ce qui fut la philosophie, et se sont différenciées les unes des autres, en corrélation avec un changement du questionnement. Et s'il est vrai que la mutation des intérêts des « chercheurs » amena la mutation des « sciences », il n'en est pas moins vrai que l'évolution des disciplines eut par la suite des répercussions profondes sur le milieu des hommes de science, et sur la réarticulation de leurs perspectives.
Journal of the Siam Society (Bangkok), 90 (1-2)
Sigila, Architectures secrètes - Arquitecturas secretas, no. 28, 2011
BENOÎT JACQUET Dans les secrets du pavillon de thé, d'hier et d'aujourd'hui Georges Sand dit qu'on peut classer les hommes suivant qu'ils aspirent à vivre dans une chaumière ou dans un palais. Mais la question est plus complexe : qui a château rêve chaumière, qui a chaumière rêve palais. Mieux encore, nous avons chacun nos heures de chaumière et nos heures de palais.
La colonisation de l’actuel Vietnam et l’établissement d’un Protectorat français au Tonkin à la fin du XXe siècle, ont généré l’apparition de nouveaux modes de production agricole et d’utilisation des ressources naturelles. Cette évolution est saisie au travers de l’étude d’un mouvement de colonisation spontané qui s’est développé « illégalement » dans le courant de la première moitié du XXe siècle en direction de plusieurs villages collinaires de deux districts de la province de Phú Thọ. La confrontation des archivistes produites par les autorités du Protectorat et de la mémoire de ces événements restituées par d’anciens colons-planteurs et leurs descendants, dévoile en filigrane l’entreprise de falsification à laquelle se livra l’appareil colonial pour s’attribuer sur le tard la paternité de ce mouvement de colonisation qui bouleversa l’environnement naturel, social et économique de la région.
Presses de l’Université de Montréal eBooks, 1992
Les textes réunis dans cet ouvrage ont été rédigés à partir des communications présentées dans le cadre de deux colloques sur le Huainan zi tenus à Montréal (1987), puis à Paris (1988). Cette réflexion collective s'inscrivait elle-même dans le cadre d'un plus vaste projet de traduction intégrale de cet ouvrage en langue française. Plusieurs traducteurs ont présenté des contributions, mais d'autres chercheurs, quoique non concernés par le projet de traduction, se sont associés à nos travaux et sont donc ici publiés. La qualité de la recherche a été l'unique critère de sélection des travaux. Cet ensemble d'études, thématiquement regroupées, se lit donc comme une sorte de « prolégomènes à toute lecture future » de la traduction intégrale du Huainan zi. Le contenu de quelques-uns des grands chapitres de l'oeuvre étant, en effet, analysés et replacés dans leur contexte historique et idéologique, on espère que, lorsque l'ouvrage sera, d'ici quelque temps, accessible en notre langue dans son intégralité, le lecteur aura à coeur de se reporter à l'un et à l'autre livre pour joindre le plaisir du texte à son analyse. Remerciements Parmi les nombreuses personnes qui ont contribué à la réalisation du présent ouvrage, nous tenons à remercier d'une manière spéciale : M. Claude Comtois, professeur au CETASE et rédacteur des Cahiers du CETASE, qui a soumis le texte des colloques de Montréal et de Paris à des experts et a procédé au choix initial des articles ; M. Alain Rocher, professeur au CETASE, qui a vérifié les titres d'ouvrages et d'articles en japonais ; Mmes Wang Li-Yu et Akemi Azumi, bibliothécaires au CETASE, qui ont effectué des recherches pour compléter les indications bibliographiques ; Mme Nathalie Larocque et M. Clément Arsenault, étudiants aux études supérieures, qui, en plus d'assurer la saisie des données et la mise en page, ont proposé des améliorations sensibles du texte. 4 8 Cette publication a été rendue possible grâce à une subvention du Centre National de la Recherche Scientifique (Paris) et du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.
Une Suisse exotique? Regarder l'ailleurs au siècle des Lumières, Zurich, Diaphanes, 2020
Un service à thé en porcelaine est posé sur un plateau bordé d'une frise dorée. Six tasses et soucoupes sont assemblées. De petits personnages tracés en orange, rose et vert se détachent sur la surface de la théière, des assiettes, des bols et des tasses. Une seule est encore remplie de liquide. Quatre sont retournées, pour signifier la fin du service, tandis que la dernière est déposée dans un grand bol. Les petites cuillères sont posées de différentes manières : orientées vers le haut au sommet du plateau, ou au contraire vers le bas dans la partie inférieure. L'image donne à voir les objets sous divers angles, présentant l'intérieur et l'extérieur des pièces. Deux tranches de pain beurré reposent au centre de la composition. Une troisième semble avoir été partiellement man-gée et ses fragments occupent différents espaces du tableau, notamment sur la grande table rouge cuivrée au premier plan. La partie supérieure est une large bande foncée, unie et vide de toute représentation, qui tranche avec les éléments plus clairs de la partie inférieure. Rien dans cette nature morte ne semble entièrement laissé au hasard, et l'on croirait que le peintre a ordonné ce plateau après le départ de ses hôtes, pour montrer tous les aspects de ces objets. Ce tableau, aujourd'hui conservé au Getty Museum de Los Angeles, a été peint dans les années 1780 par le peintre Jean-Étienne Liotard (Genève, 1702-1789).
L'Empire sans milieu, essai sur la sortie de la religion en Chine, Paris, DDB, 2010
Un rapport de mission effectuée en Chine au cours de la seconde moitié de novembre 2019. Il essaie de présenter ce miracle économique chinois en présentant un certain nombre de statistiques et de données factuelles. Il essaie aussi de donner une explication rationnelle de cette réussite chinoise.
Les Belles Lettres (Collection l'Âne d'or), 2015
Les trajectoires de la modernité nous ont amené à voir dans la littérature et la politique deux sphères autonomes et irréductibles l'une à l’autre. C’est là une conception récente dont l’historien doit se déprendre s’il veut rendre compte de ce qui faisait sens dans d’autres lieux et d’autres temps. À Jiankang, dans la Chine du Sud des Ve et VIe siècles, rien n’aurait pu autoriser un divorce entre le littéraire et le politique : les savoirs de la lecture et de l’écriture — le wen — étaient façonnés par les institutions de la cour et de l’administration. Les ministres étaient les « écrivains » ; les rites, leur « esthétique » ; l’empereur, les princes et les autres ministres, leurs « critiques littéraires ». Ornements du pouvoir impérial, symboles de la vertu de l’empereur, des princes et des ministres, les savoirs lettrés étaient régis par un ensemble de codes curiaux et administratifs qui en définissaient l’usage et la transmission, à tel point que pouvoir lettré et pouvoir impérial constituaient une unité inextricable. Dans ce cadre, les disputes littéraires devenaient inévitablement des conflits politiques : elles opposaient des vues différentes sur la forme rituellement « correcte » de symboliser le pouvoir. C’est donc au prisme de ses rivalités et de ses dépendances, de ses intrigues et de ses codes, que l’on fera incursion dans ce monde lettré à la fois proche et éloigné du nôtre. https://www.lesbelleslettres.com/livre/1632-les-fleurs-du-royaume
Archives Des Sciences Sociales Des Religions, 2021
2016
Synthèse sur la diffusion du thé en Tunisie à l'époque contemporaine Nessim ZNAIEN Doctorant à l'Université Paris I Panthéon Sorbonne, ATER en histoire du monde arabo-musulman à l'Université d'Aix-Marseille Extrait de : Gilles FUMEY, Du terroir au garde-manger planétaire, Paris, Édition électronique du CTHS (Actes des congrès des sociétés historiques et scientifiques), 2016. Cet article a été validé par le comité de lecture des Éditions du CTHS dans le cadre de la publication des actes du 139 e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques tenu à Rennes en 2013. En 2013, le thé semble être une boisson relativement incontournable en Tunisie, participant au patrimoine alimentaire du pays. Les Tunisiens, selon les statistiques officielles consommeraient quatre fois plus de thé en moyenne que les Français, soit quatre grammes par personne et par jour 1. Pourtant cette boisson est à peine bicentenaire en Tunisie, et nous nous demanderons comment un produit aussi tardif, venu du colonisateur européen, a pu prendre une place aussi prépondérante dans l'identité culinaire tunisienne.
On utilise aussi de nos jours des éponges micropores qui nettoient sans agresser les matériaux, ni abîmer les céramiques.
2002
La phytotherapie a visee amincissante est couramment utilisee en auto-medication. Les principes actifs contenus dans les diverses preparations du marche peuvent etre a l'origine d'effets secondaires. Nous rapportons un cas de cytolyse aigue spontanement resolutive apres consommation d'un the chinois a visee amincissante.
2021
Table des matières et présentation, rédigée en collaboration avec Laure Zhang-Thoraval (Zhang Ning) des Écrits sur la Chine de Joël Thoraval (volume posthume publié en 2021 chez CNRS Éditions)
2019
LE WONDERLAND CHINOIS DU PÈRE ATHANASIUS KIRCHER, S. J. La China illustrata, publiée en 1667 par le jésuite Athanase Kircher (1602- 1680), a bénéficié au cours des XVIIe et XVIIIe siècles d’un grand succès commercial. Sa publication intervenait dans le développement de toute une littérature à caractère encyclopédique composée de relations de voyages, de récits d’ambassades auprès de la cour impériale de Pékin, et d’albums illustrés, qui ont fourni à l’esthétique des XVIIe et XVIIIe siècles un grand nombre de motifs à caractère chinois. Conformément aux recommandations du projet missionnaire contenu dans la théologie de la Contre-Réforme, dont le but était de présenter les réalités matérielles du « grand théâtre du monde » comme un acte de foi dans l’incarnation visuelle du Verbe Créateur, le livre faisait partie d’une Bibliothekenstrategie mise au point par la Société de Jésus afin d’inventorier l’environnement matériel et spirituel des nouvelles sociétés humaines que les disciples d’Ignace de Loyola voulaient mieux connaître, et donc mieux comprendre. Le résultat fut une véritable fabrique d’images, à laquelle ont collaboré un certain nombre d’artisans-illustrateurs, appartenant à l’élite artistique baroque de l’époque, travaillant dans la tradition anthropologique jésuite exposée dans les Exercices spirituels, qui consistait à proposer au lecteur de capter une réalité lointaine, voire inconnue, au terme d’une activité mentale restauratrice, de la même manière qu’il était recommandé de reconstituer par l’imagination les épisodes de la vie du Christ ou les lieux dans lesquels il avait vécu. Les images orientales de Kircher assumaient donc un rôle de substitution par rapport à un manque. Elles étaient par ailleurs rassemblées de façon spectaculaire dans une série de mises en scène, autour desquelles s’organisait le texte, plutôt que le contraire, de façon à susciter l’intérêt du lecteur. Mais, surtout, Kircher avait hérité de la Renaissance l’idée d’un accord ésotérique rassemblant toutes les religions dans la transmission d’une même Vérité transcendantale. Fasciné par les sciences occultes, la magie naturelle, la Kabbale, l’alchimie, la démonologie, etc., il essayait par tous les moyens d’intégrer des réalités lointaines et des phénomènes hors du commun dans des systèmes explicatifs. Pour ce faire, il avait imaginé toute une méthodologie comparatiste, inspirée de l’Ars combinatoria de Raymond Lulle, fondée sur un réseau complexe de références culturelles, comportant toute une série de connections avec la pensée égyptienne, mais aussi avec l’antiquité grecque et romaine, et même le christianisme. En d’autres termes, le monde visible de Kircher se doublait d’un monde lisible, chargé de correspondances avec la culture européenne. La clef de ce système fermé se trouve dans la logique interne d’une pensée fondamentalement analogique. Kircher, en effet, était un admirateur enthousiaste de la natura naturans, qu’il voyait comme une genèse permanente – ars Dei – complétant la Création initiale, qui s’est trouvée partiellement en accord avec la pensée chinoise. Par exemple, sa confiance – ou sa crédulité – dans les opérations de la magie naturelle semble l’avoir amené à une connaissance intuitive du feng shui, c’est-à-dire de la relation entre l’homme et sa sphère environnementale, et peut-être de l’alchimie taoïste, alors inconnue en Occident. Si l’on tente d’évaluer ce que la China illustrata a pu apporter aux relations interculturelles Chine-Europe, on doit mettre en évidence plusieurs éléments de première importance. D’abord, l’attention apportée aux realia, qui annonce peut-être la promotion des objets dans le développement futur du goût chinois. En effet, si l’épistémê de Kircher s’appuyait sur un réseau complexe de références érudites – souvent douteuses – sa méthode d’approche était peut-être plus celle d’un collectionneur et d’un antiquaire spécialisé, intéressé principalement par l’observation des vestiges matériels, que celle d’un idéologue. D’autre part, la prise en considération de la Nature, qui forme le sujet principal des scénographies imaginées par un des grands découvreurs du pouvoir de l’image, apparaîtra au XVIIIe siècle, comme une des dimensions majeures de ce qu’on appellera plus tard la chinoiserie. L’ensemble de ces caractéristiques fait donc de la China illustrata une oeuvre ambiguë, qui rassemble des éléments européens et orientaux dans une ambiance de relativisme culturel où l’on peut discerner le pendant du syncrétisme religieux élaboré au sein de la mission de Chine. Mais le plus important peut-être, c’est que le monde chinois montré par le livre de Kircher est un monde écrit, ce qui s’accorde de façon remarquable avec l’univers des lettrés que les jésuites connaissaient bien, leur Société se définissant par des similitudes d’habitus avec les shu yuan, les académies de la Chine impériale. L’attention minutieuse, enfin, portée à l’art de la gravure, riche de détails décoratifs qui migreront vers les productions chinoisantes du XVIIIe siècle, fait de cet ouvrage un monument de « science ornementale », qui annonce les grands recueils d’ornements chinois qui feront les délices des Watteau, des Pillement et des Boucher.
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