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2008, Le Mouvement Social
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Infoclio.ch, 2018
Depuis le début de cette année commémorative, le Groupe d'études et de recherche sur les mouvements étudiants (GERME) et la Cité des mémoires étudiantes mènent une activité éditoriale et scientifique impressionnante. Pas moins de quatre publications sur 1968 sont sorties aux éditions Syllepse où le GERME est responsable d'une collection. Le colloque « Empreintes étudiantes des années 1968 dans le monde », organisé avec le soutien du Centre d'histoire de Sciences-Po, du Centre d'histoire sociale du 20 e siècle (Paris 1/CNRS) de l'Université Paris-Sorbonne, du Collège militaire royal du Canada et de l'Université de Trente, constitue une sorte d'apogée. Dès le début de cette conférence, les participants ont été rapidement plongés dans une atmosphère « sorbonnarde » qui n'était pas sans rappeler les événements au sujet desquels ils allaient justement disserter. Il est 14h00 : l'heure prévue par les organisateurs pour l'ouverture du colloque. Alors que tous les participants se trouvent dans l'amphithéâtre à attendre le début des conférences, les services du rectorat décident au dernier moment de fermer les lieux : c'est un secteur devenu « sensible » dans le climat que connaît l'université française en ce joli mois de mai. La conférence est finalement délocalisée dans la partie nord, dans une petite salle sans fenêtre, portant néanmoins le nom de l'illustre historien Jean-Baptiste Duroselle !
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2008
JaCques ruPnik Les deux Printemps de 1968 Q uarante ans après l'évocation des « riches heures » des Printemps de Paris et de Prague, sans oublier Varsovie ou Berlin, les colloques, débats et publications offrent un contraste saisissant entre l'Est et l'Ouest, pour garder la terminologie de l'époque. A Paris, les commémorations du « psychodrame » (Stanley Hoffmann) de Mai 1968 mélangent l'autosatisfecit d'une génération au désir de la suivante de s'approprier l'héritage de Mai avec d'autant plus de ferveur qu'il fut dénoncé par un nouveau Président de la République-décrit cependant par Daniel Cohn-Bendit comme un soixante-huitard qui s'ignore (de Mai 1968 il n'aurait gardé que le célèbre « jouir sans entrave »)… A Prague, on est moins porté à commémorer une défaite douloureuse-et un Alexandre Dubcek, certes émouvant, mais symbole d'un espoir déçu et aussi d'une capitulation qui annonçait vingt ans de 'normalisation'. Longtemps occulté, rejeté de la mémoire collective, le débat sur 1968 commence cependant à Prague avec la republication, après quarante ans, dans Literarni Noviny, de deux textes de référence écrits à chaud juste après l'occupation des « pays frères 1 » : l'un de Milan Kundera, l'autre de Vaclav Havel. Le premier disait en substance : malgré son échec, le Printemps de Prague garde une portée universelle comme première tentative, entre les modèles en vigueur à l'Est et à l'Ouest, de concilier le socialisme et la démocratie. Havel répondait que les grandes International Directeur de recherches au CERI-Sciences-Po Études-14, rue d'Assas-75006 Paris-Mai 2008-n° 4085 Document téléchargé depuis www.cairn.info-Institut d'Etudes Politiques de Paris-193.54.
2017
Les « annees 1968 » ont ete decrites comme un moment de changement transnational porte par une « communaute imaginee de la revolution mondiale ». Mais quelles en sont les modalites concretes de contacts, de discussions et de transmissions ? Ce numero analyse les circulations des pratiques et des projets se reclamant de la revolution au cours de cette periode dense et intense, aux echelles a la fois transnationale et locale, evidemment imbriquees. Il etudie les strategies d’exportation de « modeles » tout comme le role des internationales, et entend rompre avec un certain occidentalo-centrisme. Il tente ainsi de saisir ce que peut etre un cosmopolitisme de l’action au cœur des revolutions.
Amérique latine. L’année politique 2018/Les Etudes du CERI, 2019
Este ensayo examina la juventud rebelde de 1968 en América Latina y sus legados.
Actes de la recherche en sciences sociales, 2005
De son côté, Henri Michaux approuve l'occupation des locaux de la Société des gens de lettres. » Source : Archives de l'Union des écrivains, carton 9, second état du manuscrit « Livre sur l'Union », « Titre provisoire : contre l'ordre littéraire établi : dix ans de luttes », 1977. L'appel fondateur de l'Union des écrivains, 21 mai 1968
« Mémoires d’un étudiant en mai 1968 : le flux des manifestations et le protagoniste de l’événement », Le Mouvement Social, octobre-décembre 2010, p. 165-181. _______________ La parole des acteurs ordinaires de mai 1968 en France reste encore peu audible à cause du manque de témoignages recueillis de manière systématique, surtout dans le monde étudiant, avec en plus l'argument que ces acteurs seraient pris dans le flux déformant des « images mémorielles » et qu'il convient donc de craindre, voire de se méfier a priori de la parole de ces témoins. Recouverte par le travail analytique des historiens et la montée en généralisation des politistes, leur voix devient ainsi peu présente au point que j'ai pris l'initiative de rendre compte de ma propre voix, en essayant de me situer au plus proche de l'autoréflexivité de ma mémoire d'un événement vécu jour après jour et sur la base de ma culture acquise dans les années 1960. En mai 1968, j'étais étudiant en histoire de première année à la fac de Nanterre, donc un « étudiant de base » face à mes aînés déjà impliqués dans des mouvements organisationnels. Au cours de l'année universitaire, suite à la grève de la rentrée universitaire de l'automne 1967, je m'engage aux côtés de l'Union des étudiants communistes, et je participe aux événements au titre de simple protagoniste. J'ai relaté l'ensemble de cette expérience mémorable dans mes Mémoires sous le titre Cartographier la nostalgie. L'utopie concrète de mai 1968 (2013), ouvrage que je présente dans la rubrique Books. J'en donne ici un extrait, publié antérieurement dans Le Mouvement social.
En dépit du classicisme presque suranné du sujet, tenter de rendre compte des positions et du rôle de la Confédération générale du travail en mai-juin 1968 présente quelque témérité, qui tient en premier lieu à la multiplicité même de l'objet 1 . Sous l'unicité rassurante du sigle CGT pointe la prolifération de protagonistes multiples : la direction confédérale évidemment, mais également les fédérations, les unions départementales et locales, les syndicats à la base qui rassemblent l'infinie bigarrure des militants, davantage impliqués que les simples syndiqués. Certes, René Mouriaux conduit depuis plusieurs décennies un patient et riche travail sur la confédération et sa stratégie 2 . De même, nous pouvons mobiliser de solides études sur des bastions, notamment automobiles ou sidérurgistes 3 . Mais l'analyse des relations entre les différentes composantes de la CGT, des relations dialectiques entre les différentes instances fait encore défaut. A cette première difficulté s'en ajoute une seconde, plus fâcheuse : la dispersion des archives, voire leur manque, au niveau confédéral. La tradition fédérale aboutit en effet à une dispersion des archives, que prend en charge un nombre croissant d'Instituts d'histoire sociale de la CGT. Toutefois, les archives de la confédération sont extrêmement lacunaires en l'état, de sorte qu'on ignore presque complètement les informations qui sont remontées et qui ont pu influer sur les choix tactiques de la direction de la CGT dans le temps court. De même, nous ne savons pas exactement quel bilan du mouvement a été tiré à tous les niveaux.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2018
IDC des communistes, qui atteignait a la tragedie dans l'Espoir. de Malraux, nest plus ici qu'un deballage de linge sale. Les trotskystes sont passes maitres dans ce discours hyper-leniniste -anti-leniniste, critique et doctrinaire, arrogant et patelin. Pour eux, Ma.i, 1968 fut une etape decisive dans la preparation du Soviet de Petersbourg en 1905 ! VI Tout ceci impose une premiere reponse a la question posee . le discours ideologique de Mai 1968 est tourne vers le passe, non vers l'avenir ; it ne cherche pas a definir de nouveaux enjeux sociaux et de nouveaux acteurs politiques ; it detruit avec plus de rage l'espoir ouvrier et socialiste que le pouvoir gaulliste dont it ne se soucie guere. Le second ecran a travers lequel nous percevons le discours ideologique de Mai 1968 est la chute recente du tiers-mondisme et la fin, si longuement retardee par 1'intelligentsia frangaise, du modele sovietique. 1968 eclata au plus haut de la vague tiers-mondiste. Aux Etats-Unis, encore plus qu'en France, la lutte contre la guerre du Viet-Nam battait son plein et la France etait encore secouee par la revolution algerienne. L'Amerique latine se moquait de la democratie et n'etait identifiee qu'a la revolution castriste et au sacrifice du Che Guevara.. en Bolivie. Des annees plus tard, des journalistes du "Monde"exaltaient encore les Khmers Rouges, defendaient Cunhal contre Soares au Portugal, voyaient dans le MIR le for de lance de la revolution au Chili, par peur du reformisme et de la social-democratie. Le dernier, Michel Foucault, s'exaltera_ encore pour la revolution khomeiniste et souffrira longtemps de son erreur. n'acceptent plus qu'on leur fasse la legon au nom de regimes dans lesquels aucun d'entre eux n'accepterait de vivre et qui detruisent les libertes et les droits fondamentaux, regnent par le mensonge, la terreur et le soutien des armes sovietiques. Une longue parenthese s'est refermee. Nous nous sentons plus proches aujourd'hui de Jaures que de Sartre, de 1'attachement a un pays qui porte en lui le progres en meme temps que le conservatisme, la liberte en meme temps que l'exploitation, la solidarite en meme temps que l'inegalite, que du rejet total de notre type de soc.iete qui a entraine tant d'intellec-tuels hyper-critiques vers le culte aveugle des regimes totalitaires. Du coup, nous ne vivons plus ecrases par un pouvoir absolu, enfermes dans une societe dont les drapeaux porteraient "surveiller et punir" au lieu de "liberte, egalite, fraternite". Nous nous reprenons a esperer, a proposer, a debattre puisque notre societe n'est pas une Metropolis infernale. VII
Noëlline Castagnez et alii [dir.], Le Parti socialiste unifié. Histoire et postérité, Rennes, PUR, p. 171-182., 2013
En juillet 1968, la Direction centrale des renseignements généraux consacre un long rapport aux événements qui ont secoué le pays depuis mai 1 . Elle y passe en revue les différentes organisations suspectées d'avoir joué un rôle subversif, et pose le PSU en « chef d'orchestre », avant de pointer le rôle particulièrement trouble de Marc Heurgon.
La Revue Historique, 2018
Les dernières années 1960 sont marquées par une vague régionaliste dans tout le monde occidental, particulièrement notable en France parce qu’elle est en rupture avec l’idéologie « jacobine » et parce qu’elle est clairement ancrée à gauche. Plusieurs causes permettent de la comprendre, telles que la « découverte » de l’aménagement du territoire dans les années d’après-guerre, les changements socio- économiques des Trente Glorieuses, l’influence des luttes de décolonisation ou encore l’impact de Mai 68. Plus que tout autre parti, c’est le PSU qui symbolise l’intégration de la question régionale à gauche. Son élaboration doctrinale se fait en deux étapes, productrices de deux héritages : il développe tout d’abord un régionalisme démocratique et légitimiste en 1966-1967, avant d’élaborer une approche nationalitaire plus révolutionnaire en 1971-1974. Progressivement, d’autres organisations de gauche et d’extrême gauche intègrent également une réflexion en nouveauté sur la question régionale. Si ce gauchisme régionaliste a des justifications culturelles et démocratiques – respect et développement des cultures populaires, autogestion des questions territoriales par ceux qui sont concernés –, il a aussi une dimension cognitive et stratégique. L’objectif est de territorialiser les problèmes sociaux pour démontrer qu’ils sont le produit du développement inégal du capitalisme ; d’affirmer que l’État n’est pas qu’un instrument dans les mains des capitalistes, mais aussi un acteur direct de l’oppression des périphéries par ses politiques centralisatrices et uniformisantes ; et enfin d’espérer qu’une fusion des différentes luttes locales en des mouvements sociaux régionaux aidera à faire avancer l’agenda révolutionnaire. The 1960s and 1970s are characterised by a regionalist wave throughout the Western world, particularly notable in France because it breaks with the “Jacobin” ideology, that is, the traditional conception of France as a united, indivisible and centralized nation, and because it is clearly left-wing. Several causes make it possible to understand this wave, such as the “discovery” of regional planning in the post-war years, the socio-economic upheavals experienced during the 1950s and 1960s quick expansion, the influence of the decolonization struggles and the ideological impact of May 68. One party symbolizes the integration of the regional issue on the left: Michel Rocard’s Parti Socialiste Unifié (PSU). Its doctrinal elaboration is done in two stages, producing two legacies. It first developed a democratic and legitimist regionalism in 1966-1967, affirming the need for democratic regional institutions to revive French democracy and rebalance the French territory. These positions ensured its original identity within the French left. Then the party elaborated a more revolutionary nationalitarian approach in 1971-1974, denouncing the internal colonialism experienced by the national minorities in France, asserting the plurinational character of France. Progressively, other leftist organizations would also incorporate a new stance on the regional issue, among them the Maoist Gauche Prolétarienne (GP) or the Trotskyist Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR). If this leftist regionalism has cultural and democratic justifications – respect for and development of popular cultures, self-management of territorial issues by those who are concerned – it also has a cognitive and strategic dimension. The goal is to territorialize social problems to show that they are the product of the unequal development of capitalism; to affirm that the State is not only an instrument in the hands of the capitalists, but also a direct actor of the oppression of the peripheries by its centralizing and uniformizing policies; and finally to hope that a fusion of the different local struggles into regional social movements could be the spearhead of the Revolution. This rehabilitation of regionalism will affect the entire French left. Many of the left-wing regionalist demands elaborated during the 1960-1970s were to be implemented – admittedly at the minimum – by the French Socialist Party in the 1980s. The Greens incorporated this heritage even more comprehensively, at the institutional level, by defending asymmetric federalism, and at a cultural level, by promoting the strengthening of the place of regional languages in the public sphere.
Voix et Images
Trois « Cahiers de lecture » d’André Belleau sont conservés au Service des archives et de gestion des documents de l’Université du Québec à Montréal, où il a enseigné de 1969 à sa mort en 1986. Sauf pour des extraits parus en 1995, ces textes, qui comptent un peu plus de soixante mille mots, sont inédits. Quelques semaines ou mois avant de mourir, Belleau a relu les notes qu’il avait rassemblées depuis 1963. Il ne les a pas réorganisées, réécrites, transformées en profondeur, mais il a voulu s’y replonger et y laisser la trace, difficilement, d’une (re)lecture. Corrigeant, précisant, proposant des renvois, un auteur-lecteur arrêtait son texte une dernière fois. Pour lui-même ? Pour d’autres ? Mais qu’est-ce que ces « Cahiers » ? Quelle place occupent-ils par rapport aux publications, études ou essais, d’André Belleau ? Que révèlent-ils de l’atelier de l’écrivain ? C’est à ces questions que l’article s’attache à répondre.
Je souhaite présentement montrer en quoi l'analyste du discours et le sémioticien dialoguent à leur façon pour rendre compte de l'impensé de l'énonciation, en lisant et relisant Benveniste. Ce dialogue, nous allons le présenter sur la base de divers exemples, le discours colonial et néocolonial de la France en premier et surtout le moment 1968 en France pour l'analyste de discours, avec à mi-chemin le discours européen pour le sémioticien. Le présent texte resitue principalement notre présentation d'une partie de nos Mémoires sur mai 1968 (Presses Universitaires de Franche-Comté, 2013) antérieurement publiée (« Mémoires d'un étudiant en mai 1968 : le flux des manifestations et le protagoniste de l'événement », Le Mouvement Social, octobre-décembre 2010, p. 165-181) dans le cadre d'une réflexion sur l'énonciation qui se situe au-delà de notre première investigation sur l'historique de la catégorie d'énonciation en analyse de discours du côté de l'histoire (J. Guilhaumou et D. Maldidier, « De l'énonciation à l'événement discursif en analyse de discours », in J. Guilhaumou, D. Maldidier, R. Robin, Discours et archive, Bruxelles, Mardaga, 1994). Je souhaite présentement montrer en quoi l'analyste du discours et le sémioticien dialoguent à leur façon pour rendre compte de l'impensé de l'énonciation. C'est donc ce dialogue que nous allons présenter sur la base de plusieurs exemples, le discours colonial et néocolonial de la France et surtout le moment 1968 en France pour l'analyste de discours, et à mi-chemin le discours européen pour le sémioticien.
L'année 1968 est marquante pour le militantisme étudiant. À l'époque de la naissance des cégeps, les étudiants québécois voulaient transformer du tout au tout l'éducation post-secondaire. «On sortait des collèges classiques réservés à une élite qui ne se préparait qu'aux professions libérales, raconte la députée d'Hochelaga-Maisonneuve, Louise Harel, qui a été très active au sein de la défunte Union générale des étudiants du Québec (UGEQ). C'était une sorte de carcan avec un enseignement très traditionnel. C'est au moment de la révolution tranquille alors, je crois, que le mouvement étudiant était porté par l'air du temps.» Comme en France, aux États-Unis, au Japon et au Mexique, des étudiants québécois se sont révoltés. La crise a été déclenchée au début du mois d'octobre 1968 au cégep de Lionel-Groulx, où le militantisme étudiant était déjà une tradition. L'agitation a rapidement gagné une dizaine d'autres cégeps. Des écoles secondaires et même des universités ont emboîté le pas en déclenchant des grèves.
Les Sciences de l'éducation - Pour l'Ère nouvelle, 2008
Distribution électronique Cairn.info pour CIRNEF. Distribution électronique Cairn.info pour CIRNEF. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-les-sciences-de-l-education-pour-l-ere-nouvelle-2008-3-page-27.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info.
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