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2019, La Revue de la BNU
La Revue de la BNU, 2019
La Revue de la BNU, 2019
Secolul 21.Luxembourg: o capitala in Europa, 2007
EchoGéo, 2018
Street art et mise en tourisme de la métropole parisienne, des festivals aux ...
Métropoles, 2010
La perspective critique élaborée par Henri Lefebvre demeure pertinente pour penser les rapports sociaux à l'espace, y inclus ceux qu'on observe dans les métropoles contemporaines en Amérique du Nord. En examinant la controverse autour de la forme urbaine telle que celle-ci a été remise à l'ordre du jour dans les années 1990 à la faveur du discours néorégionaliste, ce texte pose la question de l'avenir des métropoles et du modèle de ville dans lequel on souhaite vivre. La thèse défendue peut se résumer comme suit : afin de faire échec à la position libérale qui accorde la préséance aux facteurs économiques et aux forces du marché, les acteurs sociaux doivent porter le débat autour de la forme urbaine sur le terrain politique. À cette fin, l'urgence demeure de mobiliser la communauté politique.
La Revue de la BNU, 2019
À l'époque humaniste, la ville de Venise était définie par le terme de corps urbain.
Sociologie et sociétés, 2002
Résumé L’Organisation mondiale du marché de l’art contemporain aussi bien que les modes d’établissement de la réputation ont pu laisser penser que l’art le plus avancé était aujourd’hui très largement déterritorialisé. L’exemple de l’arte povera permet de traiter en de nouveaux termes de la question de l’internationalisation de l’art, à partir d’un exemple qui appartient aujourd’hui pleinement à l’histoire de l’art. L’exemple de l’arte povera permet de mettre au jour les effets propres d’une certaine « localité » de l’art contemporain. Comment un phénomène local, émanant d’un pays qui n’avait pas vraiment joué de rôle moteur dans les arts plastiques d’avant-garde, a-t-il pu avoir des conséquences globales ? Le texte tente de répondre partiellement à la question que soulève la très large reconnaissance de l’importance historique de l’arte povera aussi bien que sa fécondité artistique, en commençant par l’analyse de la constitution d’un réseau relationnel dans l’Italie du Nord au débu...
Histoire Urbaine, 2009
Militant leaders in a Moscow district classified as a “monument of the Soviet period,” much coveted and yet self-administrated, decide to create a museum of their garden city. The making of this museum, and then its uses show the plurality of their objectives and the difficulties of the challenge: to produce the figure of the post-socialist metropolitan aboriginal to legitimate one’s inhabiting the garden city, to make objects of exposure prove this autochthony, or to realize the myth of a community by doing things together. They take up the challenge with virtuoso pragmatism of the art of time syncopation and of syncretism of values. An anthropological approach to this space in terms of “social life” sheds light on the ever-changing complexity of the social relations people build by manipulating this space.
2. AMBROSINO C., GUILLON V., 2014, « Scènes et milieux de la créativité métropolitaine. Arts numériques, technoscience et culture du libre à Lyon », Communication au colloque Scènes et territoires : questions de valeur, Angers, Nantes et St-Nazaire, les 11, 12 et 13 juin 2014
L'écrin métropolitain de la créativité « Ce sont les concepts, les idées, les images, et non plus les choses, qui ont une vraie valeur ». C'est ainsi que l'essayiste Jeremy Rifkin décrit l'évolution des économies contemporaines dans les pays occidentaux. Dans cette nouvelle économie dite « cognitive et culturelle » (Scott, 2008), la créativité constitue un avantage comparatif pour les individus, les entreprises, les organisations et les territoires. C'est en tout cas sur ce postulat que repose en partie la notion de ville créative, laquelle opère un rapprochement entre les champs de l'art et de la culture, d'une part, et ceux de la créativité individuelle et collective, d'autre part (Landry, 2000). Il est clair que la construction des différents discours qu'elle suscite au sein de groupes de spécialistes et d'universitaires a un effet performatif sur la réalité sociale. Autrement dit, cette notion ne se limite pas à représenter un changement, elle le provoque. Les savoirs experts qui en découlent interviennent directement dans la constitution du monde qu'ils s'efforcent de décrire et aboutissent à la formulation d'une nouvelle grammaire de l'action publique, une doxa qui semble se dupliquer de manière indifférenciée d'une métropole à l'autre au seul prisme de son acception économiciste (Grodach, 2012). On peut en identifier au moins trois déclinaisons :
Echosciences, 2014
lieux-et-fabrique-des-villes-contemporaines 2 Les technologies numériques participent de manière croissante à la fabrique et au fonctionnement des villes (mobilité, sécurité, urbanisme, environnement, sociabilité, culture, loisirs). Un axe de recherche à explorer. L'intégration des innovations techniques dans la fabrique des villes est un phénomène ancien. Sans remonter à l'époque Antique et à l'origine des villes, évoquons les projets urbains des architectesurbanistes du début du 20ème siècle. La Ville Contemporaine de Le Corbusier (1922), Broadacre City de Frank Lloyd Wright (1931), Manhattan 1950 de Raymond Hood (1929) ou encore la Cité Idéale de Tony Garnier, mettent en scène de manière systématique les dernières avancées technologiques : intégration des nouveaux matériaux de construction (acier, béton armé), immenses gratte-ciel monolithiques, obsession du transport rapide (ascenseur, train métropolitain, automobiles), perspectives aériennes. Broadacre City de Frank Lloyd Wright (1931) présentée au MoMA La période actuelle s'inscrit pleinement dans cette perspective. Les technologies numériques participent de manière croissante à la fabrique et au fonctionnement des villes. Les champs d'application sont considérables et intéressent des domaines comme la mobilité, la sécurité, l'urbanisme (domotique ; maquettes interactives), l'environnement (« smart grids »), la sociabilité
2020
Cet article vise à présenter l'installation d'un équipement culturel imposé par une logique d'attractivité territoriale. Ce dernier rayonne à l'échelle internationale, et porte une image positive, évalué selon le critère quantitatif du nombre de visiteurs. L'idée des pouvoirs politiques est qu'il pourrait également contribuer à transformer l'image du quartier, et à le rendre attractif, attirant ainsi de nouveaux investisseurs. Nous chercherons à comprendre les mécanismes en jeu à différentes échelles en convoquant une équipe pluridisciplinaire. Des contradictions ne vont pas tarder à apparaître. Lorsque le marketing urbain et la régénération urbaine sont convoqués, quelle est la place laissée aux habitants du quartier ?
Cahiers de géographie du Québec, 2005
Résumé Les métropoles contemporaines, qui se caractérisent notamment par une plus grande mobilité des habitants, par l’étalement urbain et par l’établissement de nouvelles hiérarchies entre les principales composantes de leur territoire, soulèvent une série de controverses sociales et politiques relativement à leur avenir. Cela inspire une réflexion exploratoire sur la portée des choix individuels et collectifs en ce qui a trait à la viabilité des formes que prennent aujourd’hui ces milieux de vie. Le texte est subdivisé en trois parties. Dans un premier temps, j’évoque l’évolution des métropoles contemporaines et tente de dégager quelques facteurs explicatifs. Dans un deuxième temps, j’examine deux controverses importantes en ce qui a trait à leur évolution dans le contexte nord-américain. Enfin, je traite des implications politiques de ces controverses en référence à la démocratie locale.
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