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2010
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229 pages
1 file
Bulletin d'histoire politique, 2018
L’Harmattan, Paris, 367 pages, 2005
Plusieurs éléments donnent à ce récit un intérêt en soi : ainsi s’entend-on rappeler que la résistance face à l’occupant n’a pas cessé à l’été 1944, mais bien un an plus tard, en particulier en Italie, où le maquis de mon père opérait. En croyant le contraire, on paie ici une erreur due à une lecture de la seconde guerre mondiale très franco-française, qui fait commencer les événements avec la « drôle de guerre » souvent ramenée à l’épisode de l’ « exode » et les fait se terminer avec la libération de Paris, quand ce n’est pas au débarquement en Normandie. Autre intérêt de ce témoignage, il montre que les esprits étaient véritablement très troublés durant la seconde guerre mondiale, donnant aux événements une tournure tout de suite plus dramatique et relativisant les engagements des uns et des autres, à l’exception toutefois des mieux informés et des plus engagés idéologiquement qui furent bien souvent le jouet de ces mêmes événements dont ils avaient bien du mal à saisir le sens ultime, sinon profond. On comprendra ici, en particulier, que le geste d’un résistant contraint de prendre les armes pour défendre ses idéaux n’est pas un geste de guerre, c’est le geste d’un homme qui veut la paix pour les siens. Cela aussi est une leçon de ce récit qui forme comme une longue réflexion sur la notion de résistance.
Opium #4, 2016
Le présent papier tente de réaliser une distinction conceptuelle entre la notion de ville et celle de cité. La seconde ayant eu tendance à cacher la première dans l'Histoire de la philosophie. Il s'agira, partant de là, de s'interroger sur la possibilité d'une révolution de la ville qui ne soit pas déjà révolution de la cité.
chapitre III.1 de l'ouvrage "De la Différence Urbaine"
Confluences Méditerranée, 2004
Docteur en science politique et artiste-peintre, Sadri Khiari est membre fondateur du Conseil national des libertés en Tunisie (CNLT) et de RAID (Attac/Tunisie). Il a écrit un livre dont la thèse principale est que la défaite du mouvement populaire a entraîné une insertion de la Tunisie dans l’économie mondialisée, dont l’effet immédiat est la décomposition économique, sociale et politique du pays. Cette défaite a eu par ailleurs pour conséquence de laisser le champ libre à une opposition islamiste dont les progrès gênent aujourd’hui le réveil de l’opposition démocratique, divisée sur la question des rapports à avoir avec cette mouvance. L’auteur tente de démontrer cette thèse à l’aide d’une analyse rigoureuse et pertinente de la situation politique tunisienne en montrant la continuité, et les différences, des régimes de Bourguiba et de Ben Ali.
Editorial du n° 83 de la revue Mouvements
L'Émancipation syndicale et pédagogique, 2006
L'année 2006 est l'occasion pour les syndicalistes de revisiter un pilier fondateur : la Charte adoptée par le congrès de 1906 de la C.G.T... Texte repris dans le dossier "100 ans de syndicalisme révolutionnaire dans l’éducation" (Emancipation tendance intersyndicale, stage des 28 et 29 mai 2010)
Le Centre pour la Communication Scientifique Directe - HAL - Inria, 2010
Sous un soleil brûlant, au coeur de Mulhouse, la foule se presse lundi pour découvrir cette Cité manifeste qui intrigue depuis que le projet a été lancé, en 2001. Un alignement de structures métalliques et de bardages colorés. La vieille ville ouvrière était à la dérive : maisons trop petites, climat d'insécurité. Elle a été transformée en un prototype de logement social. Jean-Louis Borloo, venu spécialement pour l'occasion, exulte : le logement social a fait reculer "la tyrannie des bétonneurs et cimentiers". "C'est la fin de la cage à poules ! Le manifeste de Mulhouse va rentrer dans l'Histoire", ajoute, lyrique, le ministre de la Cohésion sociale" Le Point. fr, publié le 18 janvier 2007 En 2001, Pierre Zemp, directeur de la Société Mulhousienne des Cités ouvrières (SOMCO), fait coïncider les 150 ans de la société avec le lancement d'un programme de réflexion novateur sur le logement social : la Cité manifeste. Rappelons que la SOMCO est à l'origine de la première grande opération de cité ouvrière en France. Fondée en 1853 à l'initiative de Jean Dollfus, directeur de l'entreprise textile Dolffus-Mieg et Compagnie (DMC), cette première cité est influencée par le modèle de logements ouvriers de Manchester en Angleterre. 1 200 maisons familiales ont ainsi été réalisées sur la base d'un carré appelé "carré mulhousien". Marie-Claire Vitoux, spécialiste de l'histoire sociale du XIX e siècle, en rappelle les grands principes fondateurs : "Sur un terrain plat, on délimitait une surface de 120 mètres carrés, on y croisait deux perpendiculaires,
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Bulletin annuel de la Société de l'histoire de Paris et de l'Île-de-France (142ème année), Paris, Champion, pp. 39-63, 2017
Clio. Femmes, Genre, Histoire, 2019
Lieux Communs, 2012
La Cité des Poètes de Vito Mario Giglio Un manifeste de l’habitation moderne, 2019
Relief vol. 6 n. 1, 2012
Cahiers de géographie du Québec, 2005
Espace public, espace politique, 2016
Cahiers d’études italiennes, 2004
2022
Le Monde Diplomatique, 2021