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2022, 2022, In: J.-M. Doyen (éd.); P. Cattelain, L. Delvaux & G. De Mulder (coll.), De l'Escaut au Nil: Bric-à-brac en hommage à Eugène Warmenbol à l'occasion de son 65e anniversaire (Guide archéologique du Malgré-Tout), Treignes: Édition du Cedarc: 67-74.
Émile Wauters nous emmène un moment dans la vie des bords du Nil à 6 heures du matin. Ce tableau (63 x 42 cm) rappelle Le Panorama du Caire, peinture monumentale de 114 mètres de long et 14 mètres de haut,
[Collectif], Ceci n’est pas une pyramide… Un siècle de recherche archéologique belge en Égypte, p. 20-31., 2012
Bickel Susanne, Fischer-Elfert Hans-Werner, Loprieno Antonio, Richter Sebastian (eds), Ägyptologen und Ägyptologien zwischen Kaiserreich und Gründung der beiden deutschen Staaten, pp. 193-241, 2013
"Reflexionen zur Geschichte und Episteme eines altertumswissenschaftlichen Fachs im 150. Jahr der 'Zeitschrift für Ägyptische Sprache und Altertumskunde'. The Journal for Egyptian Language and Ancient Studies (ZÄS) was first published in 1863, and this special volume celebrates the 150th anniversary of the oldest academic journal of Egyptology. Expert contributors present different aspects of the history of German Egyptology, the ZÄS, and important historical figures in the field. The volume covers the National Socialist period, and also includes essays on English, Belgian, and French Egyptology."
Bruwier Marie-Cécile (dir.), Livres et archives de l’égyptologue Alexandre Moret (1868-1938) à Mariemont. Catalogue de l’exposition organisée au Musée royal de Mariemont du 24 mars au 2 juin 2000, p. 11-17., 2000
Cahiers Internationaux de Théologie Pratique, série "Documents" n° 10, en ligne : www.pastoralis.org, 2013
Les souvenirs et réflexions de Jean-Thierry Maertens sont ici publiés sous la forme d’un entretien accordé en 1999 et resté inédit. Ce texte a une valeur documentaire intéressante pour la recherche liturgique, particulièrement pour la période immédiatement préconciliaire du mouvement liturgique et les débuts de la réforme liturgique. L’auteur fait aussi une relecture de ses recherches ultérieures en ritologie.
Nouveaux horizons sur l’espace antique et moderne, Actes du Symposium Invitation au voyage (juin 2013) édité par Marie-Ange JULIA, Ausonius Scripta Receptoria 2, Bordeaux., 2013
Les origines de la légende argonautique La légende argonautique est ancienne. Les Argonautes sont des Minyens ou même, selon Hérodote, 4,145, les ancêtres des Minyens, ce qui les situe au milieu du deuxième millénaire (Ramin 1979 : 95). Les premières listes d'Argonautes sont celle de la Quatrième Pythique de Pindare et celle de l'inscription de Chios, dont les habitants se disaient issus des Pélasges de Thessalie, donc des Minyens (Haussoullier 1890). Ils représentent la première génération connue de l'âge des héros du mythe d'Hésiode, Travaux, 109-201, celle qui précède la génération de le guerre de Troie, comme on peut le constater dans l'Iliade pour plusieurs d'entre eux : l'Argonaute Pélée, père d'Achille, est trop vieux pour y prendre part ; son frère Télamon est le père du « Grand Ajax » ; selon l'Iliade, Héraclès (18,117-119), qui avait pris Troie antérieurement (5,638-642), et les Dioscures (3,236-242) sont morts. Orphée passe pour l'ancêtre d'Homère et d'Hésiode. C'est aussi la plus valeureuse : Héraclès a pris Troie par un coup de main, la coalition réunie autour d'Agamemnon a mis dix ans, et a dû recourir à la ruse. Le personnage de Circé constitue un lien entre la légende argonautique et l'Odyssée, qui mentionne également Aiétès, 10,137, Pélias et Aison, 11,254 ; 259. Meuli (1921), qu'approuve Vian (1987 : 74), a soutenu que l'Odyssée s'inspire d'une version antérieure de la légende argonautique. Cette légende, originaire de Thessalie, est alludée dans deux vers de l'Iliade, 7,468-469, qui mentionnent Jason, Hypsipyle et leur fils Eunée, dans un passage de l'Odyssée, 12,69-72, où Argo est qualifiée de πα̃ σ µέ λουσα « qui intéresse tout le monde » ; elle est mentionnée brièvement par Hésiode, Théogonie, 992-1002. Elle a été traitée par le Corinthien Eumélos dans une oeuvre perdue, les Korinthiaka, que mentionne Pausanias 2,1,1. Pindare lui consacre l'essentiel de sa Quatrième Pythique. Le récit le plus détaillé est celui des Argonautiques d'Apollonios de Rhodes. Il a fait l'objet d'une étude de Niedergang-Janon (2002) qui vise principalement à situer l'oeuvre dans son époque en insistant sur les ruptures dans le domaine religieux, et montre que l'auteur se distancie par rapport à la tradition dont il se plaît à rappeler la diversité. Le thème est repris ultérieurement dans la Bibliothèque d'Apollodore, et par divers autres auteurs grecs et romains qui peuvent avoir conservé de données originelles omises par leurs devanciers identifiés. La légende argonautique a été en concurrence avec la légende thébaine (Vian 1963 : 62), et des emprunts mutuels sont observables (ibid. 164). 110 On laissera de côté les nombreux textes perdus qu'énumère Radermacher (1943 : 166 et suiv.), sauf ceux dont on a conservé des fragments importants pour la reconstruction de la préhistoire de la légende.
- KUPPER Jean-Louis, Saint Lambert. De l’histoire à la légende, p. 1-16
Sur les traces de Jean Capart. Bulletin de liaison du Fonds Jean Capart - N° 3, 2020
Présidence d'Honneur S.A.R. la Princesse Esméralda de Belgique Présidence M. Dominique Capart Direction scientifique M. Jean-Michel Bruffaerts Comité de gestion M. Dominique Capart (président fondateur) M. Gilles Capart (membre fondateur) M. Dominique Allard (membre) M. Luc Delvaux (membre) M. Jean-Michel Bruffaerts (invité permanent) M. Philippe Capart (invité permanent) Comité d'experts M. Laurent Bavay (ULB) M. Eric Bousmar (USL-B) M. Jean-Michel Bruffaerts (FJC) M. Wouter Claes (MRAH) Mme Marleen De Meyer (KU Leuven) M. Luc Limme (AERE) M. Alain Martin (AERE) Mme Nathalie Tousignant (USL-B) M. Eugène Warmenbol (ULB) Secrétariat (Fondation Roi Baudouin) Mme Anne De Breuck Mme Laura Goyens
Schreiber Jean-Philippe (dir.), L’école bruxelloise d’étude des religions : 150 ans d’approche libre-exaministe du fait religieux, p. 99-128 (Coll. Religion et Altérité), 2012
Van Loo Anne - Bruwier Marie-Cécile (dir.), Héliopolis, p. 35-38., 2010
Simon Connor – Dimitri Laboury (éds.), Toutankhamon. A la découverte du pharaon oublié. Exposition organisée à l’espace Europa Expo à la gare TGV des Guillemins. Liège, 14 décembre 2019 – 31 mai 2020. Liège, Presses Universitaires de Liège, 2019 (Collection Aegyptiaca Leodiensia, 12), p. 314-317
2022
Janvier 1937. Jean Capart, concrétise enfin l’une de ses plus grandes ambitions : doter la Belgique d’une fouille archéologique en Égypte. Son choix s’est porté sur le site d’Elkab, en Haute-Égypte et durant deux mois, la petite équipe menée par le père fondateur de l’égyptologie belge entreprend l’exploration de la ville-sanctuaire de la déesse Nekhbet. Aux côtés de Capart se trouve Violette Verhoogen, alors attachée au département des Antiquités grecques et romaines des MRAH, qui nous fait suivre l’avancement du chantier et la vie quotidienne de la mission au travers des lettres qu’elle adresse à ses parents à Bruxelles, une riche correspondance leguée par sa nièce Claire Dickstein-Bernard peu avant sa disparition.
Sur les traces de Jean Capart. Bulletin de liaison du Fonds Jean Capart, 2020
In 1925, during his first travel to the United States of America, Jean Capart, the founding father of Belgian Egyptology and future Advisory Curator of the Brooklyn Museum in New York, was received in audience at the White House by the President of the United States John Calvin Coolidge, before meeting with the Secretary of Commerce (and next President) Herbert Clark Hoover.
Critique, 2019
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Rabaska: Revue d'ethnologie de l'Amérique française, 2018
En 2016, peu après la parution de l’ouvrage synthèse Les Tabernacles du Québec des xviie et xviiie siècles, un tabernacle méconnu, sculpté vers 1795 par Philippe Liébert (1733-1804) pour l’église de Saint-Constant (Montérégie), est sorti de l’ombre, s’additionnant aux 84 ouvrages déjà recensés. On doit au sculpteur Liébert plus d’une quinzaine d’autels principaux ou encore latéraux, dont l’exceptionnel maître-autel de l’ancien Hôpital Général de Montréal datant des années 1785-1788 et offert par les Soeurs grises au Musée national des beaux-arts du Québec, en 2000. L’ancien tabernacle de Saint-Constant, aujourd’hui en usage dans l’église de Sainte Clotilde (Montérégie), se distingue de la production de Liébert par une architecture inédite et par l’adjonction de deux statuettes atypiques.
https://recaeg.hypotheses.org/118 This is the first article in a series devoted to scientific exchanges between Jean Capart, curator at the Musée du Cinquantenaire in Brussels and founder of Belgian Egyptology, and Wilhelm Spiegelberg, professor at the German University of Strasbourg and founder of an Egyptian collection and an institute for Egyptology. The purpose of this series is to celebrate the 120 th anniversary of the first encounter of these scholars. The editing of an epistolary report written by the German scholar on the acquisitions made by Jean Capart, who had recently returned from a trip to Egypt, shows that Wilhelm Spiegelberg understood the significance of some interesting pieces long before other authors published them. His letter also illustrates the interest in art history and archaeology shown by this scholar, who is best known for his philological expertise. Pour citer cet article : Fr. COLIN, « Wilhelm Spiegelberg, Jean Capart et la collection égyptienne du Cinquantenaire. Une amitié savante entre Strasbourg et Bruxelles (I) », Recollecta AEgyptiaca, 18 juillet 2020, § X-§ Y, https://recaeg.hypotheses.org/118, consulté le xx/xx/xxxx.
Revue d'histoire du XIXe siècle, 2000
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