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2014
These de doctorat effectuee en cotutelle au Departement d’histoire de l’art et d’etudes cinematographiques de la Faculte des arts et des sciences de l'Universite de Montreal et a la Section d’histoire et esthetique du cinema de la Faculte des lettres de l'Universite de Lausanne.
1895, 2008
Le cinématographe chez Edmond Pezon, sans date. Edmond est le fils d'Adrien, le rédacteur en chef de Paris-Forain en juin 1896. Coll. Charles Degeldère, DR.
Regards de la presse cinématographique française sur le bonimenteur de vues animées entre 1909 et 1914.
Laurent Le Forestier → Permanence le jeudi 14-16h en B218 TECHNES → Techniques audiovisuelles et leurs usages.
Ce séminaire de recherche part de la volonté d’interroger le rapport au temps historique dans le cinéma contemporain et dans le cinéma de la deuxième moitié du vingtième siècle. Nous nous proposons de travailler cette question à partir de corpus variés (cinématographies de diverses périodes et régions). Les années 1960 apparaissent comme une périodisation cohérente car c’est une époque de nouvelles vagues dans le monde mais également d’un véritable renouveau aussi bien esthétique, que narratif, thématique et formel. En empruntant la terminologie de François Hartog, nous nous proposons donc d’interroger les régimes d’historicité dans le cinéma et la mutation des formes et des thématiques au cours des décennies, ainsi que la circulation des images et des figures entre des périodes en apparence éloignées, voire antinomiques. Nous nous intéressons tout particulièrement à des moments de crise de temps qui marquent et interrogent le rapport au temps et à l'Histoire dans de nombreuses filmographies durant des périodes de bouleversements sociopolitiques, ainsi qu’à l’idée de trace du passé dans ses multiples formes (thématiques, esthétiques, narratives, formelles). Une attention particulière sera portée à la question de la présence du passé historique dans les films comme la forme d'une construction ou d'une reconstruction. Enfin, nous interrogerons la manière dont ces régimes d’historicité et l’histoire des représentations qu’ils produisent, permettent de penser une histoire du cinéma travaillée autant par les continuités et les héritages que par les ruptures. Le terme même de la contemporanéité et des « cinémas contemporains » sera repensé et interrogé au prisme de leur ancrage dans la mémoire, la dyschronie et le principe de déphasage temporel comme mode opératoire.
2018
Ce séminaire de recherche part de la volonté d’interroger le rapport au temps historique dans le cinéma contemporain et dans le cinéma de la deuxième moitié du vingtième siècle. Nous nous proposons de travailler cette question à partir de corpus variés (cinématographies de diverses périodes et régions). Les années 1960 apparaissent comme une périodisation cohérente car c’est une époque de nouvelles vagues dans le monde mais également d’un véritable renouveau aussi bien esthétique, que narratif, thématique et formel. En empruntant la terminologie de François Hartog, nous nous proposons donc d’interroger les régimes d’historicité dans le cinéma et la mutation des formes et des thématiques au cours des décennies, ainsi que la circulation des images et des figures entre des périodes en apparence éloignées, voire antinomiques. Nous nous intéressons tout particulièrement à des moments de crise de temps qui marquent et interrogent le rapport au temps et à l'Histoire dans de nombreuses filmographies durant des périodes de bouleversements sociopolitiques, ainsi qu’à l’idée de trace du passé dans ses multiples formes (thématiques, esthétiques, narratives, formelles). Une attention particulière sera portée à la question de la présence du passé historique dans les films comme la forme d'une construction ou d'une reconstruction. Enfin, nous interrogerons la manière dont ces régimes d’historicité et l’histoire des représentations qu’ils produisent, permettent de penser une histoire du cinéma travaillée autant par les continuités et les héritages que par les ruptures. Le terme même de la contemporanéité et des « cinémas contemporains » sera repensé et interrogé au prisme de leur ancrage dans la mémoire, la dyschronie et le principe de déphasage temporel comme mode opératoire.
1996
Exemple territorialisé de la "décentralisation théâtrale" en France, à partir de la troupe du Théâtre de Bourgogne.
1895, 2003
Ce document a été généré automatiquement le 16 avril 2022. © AFRHC Archives et Histoire : des archives pour l'histoire-du cinéma ? 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze, 40 | 2003
Cahiers du CIRCAV (Université Lille 3), n° 21, 2010
Cette étude diachronique se propose de rendre compte de la pérennité et de l’évolution du format large dans la production française des cinquante dernières années (1953-2000), en convoquant aussi bien l’analyse des théoriciens et critiques que celles des praticiens du cinéma national. Format du cinéma spectaculaire par excellence, qui insiste sur une immersion du spectateur dans l’image, le cadre élargi de l’image permet aussi tous les excès visuels et redéfinit la liberté des figures dans le cadre ainsi que le rapport du spectateur à l’image (chers à André Bazin). En dépit de ses limitations optiques, le CinemaScope est plus particulièrement utilisé pour son apport spécifique à la dramaturgie des films à caractère psychologique : plénitude ou vacuité du cadre, effet de profondeur, d’à-plat ou de surgissement ou encore redéfinition du montage. En outre, la versatilité de son utilisation l’accommode finalement à de nombreux genres cinématographiques et lui fait acquérir un nouveau statut esthétique plus réflexif : celui de conférer à l’image de cinéma son essence même, on pourrait dire sa “cinématographicité”.
Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 2004
Dans Vingtième Siècle. Revue d'histoire Vingtième Siècle. Revue d'histoire 2004/3 (n 2004/3 (n o o 83) 83), pages 21 à 38 Éditions Presses de Sciences Po Presses de Sciences Po
1) Histoire du cinéma 2) Le cinéma et la communication 3) Comment une image est elle construite 4) Comment raconte-t-on une image Obj : -Apperçut historique du cinéma -Quest-ce qu'une image en mouvement -Le cinéma est un domaine très vaste Critères de distinction entre des films Noir et blanc / couleur Muet / parlant Qualité des images Musique de film Effets spéciaux Images réelles vs images animées Genres (donne un certain nombre de code): western, SF, action, aventure, comédie, romance, horreur, etc… Fiction (reconstruit un univers) / documentaire (film le monde tel qu'il est) Gros budget / petit budget Jeu des acteurs Pays Discours politique / pur divertissement Pudeur
co-écrit avec Delphine Chedaleux, in Genres et acteurs du cinéma français 1930-1960, Gwénaëlle Le Gras et Delphine Chedaleux (dir.), Presses Universitaires de Rennes, février 2012, pp. 11-18., 2012
1895 Mille Huit Cent Quatre Vingt Quinze Revue De L Association Francaise De Recherche Sur L Histoire Du Cinema, 2011
Le Gras G., Sellier G. (dir.), Cinémas et cinéphilies populaires dans la France d’après-guerre 1945-1958, Paris, Nouveau Monde, à paraître en 2015.
A rebours de la hiérarchie établie par l’historiographie, cet article considère les magazines populaires de cinéma comme parties prenantes de la cinéphilie d’après-guerre. Nous prenons l’exemple de Cinémonde en nous focalisant non pas sur les stars, mais sur le traitement des débats traditionnellement associés à la cinéphilie savante telle qu’elle s’est élaborée au même moment dans les revues politiques et/ou intellectuelles. Il s’agit de mettre en lumière une dimension jusqu’alors impensée de ces magazines populaires, qui ont contribué à leur manière aux débats cinéphiles. Cette démarche nous conduit ainsi à envisager la place occupée par Cinémonde dans le champ des publications cinéphiles qui (re)naissent dans la France d’après-guerre. En faisant émerger les nombreuses connexions existant entre un magazine grand public comme Cinémonde et les revues ayant marqué l’histoire de la cinéphilie, l’article questionne du reste empiriquement la distinction entre cinéphilie « savante » et cinéphilie « populaire ».
1895, 2004
Dès fin avril 1896, le Cinématographe-Lumière était installé dans la quasi-totalité des villes françaises de plus de 100 000 habitants
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2021
La presse : une source essentielle pour la recherche cinématographique, 2015
Résumé : Dans le domaine de la recherche cinématographique, la presse constitue un apport essentiel, car elle reste la seule source encore accessible aujourd'hui, lorsque les documents originaux comme les films ou les autres archives s’y rapportant ont disparu. Cette constatation se vérifie également pour l’écriture de l’histoire de la presse elle-même. À travers l’exemple de revues de cinéma des années 1910-1930, aussi bien corporatives, cinéphiles que grand public, cette intervention cherchera à montrer comment la presse cinématographique peut devenir une source de sa propre histoire. Quelles données fondamentales peut-elle nous fournir ? Comment l’interroger et où chercher ces informations ? Car, perdues ou détruites, les archives administratives, de fabrication et de diffusion de ces revues n’ont malheureusement pas été conservées à travers le temps. Abstract : In the field of cinema research, the press provides an essential contribution, as it is the only available source when original documents such as films or other related archives have disappeared. This observation also applies to the writing of the history of the press itself. Through the example of film magazines of the 1910s-1930s, this paper aims to demonstrate how the film press can become a source for its own history. What fundamental data does it provide us? How do we question it and where can we search for this information when administrative archives and data regarding the making and distribution of these magazines may be lost or destroyed?
Apuntes. Revista de estudios sobre patrimonio cultural, 2018
Au début des années 1920, l’architecture cinématographique en est encore à ses balbutiements. Si une poignée d’architectes (Henri Sauvage, Marcel Oudin, E. Vergnes, Charles Siclis, Auguste Bluysen) et d’exploitants aspire à la naissance d’une architecture spécifique, adaptée à la projection et affranchie de toute filiation avec l’héritage théâtral, l’éclectisme des solutions mises en oeuvre – parfois même leur archaïsme – témoigne de l’effervescence de ces années de recherche. En France, il faut attendre le lancement commercial des films sonorisés, puis leur généralisation au cours des années 1930, pour que le cinéma connaisse une seconde naissance. Les directeurs de salles deviennent les maîtres d’ouvrage d’un important chantier de sonorisation et de modernisation des lieux de projection. Saisissant cette opportunité pour inventer une architecture qui satisfasse pleinement aux exigences du spectacle et de l’exploitation cinématographiques, les architectes captent et mettent à l’é...
2009
En génération, un réalisateur de surface a pour fonction de produire, à partir d'une représentation conceptuelle donnée, une phrase grammaticale. Les réalisateur existants soit utilisent une grammaire réversible et des méthodes statistiques pour déterminer parmi l'ensemble des sorties produites la plus plausible ; soit utilisent des grammaires spécialisées pour la génération et des méthodes symboliques pour déterminer la paraphrase la plus appropriée à un contexte de génération donné. Dans cet article, nous présentons GENI, un réalisateur de surface basé sur une grammaire d'arbres adjoints pour le français qui réconcilie les deux approches en combinant une grammaire réversible avec une sélection symbolique des paraphrases.
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