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2018
Les catégories d'analyse à l'épreuve du terrain L'objectif de ce colloque est d'interroger les usages et la production de catégories d'analyse par les jeunes chercheur.e.s en sciences sociales qui effectuent des enquêtes de terrain dans diverses régions du monde. La notion de « Sud(s) » tout comme la notion d' « aires culturelles » ont offert la possibilité d'un dialogue transdisciplinaire et ont accompagné le développement de nouvelles théories scientifiques. Ces notions ont aussi joué un rôle décisif dans l'organisation des institutions académiques et dans la mobilité des chercheur.e.s. Cependant, à l'instar de toute catégorisation, elles sont également le fruit de partis pris historiques et épistémologiques. Ainsi, bien que l'opposition des termes « Nord » et « Sud » renvoie à des points cardinaux physiquement neutres, ces derniers ont remplacé des dichotomies antérieures telles qu'Occident/Orient, Occident/Tiers-Monde, pays développés/en voie de développement, pays colonisateurs/colonisés et peuvent comporter un risque d'ethnocentrisme. Des interrogations similaires apparaissent dans le cas des études par « aires culturelles » (Asian studies, Latin American studies, etc). En effet, en établissant une stricte correspondance entre territoires et cultures dans un monde globalisé, la notion « aire culturelle » tend à limiter l'analyse des circulations et des hybridations sociales. Un tel découpage du paysage de la recherche correspond-il encore à des réalités contemporaines sur nos terrains d'investigation ? Est-il pertinent alors que le système académique mondialisé induit une représentation importante de jeunes chercheur.e.s issu.e.s de pays dits du « Sud » au sein de laboratoires scientifiques (notamment ceux de la F3S) ? Ces catégories d'analyse sont-elles opératoires alors que les chercheur.e.s étudient des phénomènes sociaux observés aussi bien au « Nord » qu'au « Sud », avec l'apparition de nouveaux concepts enrichissant de manière transversale les recherches en sciences sociales ? Par ailleurs, est-il possible de se départir des notions définissant des aires culturelles et géographiques pour étudier l'Homme dans sa globalité et sa pluralité ?
Un nombre croissant de chercheurs en sciences de gestion situent leurs travaux dans ces approches pluridisciplinaires, pour appréhender les dimensions de pouvoir et de contrôle liées aux pratiques et théories du management. Ils s’attachent à dénaturaliser certaines évidences managériales et à questionner leur propre réflexivité, en resituant leur activité intellectuelle au cœur des phénomènes sociaux plutôt que de la placer dans une position surplombante [cf. Golsorkhi D., Huault I. et Leca B. (2009) ; Palpacuer F., Leroy M. et Naro G. (2010) ; Taskin L. et de Nanteuil M. (2011) ; Alvesson M. et Willmott H. (2012)]. Ce courant recouvre un nombre important de référents théoriques qui, s’ils ont pour dénominateur commun d’envisager le management comme un construit social et politique, garantissent dans le même temps l’existence d’une pluralité de postures épistémologiques, qu’elles soient constructivistes pragmatiques, postmodernistes ou bien réalistes critiques. Ces postures orientent les travaux critiques vers des méthodologies particulières, privilégiant les recherches idiographiques, de portée compréhensive, et la définition d’un projet de connaissance ne se voulant pas instrumental ou fonctionnaliste, mais plutôt à visée émancipatrice. L’inscription d’une recherche doctorale dans ces perspectives hétérodoxes n’est toutefois pas exempte de difficultés. La justification d’un projet de connaissance critique et sa confrontation aux canons de la doxa managériale figurent parmi les enjeux auxquels la communauté de chercheurs critiques peut favorablement contribuer dans le cadre de tels ateliers doctoraux. Ce séminaire de recherche a, dès lors, pour volonté d’offrir un lieu d’accueil et d’échanges pour les chercheurs qui réalisent et souhaitent inscrire leur thèse et travaux dans une perspective critique en sciences de gestion. Dans cette perspective, trois collègues français ont été invités à intervenir sur la question de la place particulière du « terrain » dans les recherches critiques en gestion. La nécessité de s’inscrire dans des approches hétérodoxes émerge en effet avec une acuité particulière au regard de la multiplication de crises financières, sociales ou écologiques qui mettent de plus en plus en cause les pratiques opérationnelles concrètes de gestion des ressources, des entreprises et des territoires [voir Palpacuer et al. (2010)]. Cette table ronde se place dès lors dans le cadre d’un questionnement plus large quant aux conséquences sociales et environnementales des modes de management et quant à la manière dont nous, chercheurs, pouvons rendre compte et penser l’évolution de ces modes de gestion afin qu’ils aillent vers des approches plus respectueuses des équilibres sociaux et environnementaux. Les participants à la table ronde ont offert des pistes de réflexion en ce sens, en mobilisant des cadres de référence philosophiques humanistes tels que ceux de Jacques Rancière ou de Michel Henry, ou encore en élaborant des approches épistémo-méthodologiques originales pour repenser les finalités de la recherche en gestion. Dans un premier temps, Isabelle Huault livre sa pensée sur la question de la place du « terrain » dans les recherches critiques. Ensuite, Pierre-Yves Gomez interroge en quoi le détour par la recherche empirique caractérise une démarche authentiquement critique. Enfin, Maya Leroy se centre davantage sur les problématiques de gestion de l’environnement.
L'entreprise change, les réseaux y participent. Le changement informationnel est lié au changement organisationnel. L'outil technologique est-il la cause du changement de l'organisation. Jusqu' où cet outil devenu média interne de communication induit-il un mode participatif d'organisation ? Par une étude de cas communicationnel, cet article évalue la dimension participative qu' Intranet serait susceptible d'entraîner. Mots clés : changement organisationnel, communication interne, Intranet. Abstract: Field work analysis of the relation between information change and organisation transformation. It is a fact that the networks take an active part in the changes within the companies. And the information change is closely linked to the organisational evolution. But, can we infer that the Intranet brings about a participatory model of organisation even though it has become a media of internal communications ? The current article assesses, through a case study,...
La production moyenne de cet échantillon de 10 fermes est de 1.5 T/HA, soit 0.75 T/HA (i.e. +100%) de plus que la valeur exacte ! Cette technique intuitive ne semble donc pas être la plus appropriée.
______________________________________________________________________________ De nombreux protocoles expérimentaux nécessitent une mesure de la difficulté de tâches motrices. Cette mesure est envisageable en ce qui concerne des tâches simples et standardisées (calcul de la quantité moyenne d'information à traiter, calcul du travail mécanique à réaliser, etc..). Pour des tâches complexes, on a recours généralement à une mesure de la performance (temps de réaction, temps de mouvement, etc..). Néanmoins toutes les tâches ne se prêtent pas à une mesure continue de la performance: c'est le cas notamment des tâches ne supportant qu'une évaluation binaire (réussite/échec). Le recours à une mesure probabiliste est alors possible (en terme de fréquence de réponses correctes), mais peut se révéler lourde et parfois pratiquement irréalisable. Certains auteurs ont montré que l'évaluation subjective de la difficulté ou de l'effort pouvait offrir une alternative valide aux mesures objectives . Néanmoins ces travaux n'ont pour l'instant porté que sur des tâches simples de course ou de marche, et rien ne prouve que ces méthodes subjective peuvent être utilisées dans le cadre de tâches plus complexes. Le but de cette expérience est de montrer que l'évaluation d'experts, guidée par une échelle de catégories spécifique, peut constituer une estimation valide de la difficulté objective d'une série de tâches complexes d'escalade.
Ma réflexion repose sur mon expérience en architecture – en tant qu’étudiante à l’École nationale supérieure d’architecture de Toulouse1 (ENSAT) et aussi en tant qu’architecte salariée dans différents cabinets et agences en France – et en anthropologie. Mais cet article ne saurait être une simple biographie relatant chronologiquement des faits : l’approche empirique servira de fondements à une biographie réflexive.
Cahiers de musiques traditionnelles, 1995
Le terrain est sans doute ce qui confère à la discipline ethnomusicologique son caractère propre : il permet au chercheur de présenter la réalité musicale comme une pratique culturelle significative. Dans ce sens, on peut dire que le terrain est à l'ethnomusicologue ce que la partition est au musicologue. Cependant, alors que la lecture d'une partition est généralement sans équivoque pour le musicien occidental qui interprète une musique de sa culture, il en va différemment pour le décryptage des musiques d'autres cultures. Mais qu'est-ce au juste que le « terrain » ? Une interprétation littérale du terme renvoie, dans un premier temps, à un lieu, un espace, un territoire, interprétation que l'expression courante « aller sur le terrain » vient évoquer. L'acception du terme est, par ailleurs, fort différente en langue anglaise. Par « field work », on entend non seulement un lieu, un espace, mais aussi une démarche ciblée sur une collecte de données. Ainsi, le dictionnaire de langue anglaise Collins définit-il « fieldwork » comme « an investigation or search for material data made in the field as opposed to the classroom or laboratory ». Avec le passage de la musicologie comparée à une approche anthropologique de la musique, les chercheurs ne « vont » plus uniquement sur le terrain, mais vont « faire » du terrain, au sens de « fieldwork ». La dimension « conduite de terrain », sous-jacente à cette nouvelle approche, suppose que le chercheur puisse contrôler, ne serait-ce qu'en partie, le déroulement des étapes menées sur le terrain. Dans son livre Fieldwork (1987), Jackson souligne que : « Fieldwork is about how fieldworkers define their function, how they capture for later use media records of what transpired in their presence » (1987 :3).
Revue STAPS, 1994
Les travaux sur la perception de l'effort ont fréquemment utilisé, ces dernières années, l'échelle de cotation RPE de Borg. Il n'existe pas encore d'outil similaire dans le domaine informationnel. Cet article présente une échelle de catégories, nommée DP-15, destinée à l'évaluation de la difficulté perçue dans les tâches perceptivo-motrices. Trois expériences sont décrites, portant sur des tâches de pointage, de recherche visuelle et de lancer de fléchettes. Les tests de validité et de fidélité donnent des résultats satisfaisants. En outre, l'échelle DP-15 varie linéairement avec la difficulté objective des tâches, mesurée soit par la quantité moyenne d'information à traiter, soit par les scores moyens de performance. Les perspectives d'application de cette échelle, dans les approches différentielles ou cliniques de la performance, sont évoquées.
Images Re Vues Histoire Anthropologie Et Theorie De L Art, 2013
e-Phaïstos, 2019
Les travaux sur la fatigue humaine à l'épreuve du terrain.
1999
le hors-texte du pourquoi d'une thèse Une thèse est un exercice intellectuei auquel il est coutume de se livrer en début de carrière de chercheur. Je m'y suis personnellement consacré dans les années 1965-70, mais l'exemplaire de ma rédaction a disparu 1 la suite d'incidents politiques dans le pays où j'exerçais. On peut donc s'étonner que je me remette à cet exercice après trente années et plus de recherches empiriques et la publication de nombreux articles et de quelques livres, surtout quand on saura que j'ai tramé cette interrogation avec moi depuis plus d'années encore. Je sais qu'on comprendrait que j'écrive un livre sur cette question du « terrain », mais pourquoi le soutenir en thèse ? C'est pour deux raisons essentielles que je soumets ce travail comme thèse : la première est que cet exercice demande un effort personnel que je crois irremplaçable. Je pense salutaire qu'un jury réclame d'un candidat d'avoir fait l'effort de tenter de cerner un sujet dans ses axes essentiels, exercice dont on peut se dispenser quand on écrit un ouvrage, et, d'autre part, d'affronter l'épreuve d'une soutenance où ses idées seront critiquées, ses arguments démontés, ses manies de style contestées et où seront mises en évidence les limites de sa recherche bibliographique. Ce travail a servi de colonne vertébrale à toute ma vie de scientifique. Pourquoi alors réclamer l'onction universitaire alors que je sais bien que ma conception du terrain scientifique va porter la marque de qui je suis et de ce que j'ai fait ? Mais mon parcours est pluriel : d'autres, de ma génération, l'ont également vécu. Une thèse demande peut-être plus de distance et de sang-froid d'écriture que je ne suis capable, mais le sujet que je traite est le travail scientifique, même si sa toile de fond est un peu de l'ordre d'un discours sur l'action. Aussi me paraît-il qu'affronter un jury en Sorbonne est reconnaître que ce dont je parle est bien de la connaissance scientifique. Je n'ai pas l'intention de biaiser et de tenter de faire accroire à mes juges une quelconque innocence. C'est sur l'expérience accumulée, un vécu et des actions pratiques de recherche que je me fonde pour traiter ce sujet. Malgré l'emploi du 'nous' singulier et le respect des usages, je formulerai mes conclusions sur cette longue réflexion professionnelle dans un style qui aura peut-être quelques aspérités, mais je crois que l'Université pourra les admettre, car elles sont I'expression d'enjeux que je pense stratégiques pour le travail en sciences de l'homme et de la société. Je suis convaincu que, sans théorie, il n'y aurait pas d'observation. Charles DARWIN [Lettre à Lyell du 1.6.18601 Conventions graphiques : Les possibilités informatiques donnent au rédacteur-dactylo des possibilités un peu trop «ouvertes » parfois et nous avons voulu profiter de certaines possibilités du système utilisé : Pour les guillemets nous avons décidé : l $...' quand nous voulions seulement attirer l'attention sur le fonctionnement de concept de certains mots isolés ; . "..." quand nous voulions souligner un terme ou une expression fonctionnant en concept ; . « ,., » quand nous nous permettions une expression de facture un peu trop extra-universitaire. Par exemple : 'terrain' signifierait le concept de terrain, et "méthodes d'enquête" signifiant alors l'ensemble du corpus de ces méthodes ; « terrain » signifie notre doute sur l'usage du terme que nous utiliserions ainsi dans une phrase. Les citations sont toujours en italiques, même quand elles sont suffisamment connues pour que nous ne mettions pas la référence. Nous soulignons d'un trait les rares mots que nous voulons mettre en valeur pour éviter les risques d'incompréhension quand la phrase pourrait prêter i3 confusion. En général les citations font l'objet d'un paragraphe particulier formaté différemment des autres du textes (décalé à droite et à gauche et l'intervalle entre les lignes est simple). Quand les citations sont soulignées, sauf mention contraire, c'est le texte original qui l'est. Les notes sont en bas de page sans renvoi à la fin du chapitre, sauf le cas d'une annexe. La gestion automatique des notes en bas de page est toujours un problème et nous nous excusons de celles qui déborderaient d'une page ou seraient rejetées à la page suivante. Nous avons autant que faire se peut évité ces petits desagréments au lecteur, mais l'informatique a certaines curiosités que nous n'avons' pu éliminer. Elles sont numérotées par bloc : Introduction, Chapitre préliminaire, puis partie par partie, chapitre final et conclusion. Sommaire Avertissement, Dédicace, Mise en pl ace du thème, Sommaire 2 L'expression du terrain Conclusion 640 Annexes 664 Bibliographie 665 Verbatim 776 Entretiens 811 Pl an détaillé 840 INTRODUCTION: THÈME et CORPUS * Nous avons systématiquement dkposé la plupart de notre documentation aux Archives de la Rue Oudinot, mais il ne s'agit pas de cela : il s'agit de nos fichiers, de nos notes.et de tous nos cahiers de travail furent dispersés. ' Gtamsci est mort dans les geôles mussoliniennes en 1937 après onze ans de captivitb ; ses ' Nous citons le num6ro de I'btude en chiffres romains et le numtro de la page. Quito, encuesta demografia/migraciones, Instrucciones para 10s encuestadores Atlas informatizado de Quito
Appel à communication COLLOQUE Terrains difficiles, sujets sensibles. Faire de la recherche au Maghreb et au Moyen-Orient ﻓﻲ اﻟﻣﯾداﻧﯾﺔ ﺑﺎﻷﺑﺣﺎث اﻟﻘﯾﺎم : ﺣﺳﺎﺳﯾﺔ ذات ﻣواﺿﯾﻊ و اﻟوﻟوج ﺻﻌﺑﺔ ﻣﯾﺎدﯾن اﻷوﺳط اﻟﺷرق و اﻟﻌرﺑﻲ اﻟﻣﻐرب Lieu : Institut Universitaire de la recherche scientifique, Rabat Date: 14 et 15 février 2019. Les difficultés « du terrain » se trouvent de plus en plus au centre des préoccupations de la recherche en sciences sociales. Les cas extrêmes, comme la guerre et le terrorisme, annoncent même sa possible disparition. Mais se limiter à ces cas de figure, c'est laisser de côté un grand nombre de sujets autrement plus complexes et plus difficiles. Ce colloque souhaite les aborder en focalisant sur le Maghreb et le Moyen-Orient. Faire du terrain, au sens large (Ayijam, Bouju 2015, 11) ou au sens strict est au Maghreb et au Moyen-Orient souvent une gageure dans la mesure où presque tous les sujets, même les plus mondains, prêtent soit à la suspicion (« C'est pour la science ou pour la 'sécurité' ?»), la dérision (« Ah, ça, c'est un projet de recherche !?) ou au discrédit (« Que peut-on apprendre de plus que ce que l'on sait déjà ! »). Si les deux dernières réactions tentent de diminuer la portée de la recherche, la première fait d'elle un substitut de l'action politique par sa supposée proximité avec la sphère politique que cela soit dans la démarche, les résultats ou même dans la personne du chercheur, ou alors, elle la conçoit comme quelque chose qui s'expose à un risque. C'est cet aspect qui intéresse cet appel à communication. Inversement et paradoxalement, pour les instances de décision, pour les chercheurs et pour le public l'importance scientifique des travaux se jauge par la teneur politique de leurs thèmes et de leur 'frôlement' avec les enjeux politiques. Les travaux qui s'intéressent à des domaines comme l'art, les médias, la vie 'ordinaire', la sexualité, et même la violence au quotidien, sont alors affligés d'une insignifiance paralysante et sont perçus comme des quasi faits divers puisque distants de la politique. Or, ne nous trompons pas : qu'ils touchent directement ou pas à la politique, toutes ces travaux se font dans des contextes peu ouverts et exposent les chercheurs à des difficultés qui dépassent les rapprochements avec la politique et qui surviennent dès lors que les questions et les problématiques sont perçues comme dérangeantes. Une recherche n'est menacée que parce qu'elle est menaçante à des degrés divers. Dans des contextes autoritaires, ce qui est le cas de la quasi majorité des pays du Maghreb et du Moyen-Orient, la recherche est le plus souvent « sous surveillance », puisque tous les chercheurs doivent se soumettre aux autorisations administrative et policière qui la transforment la plupart du temps en zone minée. Or, ce contrôle, qui va de l'expulsion expéditive aux tentatives sournoises de découragement, n'épuise pas la gamme des difficultés et des défis, loin d'être propres à la région comme le montrent de nombreuses études (Brown 2009, Dolnick, Kovat-Bernat 2002). Les raisons qui rendent un terrain plus
Journal des anthropologues, 2021
Communication présentée à la 2ème Rencontre Tuniso-Française des Jeunes Chercheurs IRMC -Université Tunis I, 4-5-6 Novembre 1998. Cap Carthage, Gammarth, Tunis.
Cahiers de Topologie et Géométrie …, 1978
© Andrée C. Ehresmann et les auteurs, 1978, tous droits réservés. L'accès aux archives de la revue « Cahiers de topologie et géométrie différentielle catégoriques » implique l'accord avec les conditions générales d'utilisation (http://www.numdam.org/legal.php). Toute uti- ...
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