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Dans la Bible, le paon n'apparaît qu'une seule fois, mais en double. Il fait partie des cargaisons de luxe qui manifestent la richesse plutôt tapageuse du roi Salomon. Le mot pour 'paon', tukiyim, étant de fait un hapax, sa signification serait très incertaine si les traductions n'étaient (à peu près) unanimes à nous dire en diverses langues : ce sont des paons. Nous allons détailler la question du « paon biblique ».
Quand je suis venu au monde, je n'avais qu'un maigre duvet sur la peau et rien ne permettait d'espérer qu'il en serait un jour autrement. Ce n'est que peu à peu que je me suis transformé au point d'être où vous me voyez à présent, et il m'a fallu des soins.
L e Me s s a g e D e L a P â q u e : F o n d e me n t de la Mi s s i o n T h o ma sT C HA L A R E 1 5-1 6 A v r i l 2 0 1 7 L e me s s a g e de la P â q u e e s t u n me s s a g e d ' a mo u r de Dieu p o u r l e s a l u t d e s h o mme s. Un a mo u r q u e D i e u nous a ma n i f e s t é :1. D a n s la p r i è r e de Jé s u s p o u r ses en n n e mi s 2 . D a n s la p a i x q u ' i l n o u s d o n n e e t a v e c la q u e l l e i l n o u s e n v o i e p r ê c h e r l ' é v a n g i l e au mo n d e e n t i e r 3. D a n s la c o mmu n i o n à la q u e l l e C h r i s t n o u s i n v i t en i n i t i a n t la s a i n t e c è n e .
La question des droits du démon Controverse entre Paul GALTIER et J RIVIERE I L'excellente étude sur Le dogme de la Rédemption -étude historique éditée en 1905 par la Lie LECOFFRE nous avait passionné au point de le faire figurer sur notre site théologique http://www.theologica.fr/ >>> http://www.theologica.fr/Pg_TheologieDogmatique.htm >>>> http://www.theologica.fr/!_TheologieDogmatique/Theologie_Redemption/Abb %C3%A9%20J%20RIVIERE%20%20Le%20dogme%20de%20la%20r%C3%A 9demption%20%20Etude%20historique.pdf (Cf. pages 373 à 394) Ce sujet tel que traité, allais générer une controverse entre Paul GLATIER dans le cadre de la revue RECHERCHES DE SCIENCE RELIGIEUSE en ses numéros janvier-mai 1911, juillet-août 1912 et janvier-février 1913 : voic les éléments de cette controverse. II LA RÉDEMPTION ET LES DROITS DU DÉMON DANS SAINT IRÉNÉE On sait l'importance attribuée par certains historiens du dogme à la théorie de la Rédemption dite des droits du démon. La rançon de l'humanité payée au démon par le Christ aurait été l'explication primitive, longtemps dominante ou même exclusive, de son affranchissement. Or, le premier, et, en ce sens du moins, le plus important des auteurs ecclésiastiques qui l'aurait proposée, serait saint Irénée. «Ce point de vue d'une rançon payée par Jésus à Satan, qui avait des droits sur l'humanité pécheresse, ne tarde pas à devenir le point de vue dominant. Ce fut surtout Irénée qui s'en constitua le défenseur. » (Lichtenberger, art. Rédemption dans Encyclop. des sciences relig., XI, 137). « Il a considéré, 1. La Doctrine de l'expiation et son évolution historique, p. 47-49. 1 . . 2. Elle est également admise par Beuzart : Essai sur la ineoiogie d'Irénée (1909), p. 116-117. doctrine rédemptrice de saint-Irénée, et qu'elle tient à une méprise complète sur le sens exact des passages où on l'appuie. Ces passages sont surtout les suivants : 1 Hoer. III. 18, 7, où il est dit que le Rédempteur réunit en lui la divinité etl l'humanité, car : Ei p:/¡~a vÔptoTroç svixvjGe tov~âV'rL--rca^ov tou~â vOpcoirou, 0ùx av~è vixïi'81\ 6~S /8p0$. (M. 7. A). 20 Hoer. V. f, 1 où 'se lisent dans la traduction latine les deux phrases suivantes : Quoniam Verbum potens, et homoverus, sanguine suo rationabiliter redimens nos, redemptionem semetipsum dedit pro his qui in captivitatem ducti sunt. Et quoniam injuste dominabatur nobis apostasia [id est Satan] ; et, cum natura essemus Dei omnipotentis, alienavit nos contra naturam,suos proprios faciens discipulos; potens in omnibus Dei Verbum, et non deficiensin sua justitia, juste etiam adversus ipsam conversus est apostasiam, ea quas sunt sua redimensabea; non cum vi, quemadmodum illa initio dominabatur nostri, ca quae non erant sua insatiabiliter rapiens ; sed secundum suadelam, quemadmodum decebat Deum suadentem, et non vim inferentem, acciperequae vellet : ut neque quod est justum confringeretur, neque antiqua plasmatio Dei deperiret. (M. 7. II2r B.) 3°Hoer. V. 2, 1, d'où l'on détache cette phrase : « Quantum attinet ad apostasiam [id est, Satanredimens nos ab ea. » (M. 7. 1124 A.)
Kairos, 2015
À partir de l’analyse d’un corpus composé des livres explicitement dédiés à la vie heureuse, de films à succès et d’enquêtes sociales, cet article entend mettre en évidence deux déclinaisons du bonheur qui s’opposent dans la France post-1945 : la réussite sociale et l’épanouissement. Il s’agit de mieux comprendre comment sont construits les deux modèles, de saisir les dimensions qu’ils recouvrent et de percevoir que l’univers du bonheur, conflictuel, est structuré par les luttes entre les diverses définitions de la vie heureuse. La voie du bonheur par la réussite, ancienne, est un modèle agonistique et rigide qui repose notamment sur la jouissance différée et propose aux individus d’être heureux une fois le succès garanti, tandis que l’épanouissement, plus récent, invite les acteurs à assumer leurs propres désirs, à aimer, à s’amuser et à savourer le chemin qu’ils sont en train de parcourir quelle qu’en soit l’issue. Pour le promouvoir, les partisans de l’épanouissement se sont frontalement opposés à la réussite sociale, jugée injuste et, de surcroît, inapte à procurer le bonheur. De leur côté, les tenants de la réussite ont riposté et ont également forgé un argumentaire justificateur afin de tenter de discréditer leurs adversaires. Les phases de ce conflit permettent de mieux comprendre l’influence de chaque modèle, mais les individus peuvent aussi les concilier et décider de réussir dans le monde professionnel et de s’épanouir dans leur vie privée.
Les Voeux du Paon de Jacques de Longuyon: originalité et rayonnement, sous la direction de Catherine Gaullier-Bougassas, 2011
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Aristote ne la mentionne pas dans La Poétique, Sénèque ignorait son existence, et depuis La Fontaine, elle compte parmi les genres les plus représentatifs de la littérature française. L’évolution du genre de la fable n’est pas des plus ordinaires. Nous observons au Moyen Âge l’apparition de recueils de fables, les « Isopets », reprenant les thèmes abordés dans les fables antiques. La multiplicité de ces recueils témoigne du goût du Moyen Âge pour cette littérature didactique. Toutefois, les Isopets ne sont pas une duplication des fables d’Esope et de Phèdre, puisque leurs ouvrages étaient perdus. Toute cette littérature de l’apologue médiéval repose – en majeure partie – sur un texte paraphrasant des fables de Phèdre : le Romulus Vulgaris.
Base en ligne du musée des Tissus, 2015
La tenture dite « au paon et au faisan » est sans doute l'une des réalisations les plus emb lématiq ues et les p lus ab outies de Philippe de Lasalle (1723-1804), lui-même l'un des plus célèbres dessinateu rs et marchands-fabrican ts de Lyon des règnes de Louis XV et d e Louis XVI. La réputation de Philippe de Lasalle, b asée à la fois sur la perfection de ses dessins et sur les in novation s techniques qu'il a app ortées au métier, tout au tant que su r son exception nelle faculté, tout au long d e sa carrière, à développer ses affaires, explique que les éto ffes issues de ses ateliers ont été collectées avec soin par les dessin ateurs qui lui ont succédé et par les profession nels de la fabrique, comme Jules Reybaud, dessinateur, et François Bert, professeur de théorie, qui avaient lui et l'autre constitué une collection exceptionn elle, toutes d eux acqu ises par la Chamb re de Commerce pour son jeune mu sée d'Art et d'Indu strie en 1862. Plusieurs chefs-d'oeuvre de Philippe de Lasalle ont d onc rejoin t de la sorte la collection d u musée d es Tissus, qui est au jou rd 'hu i la référence mond iale p our l'étude et la co nnaissance de la production de Philippe de Lasalle. C'est le cas de cet élément d e la fameuse tenture « au p ao n et au faisan », acqu ise à Fran çois Bert, avec le motif du paon, et d e la laize avec le motif du faisan, acq uise de Jules Reybaud (inv. MT 1278). Le musée des Tissus conserve égalemen t la mise en carte originale, de la main d e Ph ilippe de Lasalle lui-même, de ce motif du paon (inv. MT 22047). La création de la tenture « au paon et au faisan » est le fruit d e l'abo utissemen t des recherches entreprises par Philipp e de Lasalle dès le début des ann ées 1770. En 1771, la Fabriqu e lyonnaise su bit un e crise terrib le, don t les cau ses et les effets son t rappelés par le mémo ire qu'adressent, en mars 1772, les maîtres ouvriers à Jean-Ch arles-Ph ilibert Tru dain e d e Montigny (1733-1777), car « les cris et les gémissements continuels d 'un corps d 'ouvriers le plus co nsidérable du Royau me [...] ne leur permettent plus de garder le silence. » To us les « maux » qui accablent la Fab rique sont alors rappelés : les deuils successifs q ui ont affecté les cours eu rop éenn es, la trop grande qu antité d'étoffes fabriquées à l'occasion du mariage du dauphin et restée invendue, la guerre d an s les p ays du Nord qu i ferme les prin cipaux débouchés, les p rogrès des manufactures étrangères que l'émigration des ouvriers de Lyo n « fortifie et perfectionn e tou s les jou rs », les mauvaises récoltes qui augmentent le prix d es soies..., autant de facteurs qui expliquent « une cessation presque générale d ont la durée ne fut jamais si con sidérable en aucun temp s » (Paris, Arch ives
Materializing the border, 2020
Dans l’espace ecclésial, le chancel sépare nettement la nef du chœur, matérialisant une frontière entre le clergé et les fidèles. L’image des paons affrontés sur plusieurs chancels lombards entre le viiie et le ixe siècle nous offre une précieuse source de réflexions sur les liens étroits entre le décor et son support. Dans cette position, les paons font obstacle au passage du fidèle, incarnant ainsi des gardiens perpétuels du seuil du chœur, rassemblés autour de la Croix et/ou du calice sur lesquels ils veillent. En s’abreuvant au calice ou en se rassasiant des fruits de la Croix-Arbre de Vie, les paons se nourrissent de vie éternelle et apportent un espoir de salut au fidèle qui se rapproche du Christ grâce à l’eucharistie. Perçu comme un psychopompe dès l’Antiquité, le paon accompagne l’élévation spirituelle du fidèle et s’impose comme un médiateur supplémentaire entre le terrestre et le céleste. Rassemblés au seuil du chœur, les paons affrontés relaient la portée du sacrement de...
CR de ALain Boyer , Chose promise , PUF Nouvelle Quinzaine littéraire, mars 2015
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SE BATTRE POUR LA RETRAITE OU BATTRE EN RETRAITE ?, 2023
Proceedings of the 2012 Conference on Ergonomie et Interaction homme-machine - Ergo'IHM '12, 2012