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2005, Ethnologie française
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11 pages
1 file
Nouvelles pratiques sociales, 2010
2013
Les 30 avril et 1er mai 2009, la Chaire de recherche du Canada sur la question territoriale autochtone organisait à l'UQAM son cinquième colloque annuel, qui devait explorer les liens entre « les Autochtones et l'histoire ». Le champ de l'histoire autochtone a connu un développement spectaculaire au cours des dernières décennies. Condamnant la marginalisation dont les Autochtones ont été victimes dans l'historiographie occidentale, les chercheurs ont multiplié les travaux depuis les années 1970, renouvelant à la fois les interprétations, les approches et les méthodes. Ces développements, généralement salués comme un progrès, ne sont pas sans soulever des questions, qui renvoient à différentes facettes du processus de réécriture de l'histoire autochtone. Les Autochtones d'Amérique du Nord n'ont pas, sauf exception, laissé de traces écrites directes de leurs expériences. Comment, dans ces circonstances, faire leur histoire dans une perspective qui ne soit pas qu'une simple reproduction, dans une version édulcorée, de la logique coloniale inscrite au cœur des archives utilisées par les chercheurs? Ce colloque devait permettre de faire le point sur l'évolution de la recherche en histoire autochtone, tout en favorisant une réflexion historiographique et épistémologique sur les défis propres à l'écriture de l'histoire des Premières Nations.
2011
La 19eme Conference Robert Hertz, a l'invitation de l'Association pour la Recherche en Anthropologie Social (APRAS), prononcee par Irene Bellier concerne l'emergence dans l'espace politique de la categorie des peuples autochtones, une categorie avec laquelle l'anthropologie francaise entretient des relations delicates alors que l'anthropologie anglo-saxonne debat depuis longtemps des questions d''indigeneity'. La reflexion proposee concerne les tensions entre " l'indigene " pris dans un rapport singularise, et " les peuples " comme collectif pluralise. Conference publiee in : Lettre de l'APRAS N°47, 2012, pp. 6-17, avec une introduction de Sophie Blanchy
2013
Les 10 et 11 mai 2007, la Chaire de recherche du Canada sur la question territoriale autochtone organisait à l'UQAM son troisième colloque annuel autour du thème des « Autochtones et de la modernité ». Le choix de cette thématique a pu apparaître risqué, au premier abord, puisque le concept renvoie à une réalité, à l'origine éminemment européenne. Cependant, dans la perspective des relations entre les Autochtones et les puissances européennes qui servit de fil directeur au colloque, il fut possible de saisir un peu mieux ce mode de civilisation éminemment occidental en l'envisageant plus simplement comme une période de rupture. En même temps qu'elle investit les espaces traditionnels en Europe, la modernité se répand progressivement hors d'Europe. Dès les premiers contacts avec l'Européen, les Autochtones s'y trouvent confrontés: qu'ils la fuient ou l'intègrent, qu'ils y soient incorporés ou qu'ils en soient exclus, ils s'y heurtent. En ce sens, l'idée de modernité permettait d'éclairer l'histoire économique, politique et culturelle des Autochtones depuis la rencontre avec les premiers colonisateurs, ce dont rendirent amplement compte les participants au colloque. Près d'une vingtaine d'intervenants développèrent en effet des thématiques riches et variées qui cadraient avec l'approche multidisciplinaire encouragée par les organisateurs. Le cadre chronologique large permit d'analyser cette notion de 1492 jusqu'à l'époque contemporaine. Nous présentons ici huit articles qui rendent compte de la diversité des présentations.
Genèses
Savoirs ethnologiques et politiques publiques en Guyane de 1946 à nos jours Stéphanie Guyon Belin | Genèses 2013/2-n° 91 pages 49 à 70
2008
Cet ouvrage constitue l’aboutissement d’un processus entamé dans le cadre du deuxième colloque étudiant de la Chaire de recherche du Canada sur la question territoriale autochtone, qui s’est tenu à l’Université du Québec à Montréal les 4 et 5 mai 2006. Organisé avec la collaboration du Centre d’étude sur les lettres, les arts et les traditions (CÉLAT), ce colloque avait pour objectif de mettre en lumière, dans une perspective pluridisciplinaire, la complexité des relations entre les Autochtones et l’État. Les communications présentées à ce colloque ont témoigné de la diversité des approches et des perspectives de recherche autour de cette question. Les rapports entre les Autochtones et l’État y furent abordés sous différents angles : traditions d’alliance, luttes et résistances politiques, négociations portant sur le territoire et ses ressources, rôle des représentations dans les projets coloniaux, etc. Les textes de ce recueil, augmentés et remaniés par leurs auteurs, ont été regroupés autour de trois thèmes : les Autochtones dans les projets coloniaux ; résistances et luttes politiques ; l’État, le droit et les Autochtones.
Téoros: Revue de recherche en tourisme, 2010
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Inditerra, 2011
N° 3, 2011 www.reseaudialog.ca L'anthropologie et la question des droits des peuples autochtones 1 Irène Bellier Laboratoire d'anthropologie des institutions et des organisations sociales Centre national de la recherche scientifique/École des hautes études en sciences sociales Paris, France
La Revue des droits de l'homme, 2020
Politique et Sociétés, 2004
Presses universitaires de Rennes eBooks, 2020
Nouvelles pratiques sociales, 2010
Revue d’ethnoécologie, 2012
Recherches amérindiennes au Québec, 2014
Critique, 2009
Histoire Québec, vol. 24(4), 2019
Téoros: Revue de recherche en tourisme, 2000