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Nous partirons de l'hypothèse que le diagnostic, dans l'approche psychanalytique, ne se détermine pas à partir d'une classification des troubles. Pour le démontrer, nous analyserons le cas d'un jeune homme où la psychose ne s'est pas manifestée avec une sémiologie évidente (hallucination, délire, troubles du langage, etc). C'est la reconstruction des processus identificatoires, demeurés inaboutis pour le sujet, qui nous orientera vers un diagnostic de psychose.
Savoirs et clinique, 2013
Distribution électronique Cairn.info pour Érès. Distribution électronique Cairn.info pour Érès. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-savoirs-et-cliniques-2013-1-page-170.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info. Dans la « Conférence à Genève sur le symptôme », Jacques Lacan dit en 1975 : « Il est tout à fait certain que c'est dans la façon dont la langue a été parlée et aussi entendue pour tel et tel dans sa particularité, que quelque chose ensuite ressortira en rêves, en toutes sortes de trébuchements, en toutes sortes de façons de dire. C'est, si vous me permettez d'employer pour la première fois ce terme, dans ce motérialisme que réside la prise de l'inconscient-je veux dire que ce qui fait que chacun n'a pas trouvé d'autres façons de sustenter que ce que j'ai appelé tout à l'heure le symptôme 2. » Le matérialisme du mot, motérialisme, est posé ici par Lacan comme base de l'inconscient. Déjà en 1966, il avait suggéré, non sans une certaine hésitation, que des mots seraient la seule matière de l'inconscient 3. Mais dès le Séminaire sur Les psychoses-donc en 1956-, Lacan précise que « en ce sens que les signifiants sont bel et bien incarnés, matérialisés, ce sont des mots qui se promènent, et c'est comme tels qu'ils jouent leur fonction d'agrafage 4 ». Dans sa conférence sur le symptôme, Lacan, en évoquant les rêves et « toutes sortes de trébuchements », se réfère dans un premier temps à la clinique des névroses. Mais à la fin de sa conférence il aborde le problème des psychoses et renvoie pour cela à Joyce, ce « désabonné à l'inconscient 5 ». Lacan qui, dans une version ironique de la Genèse, attribue aux femmes l'invention du langage, dit alors 170
Psychotropes, 2002
Les analyseurs d'un symptôme antisocial Proposition de traitement psychodynamique du lien causal dans le passage à l'acte violent lié au passage à l'acte toxique 1
La notion d’«autochtonie», 2018
L'article propose une étude de la pièce 4.48 Psychose de Sarah Kane dans une perspective queer. Le texte invente un langage de l'ambivalence : un langage qui transgresse les catégories binaires. Le corps de la comédienne s'installe dans un espace mental et symbolique où plusieurs voix s'enchevêtrent et s'hybrident; cet espace est ambivalent, entre la vie et la mort, entre le sublime et l'obscène. La liminalité ici devient un espacetemps propice à la réappropriation du corps par une écriture qui se substitue à la chair. This study of Sarah Kane's play 4.48 Psychosis puts forth in a queer perspective. The play sees the emergence, on stage and in text, of what Judith Butler refers to as "queer identity". Its text invents a language of ambivalence between voice and writing, between the masculine and the feminine: a language that transgresses binary categories. The body of the protagonist settles in a mental and symbolic space where several voices intertwine and hybridize; this space is ambivalent, between life and death, between the sublime and the obscene. The phase of liminality in which the piece unfolds becomes a space-time conducive to the reappropriation of the body by a writing that replaces the flesh. La pièce 4.48 Psychose de Sarah Kane, écrite en 1999, mais présentée pour la première fois une année et demie après le suicide de la dramaturge, met en scène un espace mental où les voix anonymes font part de leur impossibilité de vivre ainsi que de leur résolution à mourir. Composée d'une série d'instants qui retracent l'expérience intérieure d'une femme prise dans un espace oscillatoire, la pièce alterne monologues intérieurs et dialogues imaginaires avec l'alter ego de Kane. Dans cet article, il s'agira d'examiner les enjeux de l'ambivalence, qui est une dimension essentielle de la subversion de l'identité chez le sujet féminin dans la pensée et l'écriture de Kane. Comme la réflexion aboutit à la notion de subversion, la perspective queer sera favorisée avant toute autre. Ceci, parce que le queer, dans son fondement, est construit sur une ambivalence, voire une polyvalence, des identités genrées. L'ambivalence se manifeste dans la pièce de Kane par la remise en cause des catégories binaires du « masculin » et du « féminin ». Se pose la question suivante : dans quelle mesure 4.48 Psychose déstabilise-telle les catégories du genre et subvertit l'identité genrée du sujet? Cette subversion du genre est suggérée dès le début de la pièce par le discours du sujet d'énonciation :
Délire et reconstruction d'archive « Le dermatologiste ne put découvrir la moindre cicatrice laissée par la glande sébacée infectée ; d'autre part, il déclara que la zone traitée par l'électrolyse se distinguait très bien avec ses cicatrices... le patient ayant fait observer que de telles cicatrices disparaitraient dans le temps, le dermatologiste répliqua que les cicatrices ne disparaissent jamais... En entendant ces paroles : "les cicatrices ne disparaissent jamais", une sensation terrible s'empara de notre patient... il ne lui resta qu'une seule activité possible : se regarder sans cesse dans son miroir de poche, afin d'établir avec exactitude le degré de sa mutilation. » On aura reconnu le compte rendu de l'analyse de l' « Homme aux loups » par Ruth Mack Brunswick, au moment où la cicatrice – trace de l'identification à la mère et, dans sa dimension de reste inépuisable, inanalysable ou inanalysé, de la relation analytique avec Freud, (mais aussi combat contre la catastrophe du moi dont le progrès doit être contrôlé, en tentant de limiter le trou de l'être localisé dans le nez) – entre en scène comme la question qui condense le mieux les interrogations psychotiques de notre patient. Le paradoxe de ces situations est évident : comment trouver une solution à l'insoluble dilemme entre séparation, délimitation d'une relation, dénonciation de ce qui n'a pas fonctionné dans celle-ci, sans effacer la relation elle-même ? En même temps, comment tenter de délimiter à la fois l'intrusion de l'autre, parfaitement représentée par la verrue sur le nez de la mère qui apparaît et qui disparaît, en montrant l'échec de toute tentative d'hallucination négative, c'est-à-dire de déplacement sur le fond de l'objet maternel, et l'angoisse de confusion identitaire qui en découle ? L'analyse interrompue avec Freud, l'échec de sa conclusion, visible non seulement dans l'interruption forcée, mais aussi, et bien plus profondément, dans le rêve de la guêpe aux ailes et à la lettre arrachée, que Freud associe à la réalité infantile et Leclaire, dans son célèbre commentaire sur l'épisode psychotique de l' « Homme aux loups », à la non interprétation du désir de Sergei, c'est-à-dire être libéré de l'emprise maternelle (une question qui reviendra avec des résultats tout à fait différents dans le rêve des ruptures des icônes et de la domination maternelle dans l'analyse avec Ruth Mack Brunswick), cette analyse interrompue et donc la présence du reste d'une histoire non élaborée, reviennent sous la forme d'une expression délirante. Dans ce cas particulier, comme l'écrit Ruth Mack Brunswick, avoir été abîmé par un traitement d'électrolyse-« …lyse »-dans le nez. Quel meilleur exemple de dénonciation d'un reste non analysé, d'une castration qui ne se réalise pas, quelle meilleure preuve que les choses ne vont pas bien en dépit de toutes les observations banales à propos de son nez sur lequel il n'y a rien d'étrange ? Et comment faire pour que quelqu'un puisse prendre en considération cette étrangeté, cette déformation, cette intrusion qui a irrémédiablement modifié son nez ? La paranoïa de Sergei montre bien la vérité de son affirmation : signaler non pas la trace de l'autre – donc, quelque chose qui met le sujet dans une position de réception/élaboration –, mais son empreinte, où quelque chose laisse un signe de soi en altérant irrémédiablement l'autre. Être disponible – mais nous le sommes toujours ?-pour reconnaître l'étrange, le difforme, l'altéré. À plusieurs reprises, Sergei demande aux dermatologues ou à Ruth Mack Brunswick qu'ils s'en occupent, mais sans obtenir de réponses : soit les cicatrices ne disparaissent pas et donc rien n'est jamais arrivé, ou il est arrivé pour toujours, comme dans la réponse du dermatologue. Soit, encore, il n'y a rien d'étrange à observer et donc encore une fois il n'est rien arrivé, comme l'écrit Brunswick : « Je dirais qu'il n'y avait rien de visible sur le nez du patient, nez petit, retroussé et
Résumé Des études épidémiologiques et psychométriques récentes semblent avoir mis en évidence la présence sous-estimée d’hallucinations et de délires chez de nombreux individus n’ayant pas (encore) reçu le diagnostic de psychose et montrant souvent des signes de bonne santé mentale. Des modèles comme celui de la schizotypie (ou « schizophrénie latente ») ont tenté d’en rendre compte, non sans transformer le discours psychiatrique quant à la bizarrerie de certaines expériences exceptionnelles. Ce modèle est critiqué pour son utilisation de questionnaires cherchant à fxer des idées délirantes en soi, en faisant appel à une nosographie ignorant les hallucinations et délires névrotiques. En réinjectant des critères différentiels issus de la psychanalyse, nous interrogeons les enjeux cliniques et méthodologiques de cette modélisation de la psychose dont certains font déjà découler des pratiques d’interventions psychiatriques précoces. Mots clés : schizotypie, trouble de la personnalité schizotypique, psychoses, névroses, diagnostic and statistical manual of mental disorders (DSM-IV-R). Schizotypy or neurosis? the nature of the so-called psychotic experiences Summary Recent epidemological studies have highlighted the underestimated prevalence of hallucinations and delusions in many individuals who have not (yet) received the diagnostic of psychosis and presented no apparent signs of mental illness. Conceptualizations like the schizotypy model (or « latent schizophrenia ») have tried to account for this prevalence, not without altering the psychiatric discourse about the peculiarity of some exceptional experiences. A few authors have already derived psychiatric early intervention practices from this model. However this model is criticized for its use of questionnaires precluding identifcation of neurotic hallucinations and delusions. With respect to psychoanalytically-based diagnostic criteria, we question the clinical and methodological issues of this model of psychosis. Key words: schizotypy, schizotypal personality disorder, psychoses, neuroses, diagnostic and statistical manual of mental disorders (DSM-IV-R).
Ce travail s'intéresse au symptôme sous tous les angles, en en rappelant les origines et l'évolution à travers l'histoire et les disciplines. Il explore également comment Freud, puis Lacan ont abordé cette notion centrale en psychanalyse.
Philosophiques, 2013
La plupart des théoriciens de l'identité des types souscrivent à un physicalisme a posteriori à l'égard des propriétés phénoménales. Selon cette conception, les énoncés d'identité esprit/cerveau peuvent être justifi és par une inférence à la meilleure explication (IME) partant du fait empirique des corrélations esprit/cerveau. Nous soutenons que la théorie de l'identité ne peut pas s'appuyer sur cette méthodologie abductive. Nous montrons tout d'abord que l'on ne peut pas justifi er les énoncés d'identité esprit/cerveau au moyen d'une IME partant des corrélations esprit/cerveau car cette stratégie conduit à un dilemme : ou bien les corrélations ne sont pas des explananda, ou bien les identités esprit/cerveau doivent être admises comme des faits bruts au même titre que les lois dualistes. Nous montrons ensuite que ces énoncés d'identité peuvent être néanmoins justifi és par une IME partant du pouvoir causal des états phénoménaux. Cette seconde stratégie n'est toutefois d'aucune aide pour la forme a posteriori de théorie de l'identité ici discutée dans la mesure où elle débouche sur un physicalisme de type a priori. ABSTRACT.-Most type identity theorists endorse a posteriori physicalism about phenomenal properties. On such a view, mind/brain identity statements can be justifi ed by an inference to the best explanation (IBE) starting from the empirical premise of mind/brain correlations. We contend that Identity Theory cannot be based on such an abductive methodology. First, we argue that mind/ brain identity statements cannot be justifi ed by an IBE from correlations as it leads to the following dilemma : either correlations are trivial facts that cannot pretend to the status of explananda, or mind/brain identities must be admitted as brute facts, just like dualist laws. Second, we show that these identity statements can still be justifi ed by an IBE starting from the premise of mental causation. However, this strategy is of no help for the a posteriori brand of Identity Theory here challenged since the same premise forces one to embrace a priori physicalism.
Cahiers de psychologie clinique, 2012
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Psychologie clinique et projective, 2009
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1984
Des passages de ce texte de 1984 ont été incorporés dans ma conférence sur la psychothérapie des psychoses, mais il procède d'une approche globale différente, ce qui justifie sa publication qui n'est donc pas redondante
Recherches en psychanalyse
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Variation et variabilité dans les Sciences du Langage, 2013
"The author, a clinical psychologist, reports a theoretical construct to distinguish the possible uses of the linguistic sign according to the three major ethical structures (neurosis, psychosis and perversion) traditionally recognized by the psychoanalytically oriented clinical psychopathology. He proposes the modeling of two major uses of the sign (a referential use and a sui-referential use) and the relation between the speaker and the language system which is derived from his/her use of the sign. ---- L’auteur, psychologue clinicien, rend compte d’une construction théorique visant à distinguer différents usages possibles du signe linguistique selon les trois grandes structures éthiques (névrose, psychose et perversion) traditionnellement reconnues par la psychopathologie clinique d’orientation psychanalytique. Il propose la modélisation de deux principaux usages du signe (usage référentiel et usage sui-référentiel) ainsi que du rapport du locuteur à la langue qui se déduit de son usage du signe."
2015
Les classifications psychiatriques traditionnelles du début du XXe siècle, influencées un temps par la psychanalyse, ont été délaissées et supplantées par les catalogues empiriques et statistiques internationaux (DSM et CIM). Nous proposons ici une méthode multifactorielle mettant en avant ce qui semble être, au vu du savoir contemporain, la principale détermination des tableaux décrits cliniquement.
2014
Objective: Quantitative studies have documented the extent of compliance issues in early psychosis and the ensuing clinical consequences. However, an in-depth understanding of this phenomenon remains limited. Drawing upon the perspectives of a sample of patients, their families, and clinicians, this study explores why patients suffering from early-stage psychosis accept or refuse treatment. Method: Data collection was conducted using semi-structured individual interviews with 18 patients from a clinic specializing in early psychosis who were identified as compliant, ambivalent or non-compliant. In addition, interviews were conducted with 13 of their family members, as well as a focus group composed of 8 clinicians working at the clinic. Results: For the majority of patients, compliance appeared to evolve according to a process characterized by varying degrees of ambivalence. In particular, identity issues, relational issues, the understanding of the diagnosis, and the meaning of treatment were key to understanding patients' sense of ambivalence. Conclusion: Ambivalence and non-compliance can be seen as normal stages of a process whereby the patient struggles to rebuild his or her sense of self and constructs their ongoing identity. A relationship of trust may facilitate a gradual resolution of the ambivalence, promoting a patient's sense of ownership and empowerment in the context of treatment.
The Canadian Journal of Psychiatry, 1983
Certaines personnes prétendent être entrées en contact et avoir communiqué avec des occupants d'objets volants d'origine extraterrestre qui les auraient souvent chargés de “missions” concernant la sauvegarde de l'humanité. Les auteurs, qui en ont observé six, concluent que cinq d'entre elles souffraient de délire paranoïaque pouvant souvent se rapprocher d'une paraphrénie, alors que d'autres cas analogues déjà décrits souffraient de schizophrénie paranoïde. Leurs convictions inaccessibles à la critique et au raisonnement les aident probablement à rester en dehors du champ psychiatrique. Cet article ne s'intéresse pas à la réalité de l'existence physique du phénomène et se veut non réductionniste, ne prétendant pas mettre en cause les témoins de tels phénomènes, dont la santé mentale doit être étudiée grâce à un examen mené avec rigueur et impartialité et ne doit pas être évaluée en fonction des préjugés de l'examinateur vis-à-vis des affirmations ...
Certains patients présentent un fonctionnement psychotique sans pour autant présenter des symptômes typiques (hallucinations, délire). Il ne s'agit pas de tableaux cliniques symptomatiques, mais bien plutôt d'une clinique très discrète, avec la présence de phénomènes à minima. À partir de la psychanalyse, et à l'aide de la psychiatrie phénoménologique, nous analysons dans ce travail cinq faisceaux symptomatiques qui souvent passent inaperçus car ils sont négligés par le clinicien qui ne s'y prend pas à l'avance et qui réduit l'examen aux seuls symptômes psychotiques majeurs et/ou au comportement. Trois vignettes cliniques y seront traitées.
Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique, 2009
centre d'imagerie-neurosciences et d'applications aux pathologies (CI-NAPS),
Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique, 2009
Appréhension et catégorisation de l'expression de la symptomatologie schizophrénique dans l'interaction verbale Apprehension and categorization of schizophrenic symptomatology expression in verbal interaction M. Musiol, F. Verhaegen * EA 4165, laboratoire interpsy, psychologie de l'interaction et des relations intersubjectives,
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