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2009, Revue Neurologique
de telles absences « fantô mes ». Ce patient a é té enregistré pendant plusieurs heures et plusieurs jours de suite sans aucune absence et le diagnostic initial avait é té une é pilepsie partielle frontale. Cette observation est originale par la ré currence chaque semaine d'EA pendant dix ans et indique que ce nouveau syndrome est en apparence « bé nin » puisque malgré la ré pé tition et la duré e des EA, ce patient n'avait pas de sé quelle neurologique. Il y a une né cessité de dé crire un syndrome é pileptique par le type apparent et principal de crises ce qui justifie la dé nomination d'absence status epilepsy. La connaissance de cette nouvelle entité d'é pilepsie gé né ralisé e idiopathique permettra sans doute d'é viter à ce type de patients des errements diagnostiques et des erreurs thé rapeutiques. 3. Conflits d'inté rê ts Nous, les auteurs dé clarons n'avoir pas de conflits d'inté rê ts.
Revue De Medecine Interne, 2005
Revue de Stomatologie et de Chirurgie Maxillo-faciale, 2009
Revue Neurologique, 2010
r e v u e n e u r o l o g i q u e 1 6 6 ( 2 0 1 0 ) 9 4 8 -9 5 0 i n f o a r t i c l e Historique de l'article : Reçu le 24 dé cembre 2009 Reçu sous la forme ré visé e le 13 fé vrier 2010 Accepté le 16 mars 2010 Disponible sur Internet le 26 mai 2010 Mots clés : Té tanos cé phalique Nerfs crâ niens Diagnostic du té tanos Keywords: Cephalic tetanus Cranial nerves Diagnosis of tetanus r é s u m é Introduction. -Le té tanos cé phalique est la forme la plus grave de té tanos localisé . Elle associe un trismus et une atteinte d'une ou de plusieurs nerfs crâ niens. Cette forme est rare et peut poser des problè mes de diagnostic positif.
Annales françaises d'Oto-rhino-laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale, 2010
Introduction. -Les lymphomes primaires de l'os mandibulaire sont rares. Ils sont souvent confondus avec des lésions odontogènes, entraînant un retard diagnostique. Nous exposons, à travers une observation, les caractéristiques cliniques et radiologiques du lymphome mandibulaire ainsi que ses modalités de prise en charge. Présentation du cas. -Une jeune fille de 17 ans, a consulté pour une tuméfaction douloureuse de l'hémiface droite évoluant depuis un an. L'examen clinique a trouvé une masse en regard de la branche horizontale de la mandibule étendue vers la région parotidienne droite sans envahissement cutané en regard. Le scanner et l'IRM ont montré un volumineux processus expansif d'origine mandibulaire avec extension parotidienne, pétreuse, et endocrânienne. La biopsie a conclu à un lymphome B à grande cellule. La patiente a été traitée par chimiothérapie avec bonne évolution après un recul de deux ans. Conclusion. -Les lymphomes constituent le deuxième cancer de la tête et du cou, après les carcinomes épidermoïdes. Les localisations mandibulaires ne représenteraient que 0,6 % des cas. Il s'agit presque toujours de lymphomes à cellules B. La confusion initiale avec une pathologie d'origine dentaire est fréquemment rapportée. Le taux de rémission complète après chimiothérapie est de 60 à 80 % à un an.
Pratique Neurologique - FMC, 2012
Le lymphome cérébral primitif est une forme de lymphome non hodgkinien touchant le cerveau de façon isolée à l'exception d'autres atteintes du système nerveux central (moelle épinière, oeil, méninges). Il s'agit d'un cancer rare, mais en constante augmentation, avec environ 300 nouveaux cas par an en France. Si dans les années 1980 et 1990, il touchait de façon prédominante les sujets immunodéprimés atteints du VIH, il est, depuis l'introduction de traitements antirétroviraux efficaces, essentiellement rencontré chez des sujets immunocompétents. Il atteint très majoritairement l'adulte d'âge mûr, avec une médiane de survenue d'environ 65 ans. Son diagnostic est parfois difficile mais très important en raison des enjeux thérapeutiques qu'il entraîne. Nous rapportons ici le cas d'une patiente immunocompétente prise en charge pour un lymphome cérébral primitif.
Annales d'Endocrinologie, 2008
Résumé Le lymphome primitif de la surrénale est extrêmement rare, seulement 70 cas ont été rapportés dans la littérature jusqu'à 2007. L'atteinte est souvent bilatérale et le lymphome est presque toujours de phénotype B. Le phénotype T est exceptionnel. Son pronostic reste sévère et le décès peut survenir en période aiguë par insuffisance surrénalienne. Nous rapportons le cas d'un homme âgé de 70 ans admis pour prise en charge d'un lymphome primitif surrénalien de phénotype T, découvert suite à une insuffisance surrénalienne basse. Il a eu une corticothérapie, puis il a été opéré pour suspicion d'un sepsis intra-abdominal. Il est décédé dans un tableau de défaillance multiviscérale. Le tableau clinique est polymorphe, les données de l'imagerie classique ne sont pas spécifiques. Le 18 F-FDG PET Scan constitue un excellent moyen non invasif pour différencier une lésion surrénalienne bénigne d'une lésion maligne. La ponction-biopsie reste le seul moyen diagnostique. La chimiothérapie est le traitement de référence.
Pan African Medical Journal, 2015
L'hémorragie intracrânienne (HIC) du nouveau-né à terme est une pathologie rare, leur prévalence est estimée à 2% des naissances vivantes. Les manifestations cliniques sont variables et non spécifique. Les causes d'HIC sont multiples et souvent intriquées, les mécanismes physiopathologiques principaux sont la dysrégulation du débit cérébral, une obstruction des vaisseaux ou une coagulation intravasculaire; ou une lésion directe par traumatisme. Nous rapportons le cas d'un nourrisson d'un mois qui a été admis dans notre service pour prendre en charge des convulsions associées à une pâleur cutanéomuqueuse, suite à laquelle l'examen biologique a mis fortuitement en faveur une hémophilie mineure sur une maladie hémorragique tardive.
Pathologie Biologie, 2007
Une étude cytologique, immunophénotypique et cytogénétique a été réalisée sur une série de 136 patients (93 LLC, 43 lymphomes B) atteints de proliférations chroniques à cellules B matures dans le but de préciser les diagnostics, caractériser et apprécier les anomalies cytogénétiques. Dans cette série, sélectionnée notamment sur le critère de lymphocytose sanguine, les LLC sont deux fois plus fréquentes que les lymphomes B à petites cellules. Les sondes de FISH choisies révèlent des anomalies cryptiques qui resteraient méconnues par la cytogénétique conventionnelle (CC). La fréquence globale des anomalies clonales (CC et FISH) est de 74,8 % sur l'ensemble de la série, de 74,4 % pour les lymphomes et de 75,3 % pour les LLC qui sont très majoritairement des stades A de Binet (69A, 13B, 1C, 10 non précisés). Pour les LLC, les stades A sont anormaux à 88,4 %, les B à 84,6 % et les anomalies 13q14, délétions cryptiques et translocations, sont largement majoritaires ; les translocations 14q32 et les trisomies 12 sont prédominantes dans la série de lymphomes. L'étude en FISH interphasique par des sondes locus-spécifique en cas d'anomalie métaphasique non clonale révèle souvent des clones méconnus.
Pratique Neurologique - FMC, 2010
Pathologie psychogène • Diagnostic • Annonce • Keywords Psychogenic disorder • Diagnosis • Announcement •
Annales De Dermatologie Et De Venereologie, 2009
Introduction. -Le pyoderma malin, ou Pyoderma gangrenosum (PG) à localisation céphalique, est une affection rare caractérisée par son agressivité locorégionale et son évolution chronique récidivante. Nous rapportons un cas de pyoderma malin compliqué d'atteinte osseuse de la voûte du crâne.
Médecine Buccale Chirurgie Buccale, 2007
Les auteurs rapportent le cas d'une tuméfaction mandibulaire droite survenant chez un homme âgé de 73 ans qui a amené à la découverte d'un myélome multiple. La radiographie standard de la mandibule a révélé l'existence d'une lyse osseuse de la branche montante droite de la mandibule avec une masse envahissant les parties molles. L'examen tomodensitométrique avait montré à coté du processus tumoral de la branche montante de la mandibule, des images lacunaires de la voûte du crâne et une lyse de la 3 e vertèbre cervicale faisant suspecter le diagnostic de myélome multiple. Le diagnostic positif a été confirmé par le bilan biologique et radiologique. Nous rappelons l'aspect en imagerie du myélome multiple à localisation mandibulaire, en mettant l'accent sur les principaux diagnostics différentiels.
Canadian family physician Médecin de famille canadien
Pan African Medical Journal, 2016
Le diagnostic de pneumonie à éosinophile est rare et l'étiologie maligne reste exceptionnelle. Les étiologies sont variables et sont dominées essentiellement par les affections allergiques et les causes médicamenteuses. Nous rapportons le cas d'un lymphome non hodgkinien de type B révélé par une pneumonie à éosinophile chez un patient de 61 ans. Le diagnostic de pneumonie à éosinophile a été confirmé par un taux d'éosinophile à 56% au lavage bronchoalvéolaire. L'étude immunohistochimique de la biopsie ostéomédullaire a révélé un lymphome malin non hodgkinien à petites cellules de phénotype B.
Actualités Odonto-Stomatologiques
Pratique Neurologique - FMC, 2019
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L'archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d'enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
La Revue de Médecine Interne, 2001
Introduction. – Although mycosis fungoides is a malignant T-cell lymphoma involving mainly the skin, neurological complications are possible, with a poor prognosis.Exegesis. – A 59-year-old man, treated for mycosis fungoides with transformation to a pleomorphic T-cell lymphoma for 1 year, was seen for mental status changes with confusion. A brain parenchyma localisation was found.Conclusion. – This observation emphasizes the exceptional neurological tropism in
2010
Mots clés : plasmocytome / myélome multiple / pathologie buccale Résumé -Le plasmocytome est considéré comme la forme initiale du myélome multiple (MM), affection souvent fatale. Plus fréquent chez les hommes (sex-ratio = 4 :1), le MM apparait généralement entre 50 et 80 ans. Il affecte surtout les vertèbres, le crâne, le bassin, les côtes, l'humérus et le fémur. L'OMS, en 2002, plaçait le MM au 17 e rang parmi les causes de mortalité dues aux cancers dans le monde. Nous rapportons le cas d'une patiente de 30 ans, adressée à l'École prégraduée de Chirurgie maxillo-faciale de la Faculté d'Odontologie de l'Université nationale autonome (Mexico), en raison d'une tuméfaction mandibulaire gauche, considérée initialement comme d'origine infectieuse. L'examen histopathologique a montré qu'il s'agissait d'un plasmocytome. Le bilan paraclinique (examens de sang et d'urine, radiographies) a révélé un MM avec un aspect histologique peu commun, considéré comme ayant un mauvais pronostic. La patiente est décédée 5 mois après la découverte du MM. Ce cas illustre la difficulté diagnostique d'une néoplasie buccale qui fut initialement considérée comme d'origine infectieuse et traitée par antibiothérapie.
La Revue de Médecine Interne, 2010
Peripheral neuropathy is a rare presenting feature of malignant lymphoma, and commonly associated with diagnostic delay. We report a patient with axonal neuropathy revealing primary pleural lymphoma as a late outcome of pulmonary tuberculosis. A 72-year-old-man with a past medical history of pulmonary tuberculosis presented with a 5-month history of axonal neuropathy. The patient complained of chest pain, altered general status. Chest computed tomography (CT) showed pleural tumour invading the chest wall and CT-guided pleural biopsy revealed a B-cell lymphoma. Chemotherapy was not started in consideration of the poor performance status of the patient. Despite corticosteroids, the peripheral neuropathy worsened and the patient died 2 months after the diagnosis of lymphoma. To our knowledge, no previous case of peripheral neuropathy revealing pleural lymphoma has been reported. The diagnosis of lymphoma must be entertained in the presence of peripheral neuropathy of unknown aetiology. Neuropathy associated to lymphoma results from various mechanisms and is characterised by clinical polymorphism. Their prognosis depends on the mechanism of the neuropathy and the severity of the lymphoma.
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