Xul Solar et la musique

Si, comme l’affirme Richard Wagner au cours de L’Œuvre d’art de l’avenir, il n’est dans la danse que « la musique et la poésie […] deviennent intelligibles», la représentation de la danse en peinture pourrait être un moyen de transposer la musique et la poésie sur la toile. Basée sur cette hypothèse, cette comunication offre une lecture de cinq aquarelles peintes par l’artiste argentin Alejandro Xul Solar (1887-1963) dans laquelle se combinent éléments iconographie, plasticité et questions musicales touchant l’iconographie, la composition plastique, l’espace onirique et l’aspect symbolique. If, like Richard Wagner states in The Art Work of the Future is only in dance that « music and poetry […] become intelligible», the pictorial representation of dance could be a way of transposing music and poetry to the canvas. Based on this hypothesis, this paper offers an interpretation of five watercolors painted by the Argentinean artist Alejandro Xul Solar (1887-1963) in which music appears on iconographic, structural, plastic and symbolic levels.

in Jean-Marc Chouvel et Makis Solomos (ed.), L'espace : Musique / Philosophie, Paris, L'Harmattan, collection « Musique et Musicologie », 1998, pp. 311-318. Space and music in China, the spatial dimension of music

Frontières, 2008

Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : [email protected]

Aimer une oeuvre juste pour ce qu'elle est, comme un paysage, un enfant, une odeur, un goût, un son, un souffle.

2007

En intégrant le papier avec les outils informatiques, les technologies comme Anoto apportent une approche innovante pour soutenir les activités créatives. Mais la construction de systèmes augmentés pertinents nécessite une compréhension affinée des usages effectifs et potentiels du papier et de l'ordinateur. Nous décrivons les résultats d'uneétude sur les "paperoles" 1 des compositeurs, utilisateurs experts des deux technologies. Nous avonsété amenésà repenser l'hypothèse courante selon laquelle ce qui est recherché dans le papier réside essentiellement dans sa flexibilité. Nous concluons par quelques directions pour la conception de systèmes d'informatique musicale utilisant le papier augmenté.

1987

Les Cahiers Jeunesses et societes sont une publication du Reseau « Jeunesses et Societes ». Le theme « Jeunes et Musiques » a ete aborde dans le cadre des journees d'etudes du 26 juin 1986, 25 novembre 1986, et 26 mai 1987. Ce dixieme numero des Cahiers rend compte pour partie de ces travaux. SOMMAIRE • Presentation, par Gerard Mauger (1) • La production sociale du rock, par Patrick Mignon (3-32) • Les gouts musicaux des lyceens , par Regine Boyer (33-47) • Rock, jeunesse, socialisation. Jalons d'un itineraire de recherche , par Jean-Francois Hersent (49-56) • Les conduites musicales des adolescents . Reve d'une culture ou culture de reve ?, par Anne-Marie Green (57-70) • Le groupe de rock : rite de passage ou rite d'initiation ?, par Eliane Daphy (71-78)

En voyant cette main qui joue de la kena (flûte à encoche) je peux savoir que celui qui tient l'instrument est un Andin; je ne peux confondre son geste avec celui d'un jeune Chilien de la ville jouant exactement de la même flûte. Tandis que dans le premier cas les doigts couvrent le trou de jeu avec l'articulation entre la deuxième et la troisième phalange, dans le deuxième, c'est avec l'extrémité de la troisième phalange qu'on ferme l'orifice.

HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2023

2021

L’imaginaire de Chagall est habité de musique et de musiciens, peuplé de figures en apesanteur, d’oiseaux et d’étoiles, entourant les fiancés et les saltimbanques. Les spectacles visionnaires rayonnent de couleurs éclatantes; fantaisie, naïveté, improvisation séduisent le regard. Ces scènes ont un pouvoir émotionnel aussi intense que la musique qu’elles évoquent. Les compositions de Chagall entrent dans un monde de légendes et de rêves, vibrant de musique, faisant chanter les fresques. Ses œuvres sont à l’origine d’une rencontre inattendue entre un poète et un chansonnier jouant sur la même corde : les vers d’Aragon célébrant l’art de Chagall ont inspiré les mélodies inventées et chantées par Jean Ferrat. Pinceaux, rimes et chansons terminent la ronde. La musique étant au centre de ce sujet, pour accompagner le récit autour des œuvres de Chagall, on trouvera des références aux pièces musicales dont l’écoute permettra de sensibiliser le lecteur à l’ambiance sonore qui a inspiré le peintre. La rencontre avec Chagall n’en sera que plus vivante.

2015

A review of Francis Wolff, Pourquoi la musique?, Paris, Fayard, 2015. La musique découpe un monde de sons dans notre perception ordinaire et nous fait ainsi entrer dans un royaume de purs événements. C’est de là que lui vient sa puissance : celle d’exprimer des émotions, celle de représenter d’autres mondes.