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2018, Emulations - Revue de sciences sociales
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Le développement de pratiques artistiques participatives, relationnelles et contextuelles au sein des sociétés capitalistes démocratiques s’accompagne de multiples modes de relations entre…
Le cours vise à offrir une exploration approfondie et critique de la dynamique entre l'art et la politique, en reliant des concepts théoriques à des exemples pratiques et en encourageant les étudiants à développer leur propre perspective réfléchie sur le sujet. Throughout the course, various concepts and theories that aid in understanding the interplay between art and politics will be elucidated using examples from texts and images. We will also examine how the arts have influenced history and politics, considering art as a means of direct political action and as a subtle instigator of social change. Given the unique political and economic conditions of Ottoman/Turkish political-economic life, we will discuss and problematize the major trends and transformations in certain forms of art (theatre, painting, cinema, visual arts, literature) through specific periods. As cultural production is mediated and evaluated by a variety of actors and cultural policy agendas, this course will draw attention to these aspects of cultural economy. Additionally, it will explore issues related to gender, race, class, political economy, and ideology throughout the history of modernization. By delving into the intricate relationship between art and politics, this course aims to provide a comprehensive understanding of how cultural production has shaped and been shaped by the political landscape. The course will encourage critical analysis and discussion of the multifaceted roles that art plays in society, shedding light on its potential to serve as a tool for political activism and a catalyst for societal transformations.
Soci??t??s & repr??sentations, 2001
1.1. La culture au sens large 1.2. Différence entre la nature et la culture (altérations corporelles) Les tatouages sont présents dans toutes les civilisations, sur toutes les parties du corps et possèdent différentes significations. 1 e période de l'Histoire : Ils sont d'abord apparus dans les cultures nonalphabétisées, ils sont donc un signe d'accès à la culture. L'homme étant différent de l'animal, le tatouage est une sorte de passeport, de carte signalétique. 2 e période de l'Histoire : apparition de civilisations alphabétisées. Ex. civilisation grecque : les tatouages sont de plus en plus interdits car un corps tatoué est une singularité alors qu'à cet époque les corps doivent être interchangeables car on a besoin de maind'oeuvre. Il y a deux catégories de groupes sociaux qui vont continuer à être tatoués : d'une part, les bannis, ceux qui sont mis au ban de la société (et par extension, cela a donné le terme « banlieue »), ils sont tatoués sur les bras ou sur le visage quand c'est plus grave ; d'autre part, les élites pour marquer le fait qu'ils ne sont pas n'importe qui, ça peut aussi être une société secrète. Un dogme fondamental se manifeste : le respect du corps qui est au centre de la société (anthropocentrisme). Différence entre cosmétique et comotique. La cosmétique est la gymnastique, tous les soins apportés au corps, l'alimentation saine, etc. Pour les Grecs, un corps "beau" est un corps moralement pur, "bien". La comotique est une version de notre cosmétique actuelle : pommades, maquillages, etc. Les Grecs considèrent cela comme étant prostitutionnel. Chez eux, les hommes se maquillent aussi et ils trouvent cela méprisable. Le corps est sacré, donc il ne faut pas l'altérer. Pour eux, les êtres humains sont ceux qui ont un corps (à la différence des chrétiens et des Romains qui considèrent que les êtres humains sont ceux qui possèdent une âme => ce qui a justifié les colonisation : seuls les chrétiens ont une âme, les autres pas, on peut donc les tuer.) Le tatouage est proscrit. Les Romains parlent de "stigmates" apposés sur le front, c'est une forme d'altération corporelle. Dans l'armée (pour les chevaliers), le tatouage va cependant se maintenir, c'est encore légal. Comment définir le commun ? Comment s'en différencier ? Constantin, le 1 e empereur chrétien, va interdire les tatouages (mêmes ceux sur le front appliqués aux esclaves).
Contretemps (revue papier) 41, 2019
Entretien à l'occasion de l’exposition « Art et utopie au pays des soviets », présentée au Grand Palais au printemps 2019
Classiques des sciences sociales., 2005
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ETC, 1998
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RÉSUMÉ La sorcellerie peut être définie comme la croyance selon laquelle le malheur inexpliqué est dû à l'intention maléfique d'individus dotés de pouvoirs surnaturels. Si des croyances de ce type existent aux quatre coins du monde, peu de travaux ont tenté de rendre compte de cette très large diffusion, qui semble dépendre de certaines constantes de l'esprit humain.
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Revue des Questions Scientifiques, vol. 194, n°1-2, 2023
Critique D Art Actualite Internationale De La Litterature Critique Sur L Art Contemporain, 2006
Traité sur la ville (Jean-Marc Stébé, Hervé Marchal, Eds), PUF, p. 513-560, 2009
Anthropologie et Sociétés, 2004