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2019, Representer dieux et hommes dans le Proche-Orient ancien et dans la Bible
No part of this book may be reproduced in any form or by any electronic or mechanical means, including information storage or retrieval devices or systems, without the prior written permission from the publisher, except the quotation of brief passages for review purposes. La collection Orbis Biblicus et Orientalis publie des monographies, des volumes thématiques études bibliques (Bible hébraïque et Septante), de l'assyriologie, de l'égyptologie et d'autres disciplines consacrées à l'étude du Proche-Orient ancien dans un sens large, telles que l'archéologie, l'iconographie et l'histoire des religions. Le comité éditorial et les de la collection. Des manuscrits peuvent être proposés par l'intermédiaire d'un membre du comité éditorial. Ils sont examinés par le comité dans son ensemble, qui peut les soumettre à des pairs de réputation internationale pour une évaluation indépendante. Lue sur tous les continents, la série s'engage à une large diffusion grâce notamment à son ouverture à la publication en open access. L'ensemble des volumes de la série-y compris les publications épuisées-est archivé sur le référentiel numérique de l'Université de Zurich (www.zora.uzh.ch).
Archives de Psychologie, 2009
2009
L'etude de la representation de Dieu chez l'enfant a l'aide de la technique du dessin n'est pas nouvelle. Dans une large enquete conduite aux Etats-Unis, Harms (1944) montrait des modifications du contenu des representations en fonction de l'âge : du conte de fee aux representations plus realistes, de l'anthropomorphisme a des representations plus symboliques ou abstraites. Depuis, d'autres travaux ont repris cette technique avec des enfants europeens, montrant des differences suivant que l'enfant a recu ou non une education religieuse (Hanisch, 1996) ou qu'il est garcon ou fille (Klein, 2000). Dans le prolongement de ces travaux, l'enquete presentee cherche a mettre en evidence l'effet de la culture en sortant d'un contexte inspire par la conception judeo-chretienne de Dieu. Pres de 150 dessins ont ete recoltes au Japon dans des ecoles bouddhistes et publiques, aupres d'enfants entre sept ans et 14 ans. Trois groupes d'âges on...
Corinne Bonnet, Amandine Declercq, Iwo Slobodzianek. Les représentations des dieux des autres, Salvatore Sciascia Editore, Supplément de: ”Mythos, Rivista di storia delle Religioni”, 2011
Les représentations des dieux des autres Les peuples dont l'histoire nous a donné quelques faibles connaissances ont tous regardé leurs différentes religions comme des noeuds qui les unissaient tous ensemble : c'était une association du genre humain.
Michèle Broze -Chercheuse qualifiée au FNRS L'iconographie que l'Egypte ancienne propose du monde imaginaire a dès l'Antiquité soulevé de nombreuses critiques. Serpents à pattes, hommes à tête de chacal, femmes à tête de grenouille, chats munis de couteaux, ou lions à tête humaine: les formes divines semblent ridicules, monstrueuses, incongrues, impies. Ces critiques ne sont pas dénuées d'ambiguïté. En effet, Grecs et Romains ne sont pas sans connaître, dans leur propre culture, des manifestations animales du divin. Zeus lui-même n'a pas reculé devant la forme d'un taureau pour circonvenir de belles mortelles comme Europe. D'autre part, les Egyptiens sont considérés dans l'Antiquité classique comme les plus pieux des hommes. Comment, dès lors, concilier cette piété avec une représentation impie du divin?
in N. Belayche, V. Pirenne-Delforge, Fabriquer du divin. Constructions et ajustements de la représentation des dieux dans l'Antiquité, Liège, Presses Universitaires de Liège, 2015, p. 41-57.
Dossier d’Archéologie « Les mythes fondateurs à la Petite Galerie du Louvre », n°372, 2015
Laval théologique et philosophique, 2000
Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998. Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : [email protected] Article « Une lecture des figures de l'acteur Dieu dans Colossiens » Pierrette T. Daviau Laval théologique et philosophique, vol. 48, n° 1, 1992, p. 7-18. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : URI: http://id.erudit.org/iderudit/400657ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir.
Thomas Bohl (ed.), Cimabue. Aux origines de la peinture italienne, Musée du Louvre, Paris, 2025, notices 10, 13, 14, pp 102-103, 108-111., 2025
En application de la loi du 11 mars 1957 (art. 41) et du Code de la propriété intellectuelle du 1 er juillet 1992, toute reproduction partielle ou totale à usage collectif de la présente publication est strictement interdite sans autorisation expresse de l'éditeur. Il est rappelé à cet égard que l'usage abusif et collectif de la photocopie met en danger l'équilibre économique des circuits du livre.
Égypte, Afrique & Orient, 2023
Le but de cet article est de fournir une analyse des statues colossales découvertes dans les ruines du temple de Coptos, ainsi que mettre en évidence certains faits qui permettent de comprendre le contexte dans lequel s'est effectuée la trouvaille de ces statues.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2011
2017
Distribution électronique Cairn.info pour La Pensée sauvage. Distribution électronique Cairn.info pour La Pensée sauvage. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-l-autre-2017-2-page-125.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info.
Idols in the Bible are "gods of gold, silver or stone" (Deut. 29.16). It is possible that the first Egyptians have believed that objects or animals were divine, but texts from Middle and New Kingdoms show that they distinguished between the statue and the god. The text of the Memphite Theology says that the gods "enter" (aq) in their statue; the Teaching for Merikare distinguishes between the god and his sanctuary. The texts of the New Kingdom show that then the divine transcendence was recognized. The Ptolemaic inscriptions use a rich vocabulary to describe the union between the gods and their statues. All this evidence shows that, at the time of the Judaism, the Egyptians no longer believed that the idol was a god, but that the god dwelt in his statue.
Essaim, 2015
Distribution électronique Cairn.info pour ERES. © ERES. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
1992
L'article propose une deconstruction du dessin chez l'enfant et analyse surtout les processus techniques en jeu. Il met en evidence la dimension d'abstraction dans le dessin de l'enfant des qu'il est sorti du "gribouillage". L'article retravaille en meme temps de ce point de vue l'apport de G.-H. Luquet.
Depuis la première empreinte de main sur la paroi d'une caverne, l'homme s'est ingénié à intégrer dans l'oeuvre d'art les éléments fondateurs et constitutifs de sa vie, dont la mort, qui semble en marquer le terme. Selon les contrées et les époques, le passage dans l'au-delà a donné lieu à des célébrations, été l'objet de cultes et inspiré un art funéraire extrêmement riche ou au contraire a été occulté, nié jusqu'à devenir tabou. Et l'humanité a jalonné son his ˇtoire de récits qui nous «parlent» de l'expérience de mort et du passage dans l'au-delà, mais comment a-t-elle permis à l'artiste de nous les montrer? Comment les peintres, à travers les âges, ont-ils abordé ce thème? Que nous ont-ils laissé à voir?
Marie-Hélène Robert Spiritus n° 174, mars 2004
Le dialogue interreligieux, pour la « tendance missionnaire » la plus répandue, semble être à la fois cause et conséquence des modifications de nos représentations de Dieu : avoir rencontré un croyant d'une autre religion ne peut pas m'avoir laissée indifférente et ne pas avoir déplacé mes conceptions de Dieu, forcément plus limitées avant qu'après la rencontre. A contrario, le dialogue n'est possible que comme conséquence d'une transformation de mes schémas sur Dieu. Cela se vérifie par l'attitude opposée : aucun fondamentaliste convaincu, d'une religion ou d'une autre, ne souhaiterait entrer en dialogue avec des croyants d'une autre religion si ce dialogue doit remettre en question ou seulement transformer sa vision de Dieu, héritée d'une tradition sûre, éprouvée par le temps. Mais aussi, paradoxalement, la tendance missionnaire ouverte rejoint celle d’une conception très traditionnelle. Quel croyant en un Dieu de relation, créateur d’une humanité bonne, libre, raisonnable et perfectible, orientée vers son Créateur de son principe à sa fin, peut-il refuser d’entrer en dialogue avec la pensée et la foi d’un croyant qui pourtant ne partage pas sa propre foi en Jésus-Christ ? On a reconnu le point central de la pensée de Thomas d’Aquin. Ce théologien du XIIIe siècle a su laisser se déplacer l’héritage de sa vision – essentiellement augustinienne – sans renier l’ensemble de l’héritage de la tradition chrétienne.
Théologiques, 2012
La dimension de l'image et la réflexion portée sur elle constituent une possibilité d'accès conjoint et de liaison entre les différents domaines des pensées et des itinéraires parcourus par Maître Eckhart, d'une part, et Nishida Kitarō, d'autre part. Avec le mot image, on veut faire référence ici au fait qu'on exprime nécessairement « en figure » ce que la recherche philosophique et même la recherche théologique s'efforcent de viser : la Vérité, l'Absolu, Dieu ou, en tout cas, l'Abîme indicible qui est fond de l'être des choses visibles et invisibles. Puisque le langage reste un moyen de viser l'absolu, mais qu'il lui fait écran à la fois, il faut un emploi des mots et du langage dans son ensemble qui soit en mesure d'équilibrer ce rapport difficile entre ce qui peut être nommé et ce qui reste innommable, entre visible et invisible. De façons différentes, Eckhart et Nishida abordent le thème de l'imageimage qui concerne le domaine du visible et à la fois image en tant que dimension rhétorique, c'est-à-dire la * Marcello Ghilardi est chercheur au Département FISPPA -Philosophie, Sociologie, Pédagogie et Psychologie de l'Université de Padoue (Italie). Ses champs de recherche sont la philosophie interculturelle, l'esthétique, la philosophie japonaise et chinoise contemporaine, le dialogue entre bouddhisme et christianisme. Il fait partie de la commission éditoriale de la revue « The Journal of Japanese Philosophy » et dirige actuellement l'Institut Confucius de Padoue. Il a récemment publié, avec Enrico Fongaro (2012) Il visibile differente. Sguardo e relazione in Derrida (Mimesis, Milan), et vient d'éditer un ouvrage de Nishida en italien (2012) Luogo (Basho), (Milan).
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