Notes metrologiques: La regle de Kahun LDUCE-UC16747.

Cet article étudie la courbe marquée sur l'ostracon JE 50036 et le tracé d'une courbe près de la tombe KV9.

Notes métrologiques: Réponse à un commentaire de M. Alexis Seydoux dans la vidéo “L’Homme de Vitruve, la Clé des Mesures de l’Antiquité? ITW de Luis Castaño Sánchez”. (Fecha del documento: Miércoles 5 de Abril de 2023).

Révision de l'article de Claire Simon "Le nbi et le canon de proportions".

Réflexions sur les problèmes 48 et 50 du papyrus Rhind. (Fecha del documento: Lunes 1 de mayo de 2023).

Notes métrologiques: Réponse à un commentaire de M. Alexis Seydoux dans la vidéo “L’Homme de Vitruve, la Clé des Mesures de l’Antiquité? ITW de Luis Castaño Sánchez”. (Fecha del documento: Miércoles 5 de Abril de 2023).

Frédéric Taillade. Notions de métrologie. 3ème cycle. 2005. <cel-00564306>

Révision critique de la publication de M. Quentin Leplat "Le mètre, Napoléon et l'Académie des Sciences".

Revue Francaise De Metrologie, 2006

se déduit de l'Échelle internationale de température (EIT-90). Les cavités corps noir dont le rayonnement obéit à la loi de Planck, sont des instruments de base dans cette réalisation. L'éclairement énergétique se déduit de la luminance pour ses valeurs spectrales relatives dans le domaine de longueurs d'onde allant de 300 nm à 2 500 nm. Un radiomètre à filtre étalonné vis-à-vis de la référence radiométrique nationale, un radiomètre cryogénique, permet le calage absolu des valeurs relatives. La réalisation de la référence d'éclairement est décrite dans son principe et sa mise en oeuvre. Les phénomènes expérimentaux et les incertitudes qu'ils génèrent sont analysés en détail. Nous donnerons alors les capacités d'étalonnage et les perspectives d'évolution de l'expérience.

Version française de mon article "Apuntes metrológicos: Reflexiones sobre Historical Metrology de Berriman". Révision critique des bases du livre Historical Metrology de Berriman, à partir de la section "The Geodetic Mile".

Dans la première partie, M. Carlotti signale d'abord que: Les unités de longueur employées en Égypte pharaonique ont pour référence différentes parties du corps humain, comme dans bien d'autres sociétés anciennes. L'étalon de mesure de longueur est la coudée, ou plutôt les coudées car nous en connaissons plusieurs types en fonction du nombre d'unités de base qui les compose. Puis, il indique que: Nous distinguerons deux systèmes métrologiques qui sont employés dans des circonstances totalement différentes: Premièrement: le système «traditionnel» issu de la coudée royale. Il s'agit de l'étalon que l'on trouve communément cité par les textes se rapportant à l'architecture. Ce système est appelé par E. Iversen: «système à division digitale», c'est désormais le terme par lequel nous le désignerons. (…) Deuxièmement: le système «artisanal» issu de la coudée sacrée, dont le nombre de subdivision est inférieur au système traditionnel. Ce système est appelé par E. Iversen: «système à division onciale», c'est désormais le terme par lequel nous le désignerons. Ensuite, il passe à étudier ces deux systèmes: A. Le système digital. B. Le système oncial. Dans la deuxième partie, M. Carlotti nous offre quelques réflexions personnelles sur le sujet. C'est ainsi que dans le point A (La coexistence des deux systèmes) il nous indique que: Tout d'abord, nous pouvons, peut-être, en tirer quelques conclusions sur le mode d'élaboration des projets architecturaux, comme l'ont supposé A. Badawy et J.-P. Lauer. L'hypothèse de l'existence d'une grille nécessaire au canon architectural est très tentante. Puis, il compare le système métrologique Égyptien avec le système romain et conclut que: Nous pouvons y voir un legs de l'Égypte Antique. Dans le point B (La valeur métrique de la coudée) M. Carlotti signale que: La valeur métrique de la coudée royale a été l'objet de nombreuses polémiques par le passé. Mais, aujourd'hui, on peut raisonnablement déterminer une fourchette comprise entre 0,52 m et 0,54 m avec quelques exceptions, sans doute très rares, en deçà et au-delà. Une valeur de la coudée royale au Nouvel Empire, comprise entre 0,523 m et 0,525 m, a cependant été observée par de nombreux auteurs. Enfin, dans le point C (Les coudées votives), M. Carlotti indique que: Les coudées, que l'on nomme «votives», sont des instruments en pierre ou en bois dont la destination est encore aujourd'hui controversée.