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L'Armorial de Guillaume Revel
Ont notamment contribué à ce volume (par ordre alphabétique) : Violette BLANC ; Christophe BOUILLON (doctorant en histoire, chargé de cours à l'université Rennes 2) ; Franck BRECHON (docteur en histoire médiévale, président du Parc naturel régional des Monts d'Ardèche) ; Frédéric BUFFARD (étudiant à l'université Clermont 2) ; Claude COLOMBET-LASSEIGNE (docteur en histoire médiévale, CERHI-université de Saint-Étienne) ; Emmanuel DE BOOS (docteur en histoire médiévale) ; Chantal DELOMIER (responsable scientifique à l'INRAP-UMR 5138) ; Anne-Christine FERRAND (animatrice de l'architecture et du patrimoine du Forez) ; Axelle JOURNAIX (bibliothécaire au musée Joseph Déchelette à Roanne) ; Pierre-Yves LAFFONT (maître de conférences, université Rennes 2-UMR 6566 CReAAH) ; Christian LE BARRIER (responsable scientifique à l'INRAP) ; Pierre MARCOUX (Fédération des groupes de recherches archéologiques du département de la Loire-FRAL) ; Christophe MATHEVOT (Société de la Diana, doctorant en histoire et archéologie médiévales à l'université Lumière-Lyon 2) ; Olivier MATTÉONI (professeur, université Paris1 Panthéon-Sorbonne, LAMOP-UMR 8589) ; Clément MOTTIN (professeur certifié d'histoire et géographie) ; Jean PONCET (FRAL) ; Catherine SALARDON (chef d'établissement de l'Écomusée du Haut-Beaujolais) ; Paul VALETTE (FRAL).
2018
Publié en 2018 par l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, 7, place de Fontenoy, 75352 Paris 07 SP, France, et le Bureau Hors Siège de l'UNESCO / Institut de l'UNESCO et par l'Institut français du Proche-Orient, BP 11-1424, Beyrouth, Liban OEuvre publiée en libre accès sous la licence Attribution-ShareAlike 3.0 IGO (CC-BY-SA 3.0 IGO) (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/igo/). Les utilisateurs du contenu de la présente publication acceptent les termes d'utilisation de l'Archive ouverte de libre accès UNESCO (www.unesco.org/open-access/terms-use-ccbysa-fr).
La voie de l’Océan et ses abords, nécropoles et habitats gallo-romains à Lyon Vaise
La fouille archéologique Le cadre géographique et géologique Le faubourg nord-ouest de Lugdunum et la voie de l'océan : état des connaissances Chapitre I. La voie de l'océan La voie du Haut-Empire La voie du Bas-Empire Conclusion Chapitre II. L'aménagement du versant et les constructions associées Les terrasses Les fossés Les habitats ou bâtiments agricoles Chapitre III. Les nécropoles La nécropole I La nécropole II L'apport des nécropoles dans le contexte lyonnais Synthèse : chronologie de l'occupation du versant Le versant avant les implantations gallo-romaines Les grands travaux (fin du Ier s. av. J.-C.-début du Ier s. ap. J.-C.) Des installations initiales insuffisantes (début Ier s. ap. J.-C.) Une relative stabilité avant de nouvelles difficultés (Ier s.-début du IIe s. ap. J.-C.) Retour au calme, puis aggravation et abandon de la nécropole (IIe s.) Extension du cône de déjection (IIIe s.) Déplacement de la voie (début IVe s.) Abandon vers la fin du IVe siècle Après l'Empire romain Conclusion générale
Le trésor de Vaise à Lyon (Rhône)
Bracelet 34. Bracelet 35. Collier 36. Paire de bracelets 37. Paire de pendants d'oreilles 38. Paire de pendants d'oreilles 39. Bague 40. Bague 41. Médaillon monétaire Les monnaies du trésor de Vaise Gérard Aubin Catalogue des monnaies Nature et datation du trésor de Vaise à Lyon Un ou deux dépôts ? Annexe François Planet Les auteurs Gérard Aubin : Inspecteur général de l'archéologie.
2008
Distribution électronique Cairn.info pour Collège européen de Gestalt-thérapie. © Collège européen de Gestalt-thérapie. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
2018
Publié en 2018 par l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture, 7, place de Fontenoy, 75352 Paris 07 SP, France, et le Bureau Hors Siège de l'UNESCO / Institut de l'UNESCO et par l'Institut français du Proche-Orient, BP 11-1424, Beyrouth, Liban OEuvre publiée en libre accès sous la licence Attribution-ShareAlike 3.0 IGO (CC-BY-SA 3.0 IGO) (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/igo/). Les utilisateurs du contenu de la présente publication acceptent les termes d'utilisation de l'Archive ouverte de libre accès UNESCO (www.unesco.org/open-access/terms-use-ccbysa-fr).
Focales, 2019
Alors que l'on a beaucoup insisté, dans les histoires de la photographie, sur l'alliance entre photographie et peinture, celle qui unit photographie et arts du spectacle – qui resurgit de manière inédite et emblématique sur la scène artistique contemporaine – a pendant longtemps été quasiment ignorée pour ne pas dire méprisée. Si la photographie a très souvent été théorisée à partir du modèle pictural, les liens qu'elle tisse avec les arts de la scène, et en particulier avec le théâtre, sont pourtant dès l'origine multiples et féconds – que l'on pense, par exemple, au diorama de Daguerre que certaines caractéristiques permettent de situer du côté de l'archéologie des techniques photographiques, aux mises en scène photographiques d'Hippolyte Bayard, aux portraits d'acteurs de Nadar et Disdéri, ou encore à la vogue des « tableaux vivants » de l'époque victorienne.
Anthropologie et Sociétés, 2011
Cette réflexion est issue d'un processus de recherche au cours duquel ont été, entre autres, réalisés trois documentaires interreliés. La recherche 1 portait sur le thème des réparations en conséquence de l'esclavage. Plus précisément, il s'agissait de comprendre comment a surgi, puis s'est transformée, l'idée de réparation chez les Afro-Brésiliens 2 et comment le mouvement noir contemporain se l'est approprié. La recherche a été réalisée à Rio de Janeiro et couvre les années 2000 à aujourd'hui. La notion de réparation a été abordée dans un sens large, et pas seulement au sens juridique de compensation ; elle englobe donc comme nous l'avons défini ailleurs (Saillant 2009a), tous les discours et actions qui réfèrent à des demandes de transformation des conditions actuelles de vie des Afro-Brésiliens associées aux torts causés par quatre siècles d'esclavage 3. 1. Le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada appuie cette recherche depuis 2006. 2. Nous utilisons le terme Afro-Brésilien pour désigner toute la population qui s'autodéfinit comme descendante de la population africaine venue au Brésil depuis le XVI e siècle, que ce soit en tant qu'esclave ou autrement. Pour une discussion sur l'utilisation de ce terme, voir Saillant et Araujo (2009). 3. Sur l'histoire de l'esclavage au Brésil, voir, entre autres : Florentino (1997), Mattoso de Queirós (1979), Reis et Dos Santos Gomes (1996). del proceso de re-subjetivación recíproca de los participantes. Se trata de comprender cómo un trabajo de re-construcción de imágenes no se limita exclusivamente a las simples imágenes sino que coincide, en circunstancias precisas, con los niveles intersubjetivo y político.
Travail sur l'exposition "Soulèvements" de Georges Didi-Huberman (Paris, Jeu de Paume, 2016-2017).
Vst - Vie Sociale Et Traitements, 2014
Distribution électronique Cairn.info pour ERES. © ERES. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Circuit: Musiques contemporaines, 2016
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Recherches féministes, 1994
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Photographica, 2023
e siècle a constitué la période la plus fertile en inventions dans le domaine de la reproduction d'images « prises sur le vif » : la photographie, xe, d'abord puis les « photographies animées » comme la cinématographie fut quali ée originellement. A n de parvenir à une synthèse quasi parfaite permettant l'animation, divers procédés furent expérimentés. Avant l'avènement du cinématographe, il y eut de nombreux appareils a ublés de su xes en scope et trope résolvant une partie du problème à l'aide de dessins. On trouve ainsi des jouets optiques tels que les thaumatrope, zootrope, phénakistiscope, viviscope, choreutoscope, praxinoscope, etc. Un autre fut nommé en 1868 « kineograph » par son inventeur, l'imprimeur anglais John Barnes Linnett 1 . Le su xe graph était-il annonciateur d'un objet plus singulier 2 ? Le dispositif a été quali é de « new optical illusion » (Linnett), « optical toy » (par l'Américain Henry Van Hoevenbergh, 1882) ou « the living picture book » (par l'Anglais Arthur Andrew Melville, 1886). Illusion optique, jouet, livre : l'objet était dé ni, mais nulle référence encore à la photographie, le procédé n'utilisant que des dessins. En 1896 le Français Charles Auguste Watilliaux nomma « folioscope » son « nouveau jeu d'optique », le réduisant, en quelque sorte, au plus petit commun multiple : la feuille,
Recherches en Communication
Deux écueils menacent les réflexions sur l°image. Le premier est derrière nous, mais la première sémiologie du cinéma vint s'y échouer : il fut de croire à une autonomie de l°objet, ài la possibilité d'étudier celui-ci en dehors du champ de la communication et indépendamment de ses usages. La fin de la discipline (à la fois son but et sa mort) aurait été de parvenir au paysage complet de tous les codes requis pour faire un document audiovisuel, quels que fussent sa nature, son lieu de projection et l'attention spectatorielle. Dans cette perspective, la télévision n"était .guère différente du film : "Film et télévision, en fait, ne sont rien d'autre que deux langages voisins qui sont plus près que n°importe quel autre langage"2. Second écueil, que ne redoutent pas tous les navigateurs de la pensée, celui de réduire la diversité du visuel en fonction d'une axiologie (il y a l"image et le visuel, précisément) et de prétendre faire une théorie unifiante, dont l"universalité tiendrait à sa capacité de cerner l"essence de l'Image. Cette tentation de l"ontologie trouve ses racines dans la philosophie grecque et réactive, finalement, la question bazinienne du qu'est-ce que ?
Théologiques, 2012
La dimension de l'image et la réflexion portée sur elle constituent une possibilité d'accès conjoint et de liaison entre les différents domaines des pensées et des itinéraires parcourus par Maître Eckhart, d'une part, et Nishida Kitarō, d'autre part. Avec le mot image, on veut faire référence ici au fait qu'on exprime nécessairement « en figure » ce que la recherche philosophique et même la recherche théologique s'efforcent de viser : la Vérité, l'Absolu, Dieu ou, en tout cas, l'Abîme indicible qui est fond de l'être des choses visibles et invisibles. Puisque le langage reste un moyen de viser l'absolu, mais qu'il lui fait écran à la fois, il faut un emploi des mots et du langage dans son ensemble qui soit en mesure d'équilibrer ce rapport difficile entre ce qui peut être nommé et ce qui reste innommable, entre visible et invisible. De façons différentes, Eckhart et Nishida abordent le thème de l'imageimage qui concerne le domaine du visible et à la fois image en tant que dimension rhétorique, c'est-à-dire la * Marcello Ghilardi est chercheur au Département FISPPA -Philosophie, Sociologie, Pédagogie et Psychologie de l'Université de Padoue (Italie). Ses champs de recherche sont la philosophie interculturelle, l'esthétique, la philosophie japonaise et chinoise contemporaine, le dialogue entre bouddhisme et christianisme. Il fait partie de la commission éditoriale de la revue « The Journal of Japanese Philosophy » et dirige actuellement l'Institut Confucius de Padoue. Il a récemment publié, avec Enrico Fongaro (2012) Il visibile differente. Sguardo e relazione in Derrida (Mimesis, Milan), et vient d'éditer un ouvrage de Nishida en italien (2012) Luogo (Basho), (Milan).
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