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Deux calendriers rituels cohabitent dans l'année iranienne, soleil et lune.
La bibliotheque de Qumran, volume 3A, 2013
Lune Bleue, 2014
Article de Sopdetmouti (alias Besa Akantheia, nom de plume en 2014) consacré au calendrier égyptien à notre époque, son fonctionnement aux temps des pharaons et les difficultés rencontrées pour le transposer aujourd'hui dans une pratique netjeriste.
2016
Texte manuscrit français de : « Die Kalender der Araber vor dem Islam », dans Nora Schmidt, Nora Katharina Schmid & Angelika Neuwirth (édd.), Denkraum Spätantike. Reflexionen von Antiken im Umfeld des Koran, Wiesbaden (Harrassowitz), 2016, pp. 299-386.
L'actualité de Victor Segalen quand il parle de l'islam en Indonésie.
Ousmane O. Kane (ed. trans.) Erudition islamique en Afrique. Nouvelles Pistes de recherche et contexte mondial (Dakar: CERDIS), 2021
Peu de temps avant 1730, un lettré quitte son Katsina natal situé au Nord du Nigéria actuel pour accomplir le pèlerinage et satisfaire l'injonction éthique de recherche de la connaissance. Il séjourne aux Lieux saints, puis en Egypte où il enseigne en tant qu'invité du cheikh d'une résidence d'étudiants d'Afrique orientale dans la prestigieuse mosquée/séminaire d'al-Azhar. Il meurt dans la maison de ce cheikh en 1741. Le fils de ce cheikh, 'Abd al-Raḥmān al-Jabartī écrira par la suite une des oeuvres les plus célèbres de l'histoire de l'Egypte Ottomane où le nom de l'invité de son père Muḥammad b. Muḥammad al-Kashnāwī al-Sudānī al-Danrankāwī al-Mālikī al-Ashʿarī-« l'imām inégalé », « le vaste océan de savoir (…) et trésor de grâces mystiques » a été immortalisé pour l'éternité. 1 En dépit de ces propos élogieux, al-Kashnāwī n'a reçu que peu, voire point d'attention critique auprès des chercheurs. Ce chapitre s'efforce de combler cette lacune. Il suit deux fils d'analyse distincts mais liés. D'une part, il situe al-Kashnāwī dans le cadre historique et conceptuel plus large du champ de recherche « islam en Afrique » où une logique binaire tend à opposer l'arabe à l'africain et la science occulte aux autres formes de savoir. Ces dualités ont largement défini la manière dont l'auteur et son oeuvre ont été compris. Le chapitre passe ensuite à une lecture attentive du principal ouvrage d'al-Kashnāwī sur les « sciences secrètes», al-Durr al-manẓūm wa khulāṣat al-sirr al-maktūm fī 'ilm al-ṭalāsim wa-'l-nujūm. Lu en juxtaposition aux propres mots d'al-Kashnāwī, les cadres analytiques de l'historiographie montrent leurs limites rapidement, révélant ainsi une toute autre configuration épistémique où les catégories raciales modernes sont inopérantes, où la connaissance était comprise comme un tout organique indivisible et où, de manière cruciale, les disciplines de la connaissance étaient intimement liées aux disciplines du soi et à la vie quotidienne de leurs praticiens.
se reportera éventuellement au n°19 des Cahiers du judaïsme, « An-Sky, un homme être les mondes ». Dans ce fragment autobiographique 1 , Sh. An-Sky évoque un épisode de jeunesse, lorsqu'il était tuteur à Liozne (Liozno) en Biélorussie, le lieu de naissance, entre autres, du fondateur de la dynastie des Loubavitch, Zalman Shneur de Lyady. Les incidents, tantôt dramatiques, tantôt drolatiques, que raconte An-Sky révèlent bien les conflits culturels, religieux, qui, à la fin du XIX e siècle, déchiraient les communautés juives d'Europe orientale, divisées entre, d'un côté, les rabbins, les traditionalistes et, de l'autre, la jeunesse révoltée acquise aux idées progressistes de la Haskala. La circulation sous le manteau et la lecture clandestine de romans, d'ouvrages profanes et de textes littéraires en hébreu rédigés par des auteurs qui oeuvraient à la renaissance de la langue hébraïque, à la création d'une littérature nouvelle et à la modernisation de la vie juive, témoignent de la lente mutation qui intervient à cette époque dans la société juive. La diffusion des livres interdits des Maskilim, qui étaient jugés par les courants orthodoxes comme autant d'ouvrages hérétiques et blasphématoires, joua un rôle moteur dans la transformation de la culture juive.
2016
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La Météorologie chez les Grecs était, en quelque sorte, un précurseur de l'astrologie, les Arabes ont peut-être suivi le même cheminement en développant leur propre météorologie qu'ils appelaient anwā'. Fahd (1966, p. 25) considère que « chez les Arabes […], le ʿilm al-anwā' qu'ils déclarent leur appartenir en propre, n'est au fond que la divination astrologique réduite à sa plus simple et plus rudimentaire expression ». Concernant ʿilm al-anwā' et son rapport avec l'astrologie, voir Fahd, 1966, p. 412 sqq. 3 Cf. Timée, 41d-42c 4 Aristote, Météorologiques, 339 a 20-24. 1 L'expression systématique de cette substitution se trouve bien évidemment chez Ptolémée, mais comme le fait remarquer Barton (1994, p. 104), il est difficile de savoir qui a adapté le premier les propositions astrologiques aux catégories aristotéliciennes ; cela a été fait, semble-t-il, très tôt avant même la contribution de Ptolémée. 2 Boll, F., 1894, p. 161. 3 Dans le Timée les astres sont « composés presque tout entiers de feu » 39d-40d. Les Stoïciens considèrent aussi que les astres sont d'une nature ignée.
Le jour lunaire 1 (psdntyw) est parfois daté dans le calendrier civil égyptien, ce qui permet une datation absolue si la marge d'erreur de la période datée est inférieure à 25 ans. Parker (en 1950) a supposé que le calendrier lunaire égyptien débutait à la 1ère invisibilité (jour avant le 1er croissant) mais cela fausse complètement les datations actuelles car le jour lunaire 1 coïncide en fait avec la pleine lune.
Pour dater les événements ou les documents, les anciens Sudarabiques ont utilisé successivement deux-systèmes. Le premier, le plus archaïque, donne à chaque année le nom d'un personnage éponyme. On dira: '''l 'annee n d'Un tel, du lignage Un tel". Ce système, en usage dans les royaumes en bordure du désert de,iayhad et à Smcy, révèle une conception cyclique du temps, cjaractéristique des sociétés primitives. En effet, le changement d'éponyme a certainement pour fonction de rétablir périodiquement une harmonie idéale 'ili a tendance à se dégrader au fil des jours. Le second système, qui n'appara!t qu'au troisième siècle de notre ère, se fonde au contraire sur une conception linéaire du temps: il désigne chaque année par un simple numéro d'ordre à partir d'une date de référence plus ou moins arbitraire. Le point de départ des ères en usage en Arabie du sud n'a pas été partout le meme: on connait déjà au moins trois ères différentes 1. Mais une seule de celles-ci est connue par de nombreux documents, celle de Himyar, dont le début se place en 115 avant notre ère.
A Rachida Benchemsi « Le soleil et la lune (évoluent) selon un calcul (minutieux) » (Coran, Ar-Rahman, 55 : 5) « C'est Lui (Dieu) qui a fait du Soleil une clarté et de la Lune une lumière ; il en a déterminé les phases afin que vous connaissiez le nombre des années et le calcul du temps » (Coran, Yunus, 10 : 5) « Le mois de Ramadan est celui au cours duquel le Coran a été révélé pour guider les hommes dans la bonne direction et leur permettre de distinguer la Vérité de l'erreur. Quiconque parmi vous aura pris connaissance de ce mois devra commencer le jeûne… » (Coran, al-Baqara, 2 : 185). « Ce sont des êtres humains (avec toutes leurs faiblesses) qui interprètent la charia. » (Ali ibn Abu Talib) « Les oulémas n'ont pas le monopole d'interprétation de la charia. Evidemment ils doivent être consultés au premier plan sur les questions de la charia. (Mais) ce ne sont pas eux qui font la loi religieuse, de même que ce ne sont pas les professeurs de droit qui font la loi, mais les parlements » (Ahmed Khamlichi, Point de vue n° 4) « Le calendrier est intolérable pour le sage, une horreur pour l'astronome et une farce pour le mathématicien ». (Roger Bacon, 1267)
i éditions, 2024
Grand classique concis et précis, cet ouvrage est une introduction à la finance et au secteur bancaire islamique. Il traite de manière didactique de leurs fondements spirituels et de leurs implications religieuses aussi bien que pratiques. Il en approfondit la dimension juridique, permettant au lecteur francophone pour la première fois d’accéder aux bases légales des opérations bancaires et financières islamiques d’aujourd’hui. Très actuel, l’auteur n’épargne pas non plus critiques et reproches quant aux dérives pratiques du secteur. Ce guide s’adresse aux lecteurs curieux tout comme aux étudiants et chercheurs ou encore aux professionnels du secteur bancaire et financier. Il ajoute aux règles théoriques des exemples concrets, rendant son contenu accessible à chacun. 208 pages Paris : i éditions ISBN : 978-2-37650-132-9
Revue de l'histoire des religions, 2016
Compte rendu de l'ouvrage "Le Coran Nouvelles approches" de Mehdi Azaize
Actes du 3e congrès international d' …, 2010
Titre de couverture : Actes du 3e congrès international d'études arabes chrétiennes, Louvain-la-neuve, septembre 1988.-Bibliogr. I. Astronomie médiévale. II. Astrologie arabe. III. Astronomie arabe.
This paper explores a marginal type of beliefs (e.g. not recognized by social institutions such as science and religion), namely beliefs about the potential effects of full moon on life events, and particularly on human behaviour. Interviews, word associations, a questionnaire and an experiment were conducted in the area of social representation of the full moon. The main phenomena observed were the presence of organizing principles in participants’ discourses (i.e. symbolic oppositions between science and folk beliefs, men and women, "fools" and "sane" people, "primitive" and "civilized" persons, etc.) and the expression of hypothesis confirmation.
Prologues, 1992
Nous assistons à une floraison de travaux anthropologiques sur le Maghreb. Mais on ne peut qu’être surpris par le peu d’écho que ces travaux reçurent, le mutisme dont ils furent recouverts, au Maghreb même. Lectures critiques de Abdellah Hammoudi : la Victime et ses masques, Paris, Seuil, 1988 ; Hassan Rachik : Sacré et sacrifice dans le Haut-Atlas marocain, Casablanca, Afrique-Orient, 1990.
Dominique de Courcelles (ed.). Parcourir le monde. Les voyages d’Orient, 2013
FRANCO SÁNCHEZ, Francisco. “Les deux chemins opposés de la cartographie arabo-islamique médiévale: la mappemonde «islamique» («L'école d’al-Balḫī», Xe siècle) ou le monde en sa diversité (al-Šarīf al Idrīsī, XIIe siècle)”. En: Parcourir le monde, les voyages d'Orient / études réunies par Dominique de Courcelles. Paris : École des Chartes, 2013, pp. 29-49; 191-199 | ISBN 978-2-35723-032-3 | Resumen: Las últimas aportaciones al conocimiento en el ámbito de la geografía árabe islámica medieval, presentadas bajo la óptica de una doble línea evolutiva: Por un lado se presentan los textos de geografía que suponen un desarrollo de la geografía griega y helenística, en especial desde las aportaciones de la geografía astronómica y cartografía propiciadas por Claudio Ptolomeo (s. II e.C.), desarrollados en la corte abbasí en los ss. VIII-X y cuyo cénit es el Mapamundi de al-Mamún. En parelelo, en el Iraq abbasí se gestó la que se ha dado en llamar por sus textos la “escuela de al-Baljî” y por su cartografía la “escuela del atlas del islam” en los ss. IX-X, estos textos y cartografía se desvelan como una clara manipulación tendente a la consecución de una “islamización de la geografía”. Como corolario, se presenta al gran al-Idrīsī (m. 1175 e.C.), ceutí que trabajó en la corte de Sicilia al servicio del rey normando Roger II como la última evolución de la geografía y cartografía científica de raíces helenísticas; esta grandeza fue marginada por los sabios musulmanes coetáneos por haber sido generada y puesta al servicio de un rey cristiano como Roger II. Es tan importante la obra que, tras el Corán, fue la segunda obra árabe que se tradujo en roma en el s. XVI. | Abstrct: The latest contributions to knowledge in the field of medieval Arab Islamic geography are presented from the perspective of a double evolutionary line: on the one hand, geography texts are presented which represent a development of Greek and Hellenistic geography, especially from the contributions of astronomical geography and cartography promoted by Claudius Ptolemy (2nd century BC), developed at the Abbasid court in the 8th-10th centuries and whose zenith is the Mapamundi of al-Mamun. At the same time, in Abbasid Iraq, what has come to be known as the "al-Baljî school" for its texts and the "Islamic Atlas school" for its cartography in the 9th-10th centuries, these texts and cartography reveal themselves to be a clear manipulation aimed at achieving an "Islamisation of geography". As a corollary, the great al-Idrīsī (d. 1175 CE), a Ceutan who worked at the court of Sicily in the service of the Norman king Roger II, is presented as the ultimate evolution of scientific geography and cartography with Hellenistic roots; this greatness was marginalised by contemporary Muslim scholars because it was generated and put at the service of a Christian king like Roger II. The work is so important that, after the Qur'an, it was the second Arabic work to be translated in Rome in the 16th century. | Link for downloading: http://hdl.handle.net/10045/31796 Link: http://www.enc.sorbonne.fr/content/parcourir-le-monde
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