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2002
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es prévisions occupent une place particulière dans le débat public en économie. Elles sont généralement considérées comme des prédictions, qualifiées fréquemment d'optimistes ou de pessimistes, comme si elles dépendaient de l'humeur des équipes qui les réalisent. Certes, en un sens, la prévision est un art tant elle dépend des signes précurseurs que nous livre le présent, de l'interprétation des évolutions en cours, de la capacité des économistes de sélectionner les informations pertinentes parmi celles, multiples, dont l'intérêt n'est qu'anecdotique. Il m'a donc semblé nécessaire que les prévisions réalisées par l'OFCE soient publiées en même temps qu'un débat autour de ces prévisions. Cela offre le double avantage de rendre explicite le doute inhérent à tout exercice de prévision pour les raisons déjà exposées, et de participer au pluralisme nécessaire à l'indépendance et au sérieux des études économiques. Une prévision, pour rigoureuse qu'elle soit, n'est pas un exercice mécanique au terme duquel la vérité serait révélée, mais une « histoire » raisonnée du futur délivrant des résultats incertains. Il est utile d'en comprendre d'emblée les limites, pour ne point s'en servir comme d'un argument d'autorité, à l'instar de ce qui est trop fréquemment le cas.
L es prévisions occupent une place particulière dans le débat public en économie. Elles sont généralement considérées comme des prédictions, qualifiées fréquemment d'optimistes ou de pessimistes, comme si elles dépendaient de l'humeur des équipes qui les réalisent. Certes, en un sens, la prévision est un art tant elle dépend des signes précurseurs que nous livre le présent, de l'interprétation des évolutions en cours, de la capacité des économistes de sélectionner les informations pertinentes parmi celles, multiples, dont l'intérêt n'est qu'anecdotique. Mais elle est surtout une science puisqu'elle consiste à déduire des informations dont on dispose sur le présent une vision de l'avenir. Elle ne peut être formulée en dehors d'un cadre général d'interprétation, c'est-à-dire d'une théorie qui met en relation les informations que l'on privilégie et les variables que l'on cherche à prévoir. Parmi ces informations, certaines, cruciales, ne sont pas vraiment disponibles car, pour l'essentiel, elles dépendent de décisions à venir et qu'il n'existe pas vraiment de théorie permettant de déduire des données existantes ce que seront ces décisions. Il faut donc formuler des hypothèses alternatives et retenir celles qui nous paraissent les plus vraisemblables. Dès lors, les erreurs de prévision peuvent avoir au moins trois origines : une insuffisance d'information sur le présent, une mauvaise spécification théorique, la non réalisation de certaines hypothèses. De surcroît, il existe une incertitude irréductible au sens ou certains événements sont imprévisibles, alors même que leur conséquence sur l'activité économique est déterminante. Voilà pourquoi les chiffres associés à une prévision sont éminemment fragiles, qu'ils doivent être considérés comme conditionnels aux hypothèses que l'on formule, aux données dont on dispose et au cadre théorique dans lequel on raisonne. Il m'a donc semblé nécessaire que les prévisions réalisées par l'OFCE soient publiées en même temps qu'un débat autour de ces prévisions. Cela offre le double avantage de rendre explicite le doute inhérent à tout exercice de prévision pour les raisons déjà exposées, et de participer au pluralisme nécessaire à l'indépendance et au sérieux des études économiques. Une prévision, pour rigoureuse qu'elle soit, n'est pas un exercice mécanique au terme duquel la vérité serait révélée, mais une « histoire » raisonnée du futur délivrant des résultats incertains. Il est utile d'en comprendre d'emblée les limites, pour ne point s'en servir comme d'un argument d'autorité, à l'instar de ce qui est trop fréquemment le cas.
2001
es prévisions occupent une place particulière dans le débat public en économie. Elles sont généralement considérées comme des prédictions, qualifiées fréquemment d'optimistes ou de pessimistes, comme si elles dépendaient de l'humeur des équipes qui les réalisent. Certes, en un sens, la prévision est un art tant elle dépend des signes précurseurs que nous livre le présent, de l'interprétation des évolutions en cours, de la capacité des économistes de sélectionner les informations pertinentes parmi celles, multiples, dont l'intérêt n'est qu'anecdotique. Mais elle est surtout une science puisqu'elle consiste à déduire des informations dont on dispose sur le présent une vision de l'avenir. Elle ne peut être formulée en dehors d'un cadre général d'interprétation, c'est-à-dire d'une théorie qui met en relation les informations que l'on privilégie et les variables que l'on cherche à prévoir. Parmi ces informations, certaines, cruciales, ne sont pas vraiment disponibles car, pour l'essentiel, elles dépendent de décisions à venir et qu'il n'existe pas vraiment de théorie permettant de déduire des données existantes ce que seront ces décisions. Il faut donc formuler des hypothèses alternatives et retenir celles qui nous paraissent les plus vraisemblables. Dès lors, les erreurs de prévision peuvent avoir au moins trois origines : une insuffisance d'information sur le présent, une mauvaise spécification théorique, la non réalisation de certaines hypothèses. De surcroît, il existe une incertitude irréductible au sens où certains événements sont imprévisibles, alors même que leur conséquence sur l'activité économique est déterminante. Voilà pourquoi les chiffres associés à une prévision sont éminemment fragiles, qu'ils doivent être considérés comme conditionnels aux hypothèses que l'on formule, aux données dont on dispose et au cadre théorique dans lequel on raisonne. Il m'a donc semblé nécessaire que les prévisions réalisées par l'OFCE soient publiées en même temps qu'un débat autour de ces prévisions. Cela offre le double avantage de rendre explicite le doute inhérent à tout exercice de prévision pour les raisons déjà exposées, et de participer au pluralisme nécessaire à l'indépendance et au sérieux des études économiques. Une prévision, pour rigoureuse qu'elle soit, n'est pas un exercice mécanique au terme duquel la vérité serait révélée, mais une « histoire » raisonnée du futur délivrant des résultats incertains. Il est utile d'en comprendre d'emblée les limites, pour ne point s'en servir comme d'un argument d'autorité, à l'instar de ce qui est trop fréquemment le cas. Participants au débat sur les perspectives à court terme du 2 avril 2001
Débat sur les perspectives Les prévisions occupent une place particulière dans le débat public en économie. Elles sont généralement considérées comme des prédictions, qualifiées fréquemment d'optimistes ou de pessimistes, comme si elles dépendaient de l'humeur des équipes qui les réalisent. Certes, en un sens, la prévision est un art tant elle dépend des signes précurseurs que nous livre le présent, de l'interprétation des évolutions en cours, de la capacité des économistes de sélectionner les informations pertinentes parmi celles, multiples, dont l'intérêt n'est qu'anecdotique. Mais elle est surtout une science puisqu'elle consiste à déduire des informations dont on dispose sur le présent une vision de l'avenir. Elle ne peut être formulée en dehors d'un cadre général d'interprétation, c'est-à-dire d'une théorie qui met en relation les informations que l'on privilégie et les variables que l'on cherche à prévoir. Parmi ces informations, certaines, cruciales, ne sont pas vraiment disponibles car, pour l'essentiel, elles dépendent de décisions à venir et qu'il n'existe pas vraiment de théorie permettant de déduire des données existantes ce que seront ces décisions. Il faut donc formuler des hypothèses alternatives et retenir celles qui nous paraissent les plus vraisemblables. Dès lors, les erreurs de prévision peuvent avoir au moins trois origines: une insuffisance d'information sur le présent, une mauvaise spécification théorique, la non réalisation de certaines hypothèses. De surcroît, il existe une incertitude irréductible au sens ou certains événements sont imprévisibles, alors même que leur conséquence sur l'activité économique est déterminante. Voilà pourquoi les chiffres associés à une prévision sont éminemment fragiles, qu'ils doivent être considérés comme conditionnels aux hypothèses que l'on formule, aux données dont on dispose et au cadre théorique dans lequel on raisonne. Il m'a donc semblé nécessaire que les prévisions réalisées par l'OFCE soient publiées en même temps qu'un débat autour de ces prévisions. Cela offre le double avantage de rendre explicite le doute inhérent à tout exercice de prévision pour les raisons déjà exposées, et de participer au pluralisme nécessaire à l'indépendance et au sérieux des études économiques. Une prévision, pour rigoureuse qu'elle soit, n'est pas un exercice mécanique au terme duquel la vérité serait révélée, mais une «histoire» raisonnée du futur délivrant des résultats incertains. Il est utile d'en comprendre d'emblée les limites, pour ne point s'en servir comme d'un argument d'autorité, à l'instar de ce qui est trop fréquemment le cas.
Revue de l'OFCE, 2008
L es prévisions occupent une place particulière dans le débat public en économie. Elles sont généralement considérées comme des prédictions, qualifiées fréquemment d'optimistes ou de pessimistes, comme si elles dépendaient de l'humeur des équipes qui les réalisent. Certes, en un sens, la prévision est un art tant elle dépend des signes précurseurs que nous livre le présent, de l'interprétation des évolutions en cours, de la capacité des économistes de sélectionner les informations pertinentes parmi celles, multiples, dont l'intérêt n'est qu'anecdotique. Mais elle est surtout une science puisqu'elle consiste à déduire des informations dont on dispose sur le présent une vision de l'avenir. Elle ne peut être formulée en dehors d'un cadre général d'interprétation, c'est-à-dire d'une théorie qui met en relation les informations que l'on privilégie et les variables que l'on cherche à prévoir. Parmi ces informations, certaines, cruciales, ne sont pas vraiment disponibles car, pour l'essentiel, elles dépendent de décisions à venir et qu'il n'existe pas vraiment de théorie permettant de déduire des données existantes ce que seront ces décisions. Il faut donc formuler des hypothèses alternatives et retenir celles qui nous paraissent les plus vraisemblables. Dès lors, les erreurs de prévision peuvent avoir au moins trois origines : une insuffisance d'information sur le présent, une mauvaise spécification théorique, la non réalisation de certaines hypothèses. De surcroît, il existe une incertitude irréductible au sens ou certains événements sont imprévisibles, alors même que leur conséquence sur l'activité économique est déterminante. Voilà pourquoi les chiffres associés à une prévision sont éminemment fragiles, qu'ils doivent être considérés comme conditionnels aux hypothèses que l'on formule, aux données dont on dispose et au cadre théorique dans lequel on raisonne. Il m'a donc semblé nécessaire que les prévisions réalisées par l'OFCE soient publiées en même temps qu'un débat autour de ces prévisions. Cela offre le double avantage de rendre explicite le doute inhérent à tout exercice de prévision pour les raisons déjà exposées, et de participer au pluralisme nécessaire à l'indépendance et au sérieux des études économiques. Une prévision, pour rigoureuse qu'elle soit, n'est pas un exercice mécanique au terme duquel la vérité serait révélée, mais une « histoire » raisonnée du futur délivrant des résultats incertains. Il est utile d'en comprendre d'emblée les limites, pour ne point s'en servir comme d'un argument d'autorité, à l'instar de ce qui est trop fréquemment le cas.
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2018
Xavier Ragot : Nous avons l'habitude de commencer le débat par une discussion sur la conjoncture au niveau mondial, avec quelques questions précises : Quel est l'impact de la politique budgétaire aux États-Unis ? Y-at -il un risque de krach boursier aux États-Unis ? Quelles peuvent être les conséquences de la guerre commerciale ? et enfin les tensions financières dans les pays émergents augurent-elles une nouvelle crise ?
2003
A plusieurs egards, les legislatives de novembre 2002, qui ont mene a l'arrivee au pouvoir de l'AKP, ont constitue un "passage a la limite" ou un depassement du systeme. A partir de l'analyse de ce scrutin, ce dossier se donne deux objectifs. D'une part, au-dela des resultats, nous chercherons a rendre compte des pratiques politiques, de la maniere dont se joue la competition electorale, et du systeme electoral en Turquie. D'autre part, nous reviendrons plus en detail sur la signification de ces elections dans le contexte general de la Turquie contemporaine. Dans quelle mesure ces hypotheses sur la recomposition de la vie politique turque sont-elles justifiees ? Ce dossier a ete redige principalement a partir des resultats par departement, ainsi que de revues de presse de differents journaux de Turquie.
Cette publication n'a pas de r�sum�
Revue de l'OFCE, 2001
L es prévisions occupent une place particulière dans le débat public en économie. Elles sont généralement considérées comme des prédictions, qualifiées fréquemment d'optimistes ou de pessimistes, comme si elles dépendaient de l'humeur des équipes qui les réalisent. Certes, en un sens, la prévision est un art tant elle dépend des signes précurseurs que nous livre le présent, de l'interprétation des évolutions en cours, de la capacité des économistes de sélectionner les informations pertinentes parmi celles, multiples, dont l'intérêt n'est qu'anecdotique. Mais elle est surtout une science puisqu'elle consiste à déduire des informations dont on dispose sur le présent une vision de l'avenir. Elle ne peut être formulée en dehors d'un cadre général d'interprétation, c'est-à-dire d'une théorie qui met en relation les informations que l'on privilégie et les variables que l'on cherche à prévoir. Parmi ces informations, certaines, cruciales, ne sont pas vraiment disponibles car, pour l'essentiel, elles dépendent de décisions à venir et qu'il n'existe pas vraiment de théorie permettant de déduire des données existantes ce que seront ces décisions. Il faut donc formuler des hypothèses alternatives et retenir celles qui nous paraissent les plus vraisemblables. Dès lors, les erreurs de prévision peuvent avoir au moins trois origines : une insuffisance d'information sur le présent, une mauvaise spécification théorique, la non réalisation de certaines hypothèses. De surcroît, il existe une incertitude irréductible au sens où certains événements sont imprévisibles, alors même que leur conséquence sur l'activité économique est déterminante. Voilà pourquoi les chiffres associés à une prévision sont éminemment fragiles, qu'ils doivent être considérés comme conditionnels aux hypothèses que l'on formule, aux données dont on dispose et au cadre théorique dans lequel on raisonne. Il m'a donc semblé nécessaire que les prévisions réalisées par l'OFCE soient publiées en même temps qu'un débat autour de ces prévisions. Cela offre le double avantage de rendre explicite le doute inhérent à tout exercice de prévision pour les raisons déjà exposées, et de participer au pluralisme nécessaire à l'indépendance et au sérieux des études économiques. Une prévision, pour rigoureuse qu'elle soit, n'est pas un exercice mécanique au terme duquel la vérité serait révélée, mais une « histoire » raisonnée du futur délivrant des résultats incertains. Il est utile d'en comprendre d'emblée les limites, pour ne point s'en servir comme d'un argument d'autorité, à l'instar de ce qui est trop fréquemment le cas.
1991
Situation et perspectives de ¡'économie mondiale Résumé de I'intervention de Jacques ADDA Les chocs politiques á répercussions économiques ont été nombreux depuis le debut de l'année derniére; Ies plus importants pour la conjoncture des pays de l'OCDE ont été la réunification de TAllemagne et la crise, puis la guerre du Golfe. II en est résulté des déviations plus ou moins ampies des conjonctures relativement á leurs trajectoires antéñeures. Le premier de ees événements a empéché l'Allemagne de l'Ouest d'enregistrer en 1990 un ralentissement conjoncturel et amorti celui de bon nombre de pays européens. La seconde série d'événements a au contraire précipité et tempor-airement amplifíé le mouvement de repli des activités économiques dans la quasi totalité des pays industrialisés. II faut ajouter á cela que fin 1989 les politiques monétaires des grands pays s'étaient reláchées pendant quelques semaines en réaction au mini-krach d'octobre ; trois trimestres plus tard, comme cela avait été le cas (mais de maniere alors plus massive) aprés le relachement consécutif au krach boursier d'octobre 1987, il s'en est suivi un rebond de la croissance. Enfin, les anticipations se sont manifestées de fagon spectaculaire, de sorte que les effets ont parfois précédé les causes. La hausse des taux d'intérét allemands a nettement anticipé le coüt de la réunification. Celle du prix du pétrole entre aoüt et novembre 1990 a été largement motivée par l'anticipation de destructions de capacités en cas de guerre, qui finalement n'ont pas eu lieu. Tout récemment, la remontée du dollar procede vraissemblablement de l'anticipation d'un redressement de la balance courante américaine dans les prochains mois. Ces perturbations ont donné depuis l'été 1990 aux évolutions de court terme un caractére tres heurté qui risque de conduire á des interprétations erronées du passé et, panant, á des prévisions fausses et trop souvent révisées. Ainsi, á lire la chute des productions du second semeste 1990 comme la conséquence de la seule crise du Golfe, on risquerait de conclure que, la guerre étant finie, le redémarrage est partout imminent. Cela ne nous semble pas exact. Les économies occidentales étaient engagées au début de 1990 dans des phases de décélération de la croissance motivées par le cheminement cyclique traditionnel propre á chacune. Les pays anglo-saxons étaient au seuil de la récession, les pays européens au bord de ralentissements marqués. Ces cheminements dessinent des sentiers autour desquels l'activité s'est déroulée par á-coups. L'excés de croissance dü au relachement monétaire á pris fin á l'été 1990 ; l'insuffisance de croissance düe á l'attentisme lié au Golfe a pris fin en mars 1991; la croissance additionnelle düe á la réunification allemande touchera á sa fin au cours des prochains mois. Une reprise technique pourrait désormais étre observée dans de nombreux pays, le cheminement sous-jacent étant retrouvé au troisiéme trimestre 1991 (sous réserve que n'interviennent pas de nouveaux chocs). Le retour á la nórmale du prix du pétrole favorisera ces processus. Les économies anglo-saxonnes renoueraient alors avec une croissance lente, le Japón et les économies européennes autres que l'Allemagne avec une reprise plus vive. L'Allemagne atteindrait un point bas conjoncturel fin 1991 et se redresserait notablement début 1992. Ces différentes évolutions dans la sphere réelle de l'économie se dérouleront sur fond d'inflation partout bien maítrisée et de ééquilibrage des balances courantes, tout paniculiérement entre les trois grands pays dustrialisés. En conséquence, les politiques monétaires pourront se détendre et autorisei le légére baisse des taux d'intérét durant les derniers mois de 1991, puis Itur stabilité en ^2.
Ce texte fait ressortir les variables macroéconomiques fondamentales affectant le taux de change canadien. Tout au long de ce travail, nous examinons les déterminants du taux de changeà court et long termes et vérifier si la théorie monétaire du taux de change est validée dans le cas canado-américain, en utilisant comme démarche principale celle utilisée par l'étude de Chinn . On propose par la suite une extensionà ce modèle, tout en essayant de définir un cadre d'analyse qui ne repose pas directement sur la parité des pouvoirs d'achat mais plutôt sur les notions d'équilibre sur les marchés monétaires et financiers. Les résultats obtenus montrent que le modèle monétaire estimé arriveà reproduire la dynamique générale du taux de change et même a surpasser le modèle naif dans un cadre prévisionnel. Abstract This paper emphasizes on the fundamental macroeconomic variables affecting the Canadian exchange rate. Throughout this work, we use the classical monetary theory and try to validate it in the case of the bilateral exchange rate between Canada and USA. Using an extended version of the model of Chinn (2000) and the equilibrium of both the monetary and financial markets we determine the macroeconomic variables to introduce in such a model. Our results show that the estimated monetary model manages to reproduce general dynamics of the exchange rate and even has to exceed the moving average model within the forecast framework.
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Overview of psychiatry by other health professionals: case of CHU Point G and Gabriel Touré in Bamako, Mali, 2023
Les révolutions du XXIe siècle, (eds) Y. -C. Zarka, C. Gaudin et S. Taussig, 2018
Le Soir d'Algérie, 2022