Système du mod

Elle s'attache à la construction de programmes informatiques ,capables d'exécuter des taches complexes, en S'appuyant sur une centralisation et une concentration de l'intelligence au sein d'un système unique ,mais l'IA a vite rencontre un certain nombre de difficultés, dues pour la plupart à la nécessité d'intégrer au sein d'une même base de connaissance l'expertise, les compétences et les connaissances d'individus différents qui dans la réalité communiquant et collaborent à La réalisation d'un but commun.

Anthropen, 2020

Telle qu'utilisée en anthropologie, la notion de système s’émancipe de la vision critique d’inspiration marxiste pour mettre l'accent sur les processus de l'organisation systémique. Dans ce cadre, un système est un gabarit de modélisation, un modèle abstrait et générique de représentation des objets complexes et adaptatifs.

2013

Une version de ce texte a été présentée dans la section thématique 28 du congrès de l'Association française de science politique, à Grenoble en septembre 2010 (séance organisée par Vivien Schmidt et Philippe Zittoun).

i'dont know

Remarque : le Lexis indique à l'entrée « dé » : Nom masculin ( peut-être *datum, pion de jeu, participe passé de dare, donner; 1190 ). Nous nous faisons tous une idée de l'importance scientifique et du respect subséquent que nous accordons aux données, les data en anglais.

Etudes, 2018

man (MbS), fils du roi Salman d'Arabie saoudite, signifie un « changement de paradigme » dans la politique de ce pays. La première phase a consisté à éliminer toute opposition. S'ensuivent des mesures visant à moderniser le pays, y compris dans le domaine religieux. L'objectif est de libérer l'économie et d'attirer les investissements étrangers, au moment où la manne pétrolière diminue. Toutefois, l'autoritarisme du prince risque à terme de susciter de nouvelles difficultés.

Politique africaine, 2009

Quand le réel se marie à l'irréel, comme dans le tableau éponyme du peintre kinois Shula 1 , ou quand le réel est si caricatural qu'il se rend indiscernable des clichés, c'est-à-dire des images photographiques négatives, quand les discours et les pratiques des agents imposent des représentations paradoxales, «associant tour à tour une vision du primitif moderne et archaïque, salvateur et mortifère, universel et relativiste, communautaire et individualiste, intérieur et extérieur » 2 , quand l'ambivalence et l'ambiguïté instruisent l'expérience des pouvoirs qui gouvernent la réalité, alors le sociologue-anthropologue indigène, submergé par une telle situation, peut tenter un mode d'objectivation qui emprunte les voies de l'imaginaire et de la mise en abyme. Un tel mode d'objectivation permet d'activer un double processus de distanciation ou de rupture:le chercheur passe, tour à tour ou simultanément, de la posture de sociologue à celle d'écrivain et à celle des personnages créés par ce dernier. Ces points de vue, qui sont autant de mises en perspective, tiennent ici leur caractère heuristique du fait qu'ils focalisent l'analyse «sur l'expérience sociale des outrages, du contrôle, de la soumission, de l'humiliation, de la déférence contrainte et de la punition 3 ». Il s'agit ainsi de faire accéder à la visibilité une expérience sociale travaillée par les ferments «de la colère, de l'indignation, de la frustration et de la bile ravalée qui, toutes, nourrissent le texte caché » de ce que James C. Scott appelle l'« infrapolitique des groupes subalternes 4 ». Par ce mode inédit d'exposition de l'expérience du pouvoir en régime dystopique, le sociologue-anthropologue indigène se veut ainsi solidaire des dominés, en empruntant leurs mots pour en faire un usage différent de celui qu'on trouve coutumièrement dans l'exposition scientifique de la réalité en sociologie et en anthropologie. La dimension négative du pouvoir a été explicitement mise en exergue au Gabon par les candidats chrétiens à l'élection présidentielle du 30 août 2009 lorsqu'ils ont dénoncé «le culte de Satan », les «membres du clan des diaboliques, propriétaires de 80 % des richesses nationales », «l'envoûtement des Gabonais 5 » et «l'inversion des valeurs depuis 1974 6 ». De manière générale, la condamnation par ces candidats d'un régime responsable, selon eux, de la banalisation de l'homosexualité, de l'inceste et du pouvoir de l'argent relève du même registre:il s'agit de dénoncer la domination de la Bête, c'est-à-dire du Diable, métaphore de l'argent ou de l'or. Le pouvoir de souveraineté moderne est donc ce pouvoir où «la maudite soif de l'or » infiltre les relations sociales, commande l'amour et la haine, «rend maboul 7 » et traduit le joug de la Bête 8 . Sans s'y réduire, le rapport social constitutif de ce pouvoir, que nous avons conceptualisé avec la notion de «Souverain moderne » (ou pouvoir de souveraineté moderne) 9 , a pour composante fondamentale ce que le «texte caché » à Libreville appelle le «Système des 5 S»(le 5 pouvant se transformer en S…) que sont les Sectes, le Sang, le Sexe, les Sous et le Succès. Selon nous, le «texte caché » exprime à travers ce concept populaire l'expérience de la violence du fétichisme conjugué des 5 S dans la société gabonaise actuelle et dans l'exercice du pouvoir politique. C'est à trois de ces 5 S que sont consacrés les fragments fictionnels présentés ici 10 . Le récit se situe dans un pays frontalier du Congo, du Gabon, du Cameroun,

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système binaire