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A travers cet écrit, nous certifions être les auteurs de ce travail de diplôme « Semaine défi : loisirs sans écran ? Regards croisés sur un projet de prévention dans des classes primaires fribourgeoises ». De plus, nous affirmons ne pas avoir eu recours au plagiat ainsi qu'à d'éventuelles aides extérieures non-autorisées. Nous attestons également avoir respecté le code d'éthique et déontologique de la Haute Ecole pédagogique Fribourg (HEP FR).
Depuis plusieurs années maintenant, nous savons que nous sommes sortis de la crise. En effet, sans que l'on en ait véritablement pris conscience, la crise est désormais derrière nous : le capitalisme n'est plus en chute libre, ni menacé, au contraire il est florissant et redevient tout puissant. Nous sommes entrés de plain-pied dans une nouvelle forme de capitalisme que les sciences sociales parviennent de mieux en mieux à cerner et à décrire. Signe parmi bien d'autres du changement, nous parvenons à le nommer, et si les études et les analyses foisonnent et interrogent chacune des aspects particuliers du nouveau capitalisme, des traits communs ressortent faisant de la flexibilité, des réseaux, du juste à temps et de l'innovation quelques uns de ses principaux traits. Ce que l'on appellera par convention, et commodité, le « post-taylorisme » se caractérise par une volonté de rupture, souvent radicale, avec le modèle précédent : le capitalisme issu de la révolution industrielle et surtout sa forme ultime, le capitalisme de l'Etat providence. Le « post-taylorisme » n'est pas le prolongement et la sophistication du modèle précédent, au contraire il se construit d'abord et avant tout par la disqualification de ce qui existait. Si le nouveau capitalisme tente d'ériger de nouvelles valeurs, elles s'imposent en procédant à un dénigrement systématique des valeurs attachées à « l'ancien système » devenues une gêne et une entrave au développement de la compétition économique. Face à ce changement, la sociologie a, schématiquement, procédé par étapes. C'est tout d'abord l'effondrement des pans entiers de l'ancien modèle qui retient l'attention, d'où le thème dominant de la crise durant ces vingt dernières années. La sociologie étudie les causes et les effets immédiats de la crise, comme la pauvreté, l'exclusion, ou le chômage, mais aussi les conséquences indirectes et plus lointaines mais néanmoins concomitantes comme la montée du racisme, les multiples formes de la délinquance et de la violence… Sans préjuger d'une quelconque unité intellectuelle, théorique ou méthodologique, l'ensemble de la
ET QUESTION DE RECHERCHE 87 7.1 RÉPONSE À LA QUESTION DE RECHERCHE 92 7.2 EVALUATION DES OBJECTIFS POSÉS EN DÉBUT DE RECHERCHE 93 7.2.1 OBJECTIFS THÉORIQUES 93 7.2.2 OBJECTIFS DE TERRAIN 94 8. PERSPECTIVES ET PLACE DU TRAVAILLEUR SOCIAL 95 9. AUTOCRITIQUE DU TRAVAIL 97 9.1 AUTOCRITIQUE PERSONNELLE 97 9.2 CRITIQUE MÉTHODOLOGIQUE 98 10. CONCLUSION 99 2.6.3 Les causes Les causes à l'origine du handicap mental sont elles aussi très variées : « A la conception : maladies génétiques (comme le syndrome de Down), aberrations chromosomiques, incompatibilité sanguine, etc. Pendant la grossesse : radiation ionisante, virus, médicaments, parasites, alcool, tabac, etc. A la naissance : souffrance cérébrale du nouveau né, prématurité, manque d'oxygène, etc. Après la naissance : maladies infectieuses, virales ou métaboliques, intoxications, traumatisme crâniens, accidents du travail ou de la route, noyades, asphyxies, etc. » 7 .
Quelque chose que vous avez définitivement égaré. Quelque chose que vous n'avez pas sous la main. Quelque chose qui est hors d'usage. Quelqu'un, un proche, que la vie a emporté ou éloigné de vous et à qui vous ne pouvez ni vous confier ni demander conseil au besoin. Quelque chose que ce soit, mais quelque chose en tant qu'elle fait défaut. En sorte que l'on pourrait très bien dédramatiser ces situations caractérisées et vous objecter : « Et bien tu n'as qu'à faire sans ! ».
Contemporary French Civilization, 1991
Le Grand Louvre, l'Arche de la Défense, l'Opéra-Bastille, le Musée d'Orsay, le Musée des Sciences et Techniques et le Parc de la Villette, le Ministère des Finances, le Conservatoire national de Musique, la Bibliothèque de France,. . .: prestigieuse paraît la liste des Grands Projets de l'Etat, devenus, sous le second septennat de François Mitterrand, les Grands Travaux, du nom du département ministériel, dépendant de la Culture, qui est chargé de leur réalisation. Ils ne constituent pourtant qu'une part infime de tout ce qu'on a construit en France depuis dix ans-logements individuels et collectifs, immeubles de bureaux, usines et sièges sociaux de sociétés, hôpitaux, édifices publics commandés par différentes administrations et par les collectivités territoriales, villes, départements ou régions. De plus, rien ne prouve a priori que cette part, quantitativement réduite, soit sur le plan architectural la meilleure, la plus novatrice ou la plus féconde. Sans doute en at on plus parlé, hors des revues professionnelles pour architectes, que de tout le reste réuni, au point que la renommée des Grands Travaux s'est largement répandue par delà les frontières. La presse étrangère, toutefois, s'y est moins attardée pour leur intérêt propre qu'elle ne s'est faite l'écho du bruit, véritable phénomène de société, qu'ils provoquèrent en France, et ce bruit, en France même, tenait moins aux mérites architecturaux des projets ou à l'importance des besoins auxquels devaient répondre les programmes qu'au fait qu'il s'agissait d'une affaire d'Etat, dont le président de la République avait l'initiative et la conduite. Aussi bien les Grands Travaux, sont-ils situés à la croisée de plusieurs histoires, celle de l'architecture moderne en France et dans le monde, celle des Musées nationaux et autres équipements culturels de la capitale, mais aussi celle d'un régime politique et du fonctionnement des institutions, celle d'un homme, celle, enfin, d'une mentalité forgée par une longue tradition d'étatisme centralisateur. C'est pourquoi ils étaient impensables dans d'autres pays-dans les autres grandes
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Relations industrielles, 2004
Journal des anthropologues, 2008
École de non-travail. Notes pour un glossaire, 2021
COURS DE RESEAUX SANS FILS, 2024
Revue française de pédagogie, 1999