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2011
Chez D. H. Lawrence, le non-humain correspond a la fois a une forme de vitalite primordiale et aux creatures vegetales et animales que cette vitalite anime bien davantage que les hommes, etouffes par une civilisation moderne qui les rend inertes. Le non-humain apparait comme le depositaire d‘une presence pure, existant avant ou hors de la culture. Lawrence est donc confronte a la difficulte de representer cette presence pure par un moyen intrinsequement « humain », le langage poetique. Il ne se pose alors pas simplement en anti-humaniste : son ecriture poetique du non-humain procede d‘un conflit permanent entre la volonte de se liberer du carcan humain et la necessite de demeurer dans la sphere humaine, voire de reinstaurer la limite entre humain et non-humain. Ce conflit s‘exprime deja dans le non-humain comme simple matiere vivante, sous la forme d‘une tension entre une conception de la matiere comme pure presence exterieure a tout discours humain et une vision de la matiere comme...
Sens public, 2009
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Canadian Review of Comparative Literature/Revue Canadienne de Littérature Comparée, 2015
Il pourrait sembler une gageure de rapprocher Mémoires de porc-épic (2006) de l'auteur congolais Alain Mabanckou et Les Racines du mal (1995) de l'écrivain franco-cana-dien Maurice G. Dantec. Les arguments respectifs de ces deux romans paraissent en effet a priori très éloignés—d'une part, les confessions d'un porc-épic et, de l'autre, une enquête policière menée à l'aide d'une technologie de pointe. Il existe cependant entre eux une caractéristique commune, qui consiste dans leur position margi-nale au regard du roman de la tradition occidentale. 1 Dans le cas de Mabanckou, cette marginalité est davantage géographique, puisque cet auteur se voit relié à une région dite périphérique au regard du centre européen et, plus particulièrement, du centre parisien où il est édité. Pour sa part, Dantec joue davantage d'une marginalité générique, puisqu'il s'illustre dans des genres—le policier et la science-fiction—qui continuent à ne pas jouir d'une reconnaissance équivalente aux formes canoniques de la littérature parfois appelée générale. En outre, en une sorte de reflet de leur mar-ginalité, les oeuvres de Dantec et de Mabanckou ont jusqu'à présent fait l'objet d'assez peu de commentaires critiques qui s'attachent à mettre en évidence la contribution de ces deux écrivains à une pensée du roman à l'époque contemporaine. 2 En un jeu de renversement, la marginalité prêtée à ces deux auteurs peut cependant se voir instituée comme la promesse même d'un renouvellement théorique, qui justi-fie de facto leur rapprochement. Autrement dit, Dantec et Mabanckou sont ici tenus pour deux figures paradigmatiques qui indiquent comment la pratique du décentre-ment—qu'elle soit géographique ou générique—permet une relecture de la création romanesque contemporaine et de ses enjeux, aussi bien dans le contexte francophone qu'international. Un tel rapprochement se trouve d'autant plus justifié qu'il permet justement d'inscrire cette relecture du roman contemporain sous le signe explicite de la figuration anthropologique qu'il porte. De cette façon, parce qu'elles disposent un
Poetry, Bible and Theology from Late Antiquity to the Middle Ages
Le statutd el ap oésie biblique ¹ 1E xclusion de la poésied us ystèmec ulturel du Moyen Âge Je vais partir d'une image(Fig. 1) dont je me sers souvent pour exemplifier l'attitude de la culturem édiévale chrétienne envers le statut de la poésie :l am iniature qui adorne la feuille 32rd uc élèbrem anuscrit perdud el ' Hortus deliciarum² d'Herrade, abbesse de Hohenbourga uX II e siècle, qui se trouvait justement iciàStrasbourg. On yillustreles relations entre les arts et les disciplines dans le système culturel médiéval:au centre du cercle règne Sagesse, soit Philosophia,a ssise sur un trône sous lequel Socrate et Platon dialoguent,a lors que sept niches, disposées en couronne autour du cercle,encadrent les sept arts libéraux. En dehors du cercle, en bas, apparaissent quatre figures de scribes, ou écrivains, caractérisées par un inspirateur négatif :unpetit oiseaunoir,représentant le démon, qui suggère dans leurs oreilles le contenu des écritures in fieri. La légende transversale nous explique qu'il s'agit des poetae, velmagi, spiritu immundo instincti (« les poètes,oumagiciens,inspirés par un esprit immonde »). Et,entre l'un et l'autre de leurs sièges, des lettres spécifient:Isti immundis spiritibus, scribunta rtem magicam et poetriami de st fabulosa commenta (« ceux-ci, inspirés par les espritsi mmondes, écrivent des traités d'arts magiques et poétiques, c'est-à-dire des inventions fantastiques »). Lesp oètes sont donc des exécuteurs du malin, identifiésa ux magiciens en tant que producteurs d'une réalité étrangère, d'une fiction de l'esprit humain, et,e nq ualité de magiciens,i ls sont exclus du système culturel et bannis de ses marges³. Une condamnation et des effets pareils sur le système des genres littéraires sont repérables dans la cultureislamique, et arabeetpersane, comme je l'ai écrit ailleurs (Stella 2003).
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2015
La détestable humanité se fait un enfer préparatoire Charles Baudelaire Dans un livre récent sur le clonage humain, un philosophe tente de penser ce phénomène en se plaçant délibérément après coup. Cette posture du « comme si » a, selon lui, l'avantage d'éviter 4 Cf. E.
2017
Humaine ou l'envers du roman [Article initialement paru dans les Cahiers de l'Herne Houellebecq en 2017.] 1. Non réconcilié Je continue de penser que j'aurais dû prendre quelqu'un qui sache chanter. On aurait pu faire un truc. Mes limitations vocales m'empêchent d'arriver au niveau que mes textes mériteraient (rires). Il y a plein de trucs utilisables dans mes textes, mais il faut chanter, vraiment. Pas parler. 1 Ces propos de Michel Houellebecq ont été prononcés en 2013, au coeur d'une entrevue avec Sylvain Bourmeau à propos de la publication de Configuration du dernier rivage. Curieusement, ils ne parlent pas de ce recueil. Ils n'ont même rien à voir avec la conversation dans laquelle ils se trouvent retranscrits. Ils ne sont d'ailleurs pas commentés par le journaliste. Mais la réflexion de l'écrivain est aisée à reconstruire : parlant d'Aragon, il évoque la mise en musique de ses poèmes par Jean Ferrat. Il se souvient alors qu'un tel travail a eu lieu sur la base de ses propres poèmes, treize ans auparavant. C'est en fait de Présence Humaine que parle ici Houellebecq, album rock, réalisé avec Bertrand Burgalat sur son propre label Tricatel, en 2000 : un travail où la musique du second sert de base au premier pour une performance 2 vocale particulière, tenant essentiellement du parlando. On assiste, dans cette réminiscence mal à propos, au retour d'un étrange refoulé. Un embarras affleure, et à cet embarras le statut de Présence humaine correspond, aussi bien dans la bibliographie au sens large de Houellebecq que dans la critique, où pendant longtemps il n'en a pas été question (il faudra d'ailleurs attendre 2016 pour que le disque soit réédité).
2022
La littérature et l'homme : sur un concept anthropologique de fiction chez Günther Anders Felipe Catalani Pour faire une analyse interne du roman La catacombe de Molussie, il me faudrait faire de la critique littéraire-ce que je n'ai pas l'intention de risquer ici. Je me permets donc de m'écarter un peu du sujet et d'approcher notre objet de manière quelque peu indirecte. Je voudrais alors spéculer, de manière un peu plus générale, sur la place de la littérature dans l'oeuvre d'Anders, ainsi que sur la relation de son activité de romancier avec la théorie qu'il développait dans les années 1930. Je pourrais peut-être formuler la question de la manière suivante : comment La Catacombe de Molussie éclaire l'ébauche d'anthropologie philosophique du jeune Anders, et vice versa, comment les réflexions sur la "pathologie de la liberté", etc. donnent-elles un sens à l'un
Published in: Christiane Louette et Agathe Salha, Notre Homère: Stratégies d’appropriation des poèmes homériques, Université Grenobles Alpes, Grenoble 2021, pp. 135-162
On long-term trends of Homeric translations in French and English and on insights provided by closer readings of selected translations. Emphasis of the Homeric notion of psuschê and its image in Hades, Odyssey 11.204-222. Discussion of theoretical implications: translations do not simply express their cultural background, they also testify to the persistence of the Homeric poetic formation as both eminently present and impossible to seize in stabilised linguistic forms. [in French]
ASTASA, 2023
Cet article s’intéresse à une sélection d’œuvres olfactives conçues comme des interfaces sensorielles permettant aux êtres humains de penser autrement leurs relations avec divers agents « non humains » : d’autres animaux, des végétaux et même des bactéries. Si tout art offre la possibilité d’envisager le réel de manière nouvelle, les œuvres olfactives, parce qu’elles réclament une attention non visuelle, longtemps jugée « animale », mais également parce que leur perception par le biais de la respiration mène à faire l’expérience consciente de l’air en tant qu’habitat partagé, permettent d’envisager de nouveaux modus vivendi et offrent une réponse sensible à la crise de notre relation au monde vivant. Le corpus d’œuvres respirables étudié dans cet article montre ainsi comment l’art peut aujourd’hui se fonder sur les sciences du vivant ainsi que sur les pensées de l’écologie pour entraîner l’avènement de nouvelles formes non seulement esthétiques, mais aussi ontologiques. This article focuses on a selection of olfactory works conceived as sensory interfaces allowing human beings to initiate new kinds of relationships with various “non-human” agents: other animals, plants and even bacteria. Although all art offers the possibility of considering reality in a new way, olfactory works, because they require non-visual attention, long-considered “animal”, but also because their appreciation through breath leads to experience air as shared habitat, make it possible to contemplate new modus vivendi and offer a sensual response to the critical state of our relation to the living world. The body of breathable works studied in this article shows that art may be based on the life sciences as well as on the environmental humanities, which can lead to the advent of new forms, both aesthetic and ontological.
Le projet autobiographique que Philippe Lejeune qualifie de « pacte autobiographique » est un genre littéraire et artistique qui centre son objet sur la vie de son auteur lui-même. Les motivations qui le sous-tendent varient d"un auteur à un autre. Cependant, une convergence s"en dégage pour en faire le fruit d"une aspiration à entrer dans la postérité au moyen de l"écriture, une envie de mieux se connaître ou se faire connaître des autres, une opportunité de se remémorer des moments et événements de son passé, un besoin de se justifier ou de se soulager, etc. Chez Bessie Head, cette « écriture de soi » renferme une ambivalence sémantique en renvoyant à une identification avec le groupe. En cela, son projet autobiographiquetout en revêtant un intérêt esthétique certainporte une forte dose idéologique.
2019
Elle est en premier lieu celle du cœur. Né le 7 février 1918 à Tunis d’un père algérois et d’une mère napolitaine, il va conserver sa vie durant cette « sociabilité » dont il dit luimême qu’elle constitue l’un des traits caractérisant l’homme méditerranéen. En attestent les amitiés multiples, profondes et réciproques le liant avec la quasi-totalité du vaste monde des internationalistes et bien au-delà encore. Cœur ouvert tout autant que généreux d’ailleurs.
2ème congrès international du GIS Institut du Genre. Genre et Emancipation, 27-30 aout 2019, 2019
Depuis quelques années nous assistons à un tournant épistémologique et théorique majeur dans les études de genre grâce à l’entrée massive dans nos agendas scientifiques d’acteurs non humains tels que les animaux, les forêts, la poussière, les objets, les cyborgs… Ce décentrement de l’humain interroge radicalement les fondements anthropocentriques de nos disciplines et nous oblige à la fois à repenser le genre mais aussi l’animalité, la technologie, la végétation, les enjeux de la construction des espèces et les artefacts au prisme des luttes féministes, anti-patriarcales et anticapitalistes. L’entrée de ces nouveaux sujets dans les études de genre et les luttes féministes conduit à envisager des coalitions politiques inter/trans-espèces dans lesquelles l’humain et le non humain dans toute sa diversité et complexité sont pris en compte de façon holistique, symétrique et postdualiste. Ce débat permet d’interroger la manière dont les études queer, les études critiques de la race et les études féministes mobilisent le non humain dans les controverses politiques. Ainsi, l’écoféminisme menace-t-il les acquis du féminisme matérialiste ? Les nouvelles alliances qui surgissent entre queers, végans et sorcières risquent-elles de minoriser d’autres groupes, traditionnellement disqualifiés ? Dans le champ intellectuel et/ou politique, l’agentivité des un·e·s s’actualise-t-elle au détriment de celle des autres ? Est-il possible et souhaitable de construire sur ce décentrement de l’humain une convergence des luttes de genre, de race et de sexualité ?
Cet article propose de s'intéresser à la fabrique des héros en littérature jeunesse. De nombreux personnages de livres pour enfants ont effectivement atteint ce statut et ont ainsi souvent marqué l'enfance de nombreux lecteurs. Il s'agira de réfléchir sur ce qui constitue un/une héros/ héroïne (notion qui ne coïncide pas toujours avec celle de personnage principal) et de mettre en valeur ses qualités. À travers les livres de Roald Dahl, on envisagera comment de simples personnages au destin parfois tragique (orphelins, battus et/ou maltraités) ont pu marquer autant de générations de lecteurs et à travers quels procédés l'auteur parvient à signifier leur héroïsme pour favoriser l'identification du lecteur.
Quand on pense aux marges d'un texte, on pense surtout au blanc qui le borde et l'entoure, et qui représenterait donc la charnière séparant, de façon définitive, le texte de son horstexte. Pourtant, les marges se révèlent plus mobiles, pouvant aussi bien être investies par le texte qu'envahies par le horstexte. Les seuils textuels sont une zone souvent floue, où prolifèrent pratiques péritextuelles hétéroclites, qui peuvent être de la responsabilité de l'auteur, de l'éditeur ou des lecteurs, auxquels, par sa propre nature, les marges restent toujours potentiellement ouvertes : c'est là en effet que le sens du texte est incessamment négocié lecture après lecture. Ce caractère ambigu de la marge a été mis en valeur par Jacques Derrida, qui s'est interrogé sur son fonctionnement : s'agit-il d'un espace de liberté où le hors-texte peut investir de sens le texte, ou plutôt d'un dispositif de control de la réception du lecteur ? Les marges textuelles sont en effet rarement neutres, et il se révèle parfois impossible de séparer un texte de ses discours périgraphiques, comme si au-deçà de cette frontière s'étendait un royaume du texte pur. Les marges sont donc un terrain vague très convoité et scriptible, une frontière mouvante et difficilement visible, et souvent peuvent être textualisées, absorbées dans le discours fictionnel. « La margeécrit Derrida dans Tympan -se tient dedans et dehors » 1 .
Port Acadie: Revue interdisciplinaire en études acadiennes, 2009
En l’absence des manuscrits originaux, la collecte considérée comme la plus riche de Basse-Bretagne n’est pas sans poser de problèmes. Outre le fait de passer d’un oral breton à un écrit français, le collecteur, s’adressant à un public qui n’est pas celui qui portait les récits qu’il publie, éprouve le besoin de les accompagner d’ajouts, de « commentaires explicatifs », de notes. Au-delà de cette situation singulière, cela me semble poser un problème plus général lié à l’édition de récits oraux : la possession par un auditoire homogène de références communes, de croyances partagées, conduit celui qui parle à faire l’impasse sur bien des éléments connus de tous. La transcription fidèle de la parole du conteur ne peut évidemment rendre compte de ce non-dit. Convient-il alors, en passant de l’oral à l’écrit, d’expliciter ce référent que ne possède généralement pas le lecteur « non initié »? Si oui, comment et sous quelle forme?
2015
Cet article aborde les rapports du naturalisme et du merveilleux, et montre que l’on peut depasser le clivage definitif qui a priori isole, d’une part, un courant litteraire fonde sur le scientisme et, d’autre part, un genre, le conte de fees, auquel le second xixe siecle ne semble plus croire. Le naturalisme n’est pas tant le lieu d’une liquidation du feerique — qui paracheverait celle du romantisme — que d’une relation refondee par la naivete (Zola) et/ou la melancolie (Goncourt). L’auteur des Rougon-Macquart reenchante a coups de metaphores feeriques la modernite ; Jules et Edmond de Goncourt cherchent et trouvent aux sources du recit populaire et du recit d’enfance des fragments de poesie aussi salutaires que fragiles. Il en va de la survie de la litterature.
LITERA Journal of Language, Literature and Culture Studiess, 2020
Un barrage contre le Pacifique est l'un des romans de Marguerite Duras qui puise sa source dans la vie de l'auteure. L'histoire racontée trace le panorama succinct de l'Indochine des années 1940. Le roman traite d'une époque où des milliers de familles françaises sont parties pour l'Indochine pour une meilleure vie. L'une de ces familles est celle des Duras. Cet article vise une analyse sémiotique d'un extrait du roman (Duras, 1950, p. 115-119) qui est une description de la plaine où vivent les protagonistes et les indigènes. La longue description de la plaine de Kam qui est notre corpus d'analyse dessine non seulement un espace topographique précis, mais aussi l'espace de vie des indigènes. Notre analyse s'attarde sur les éléments récurrents du discours du narrateur pour dévoiler l'organisation sémantique proposé par l'univers général du récit. Notre approche est celle de l'analyse sémiotique du discours littéraire telle qu'elle est élaborée et pratiquée dans les travaux d'A. J. Greimas, de D. Bertrand de J. Fontanille, mais aussi par les linguistes et narratologues J.-M. Adam et J.-P. Goldenstein. L'analyse prend en considération les deux aspects du texte : l'énoncé et l'énonciation. Les unités discursives fréquemment employés dans cette description dessinent les isotopies du corpus. Les éléments figuratifs et thématiques permettent d'aborder l'organisation profonde de la signification du texte. Mots clés: Analyse sémiotique, discours littéraire, description, figure, isotopie
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