Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
…
61 pages
1 file
Cet ouvrage est surtout destiné à un public d'étudiants ou d'enseignants en physique. C'est une introduction à la théorie d'Einstein de la gravitation. Il expose des outils mathématiques nécessaires, en particulier le calcul tensoriel sur un espace courbe et vous mènera à saisir progressivement le formalisme mathématique indispensable pour maîtriser la théorie de la relativité générale.
«Dans la Grèce antique, l'homme fut essentiellement et presque uniquement le modèle du sculpteur. Pour exprimer l'inconnu divin qui entoure l'homme, les autres peuples avaient inventé les monstres. Les Grecs ont pensé qu'ils pouvaient tout dire-ou presque tout-avec la forme humaine». 1 Le monstre 2 est généralement un être hybride composé d'éléments provenant d'animaux de plusieurs espèces (oiseaux, félins, ruminants) entrant dans la composition d'une entité imaginaire. Les figures monstrueuses conjuguent l'ambiguïté de plusieurs pouvoirs : fasciner, troubler, épouvanter, attirer. L'étymologie permet de mieux comprendre la signification des forces contenues dans chaque représentation monstrueuse car nous avons emprunté ce terme au latin monstrum, et dont il faut chercher les origines dans le verbe monere signifiant "faire penser", ou "attirer l'attention sur", mais aussi "avertir". Ce terme complexe est lui-même à l'origine d'autres termes comme : monument, prémonition, ou moniteur. Cippe funéraire-musée de Perugia Ainsi, lorsque cette "création" de la langue s'introduit dans notre esprit, l' "être monstre" n'est jamais quelque chose de simple, car cette "invention" cultive, dans l'ambiguïté de notre psyché, de multiples pouvoirs évocatoires liés à la peur, au langage des formes, à la polysémie culturelle, aux catégories esthétiques, à la puissance du symbolique. 1-Jean CHARBONNEAUX, La Sculpture grecque archaïque-éditions de Cluny, Paris, 1938, p. 5. 2-Les formes différentes et rares d'aberrations morphologiques et corporelles sont fréquentes chez les embryons d'animaux et elles existent aussi dans l'espèce humaine. Pour des peuples constitués essentiellement d'éleveurs rompus à la découpe des carcasses animales, comme pour les sacrificateurs religieux et superstitieux en contact avec les animaux, un jeune animal porteur d'aberrations monstrueuses devait certainement poser de multiples questions. Ovide écrivit à ce sujet un traité sur les monstres. Au Moyen âge, période notre histoire emprunte de multiples peurs, toute malformation corporelle ne peut être que l'oeuvre du diable, qui est un "être" lui-même représenté "monstrueusement". Nombreux sont les artistes qui s'adonnent à la création d'êtres hybrides, soit sous forme de grotesques comme Breughel, soit sous forme de créations imaginaires qui n'intéresseront que quelques siècles plus tard la cryptozoologie. Il faut attendre Ambroise PARE en 1573, pour que l'analyse des "malformations" touchant les corps connaisse un début de classification scientifique. Ce n'est qu'au début du XVIIe siècle, avec l'apparition de la tératologie, que sera développée une branche d'étude nouvelle : celle des aberrations naturelles. Ce n'est qu'au milieu du XIXe siècle que le zoologiste Etienne Geoffroy Saint-Hilaire ose aborder les anomalies de l'organisation chez l'homme et l'animal. Les biologistes apportent finalement de nouvelles connaissances dans le domaine de la tératogénèse à la fin du XXe siècle. Ils permettront de comprendre comment un foetus peut être perturbé par des substances capables de franchir les barrières de l'utérus maternel (pour éclairer sa compréhension du sujet lire l'ouvrage fondateur de Jean-Claude AMEISEN, La sculpture du vivant, le suicide cellulaire ou la mort créatrice-éditions du Seuil, Paris, 1999 ; et Points Seuil, 2003).
La croix est par excellence le symbole de la foi chrétienne : signe de dévotion avec le signe de croix, signe de reconnaissance avec le crucifix porté au cou par les chrétiens ou installé dans les maisons et les églises. La croix condense en fait la passion du Christ et l'histoire du Salut. La croix est pour les chrétiens signe du Christ qui a souffert et qui est mort pour sauver les hommes. Elle est aussi symbole de vie. Enracinée dans la terre, le pied de la croix représente la foi assise sur de profondes fondations. La branche supérieure, c'est l'espérance montant vers le ciel. La largeur de la croix est l'image de la charité qui s'étend jusqu'aux extrémités du monde. La croix nous relie au Christ. On peut distinguer trois types différents de croix, selon la branche du christianisme à laquelle on appartient. La croix huguenote ou protestante. Composée d'une croix de Malte, les branches (au nombre de 4, comme les Evangiles) sont reliées entre elles par un motif circulaire qui, d'une part, rappelle la couronne d'épines du Christ crucifié et qui, d'autre part, forme entre chaque branche un coeur, à la fois symbole de l'amour de Jésus pour nous et rappel de son commandement aimez-vous les uns les autres (Jean XIII,34). Les pointes aux extrémités de chaque branche sont arrondies en forme de boules et au nombre de huit comme les béatitudes. En bas, la colombe en pendentif représente évidemment le Saint-Esprit qui descend du ciel sur les fidèles. La croix orthodoxe comporte huit branches, on l'appelle aussi croix de crucifixion. L'axe vertical de la croix est coupé de trois branches horizontales. La branche du milieu, la plus longue, est réservée aux bras étendus du Christ. La branche supérieure représente l'écriteau que Pilate fit apposer au dessus de la tête de Jésus et portant en grec, latin et hébreu le motif de sa condamnation (INRI-Jésus le Nazaréen, Roi des Juifs). La branche inférieure est destinée aux pieds du Christ. En effet, dans la tradition orthodoxe, les pieds ont été cloués séparément. NB : les orthodoxes font le signe de croix de droite à gauche. La croix catholique ou latine. C'est chez les catholiques que l'on trouve la plus grande variété de croix. La croix de base est simple, avec deux branches, une verticale et une horizontale. Le corps de Jésus n'est pas dessus, car il est ressuscité. A la différence des protestants, les catholiques ont très vite fait des représentations du Christ sur la Croix. Ainsi dans les Eglises, le corps martyr du Seigneur fait partie intégrante de la représentation de la croix. Chez les chrétiens d'orient il arrive que l'on représente le Christ sur la croix comme étant déjà ressuscité, avec de beaux habits et le mot Victoire inscrit tout proche.
La défaite de la réforme de la Securité Sociale au Congrès national et le chaos financier qui tend à s’approfondir au Brésil pourraient être le "prétexte final" pour fermer le Congrès national et la Cour suprême fédérale.
Jimi ZACKA, 2024
Le moi s'est vu « humilié », accusé d'illusion, de superficialité, d'être manipulé par des forces inconscientes ..
La cristallographie est une science qui étudie les cristaux c'est à dire la formation, la croissance, la forme extérieure, la structure interne et les propriétés physiques de la matière cristallisée. Le mot cristal à son origine grecque qui veut dire glace. C'est au 19 ème siècle que la cristallographie se dégagea progressivement de la minéralogie et se rapprocha de la physique et de la chimie en devenant une science indépendante. Les figures 66 et 67 représentent :-des cristaux de neige fig. 66,-des cristaux de bloc d' aluminium refroidit, dont la surface est polie et attaquée par un agent chimique. Les cristaux allongés sur le contour à partir desquels le refroidissement est parti et les petits grains de cristaux au coeur (fig. 67). (fig. 66)
Les dialogues entre les disciplines scientifiques comportent toujours leur part d'aventures, de promesses et de risques. Ainsi, les échanges entre la psychologie et l'anthropologie culturelle ont beaucoup souffert d'une première période de rapprochement où la pensée des «primitifs» a volontiers été comparée à la pensée des enfants (Piaget 1977; Lévy-Bruhl 1960). Cette vision, imbibée d'un évolutionnisme social de mauvais alois, a encouragé les anthropologues à déserter les amphithéâtres de psychologie.
Amazon Kindle, 2015
L’Apocalypse enfin révélée ! Ecrite à la fin du premier siècle de notre ère, cette œuvre prophétique, un des piliers de la littérature chrétienne et du Nouveau Testament, n’existait pas encore en langue française dans une traduction fiable, fidèle, et qui respecte le style et les intentions de l’auteur, Jean de Patmos, « le disciple que Jésus aimait ». La signification profonde de ce livre, perdue vers le VIIIe siècle, quand l’Église dut rechercher la protection des rois francs pour assurer sa survie, est enfin restituée par une équipe de spécialistes du grec biblique. Soucieux d’offrir au public le plus large les secrets de cette œuvre majeure, ils ont fait appel aux commentateurs antiques, qui en détenaient encore les clés, mais aussi aux ressources les plus modernes de la linguistique et de l’exégèse biblique. Sceau après sceau, le livre se révèle enfin pour éclairer le lecteur de sa lumière éclatante sur les destinées du monde.
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
Graeco-Latina Brunensia, 2019
Studi storici 59 , 2018
Hommes & migrations, 2015
Symbolique des croix pré chrétiennes nouvelles approches, 2019
Bernard POUDERON, 2015
AHARON APPELFELD, CINQUANTE ANS D'ECRITURE