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2021, urbanisation
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17 pages
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« De nos jours, la moitié de la population mondiale et plus des trois quarts de celle des pays industrialisés vit dans les villes. Les très grandes villes ont pris une importance déterminante dans cette évolution et la métropolisation est certainement le phénomène urbain majeur de notre temps » (Bailly et Huriot, 1999
Un SI est un ensemble organisé de ressources : matériel, logiciel, personnel, données, procédures… permettant d'acquérir, de traiter, de stocker des informations (sous forme de données, textes, images, sons, etc…) dans et entre des organisations ». Robert REIX, 2005 Un système d'information (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données et procédures) qui permet de collecter, regrouper, classifier, traiter et diffuser de l'information dans un environnement donné. Urbanisation du SI par Eric Le Guillou
Foncier-developpement.fr, 2023
News has surfaced that the international urbanization research project in the southern region has come to a close. The project boasted the involvement of esteemed universities such as the University of Paris, the University of Montreal, and the University of Geneva, as well as international and private governmental organizations. International urbanization research project in the southern region has ended, involving renowned universities and governmental organizations. The supervising Technical Committee “Land and Development” is a group for discussion and debate on rural and urban land issues in the countries of the South (Africa, Asia, and Latin America). It was created in 1996 on the initiative of the French Cooperation Institute and co-chaired by the Ministry for Europe and Foreign Affairs (MEAE) and the French Development Agency (AFD). The analytical report, published in the Working Group of the Technical Committee on Land and Development, has been published in French on the Internet under the Links. Attached is the link for the full report. Pages 45-61 present the case study on the Amman Municipality staff housing project in Shafa Badran.
Ce chapitre retrace l'évolution des villes japonaises depuis l'époque d'Edo. Il met en évidence ce que l'auteur considère comme les quatre grandes caractéristiques des villes japonaises: la faible intervention des pouvoirs publics dans les affaires urbaines, le rôle structurant majeur des réseaux ferroviaires, le singulier poids macroéconomique du foncier et l'exceptionnelle plasticité du bâti.
Au cours de cette rencontre, de nombreux aspects ont été analysés par les différents intervenants à tel point qu'on eu, par moments, la sensation que c'était un fourre tout et que la discussion se faisait tout azimut. Il est vrai que le problème de l'urbanisation et du développement régional en particulier touche tous les niveaux, les champs et les aspects de la vie économique, sociale, culturelle et politique, que la question du développement est au centre de toutes les disciplines et concerne tous les spécialistes des sciences humaines et sociales et que le problème relève parfois du quotidien et ne peut nous laisser indifférents. L'urbanisation a été analysée à travers ses formes, ses mécanismes, ses processus, ses rapports à l'Etat et à la société, à l'environnement, aux campagnes et au développement régional, voire le développement tout court. En effet, l'analyse montre que le modèle vertical adopté et de plus en plus généralisé dans nos cités, va à l'encontre du respect de l'environnement et des habitudes de la population qui a besoin d'une certaine horizontalité. Ce modèle vertical répond aux besoins d'espaces et s'insère dans une optique technique beaucoup plus que socio-urbanistique mais les problèmes du modèle horizontal ne sont pas, pour autant, simples et il n'y a qu'à citer le niveau et la hausse continue des prix fonciers d'un côté et l'extension démesurée de nos villes. Si ce problème est possible dans les pays socialistes comme la Chine 1 , où l'Etat maîtrise le problème foncier, il ne l'est pas du tout dans les pays d'économie de marché et encore moins dans nos pays qui ne maîtrisent ni le sol, ni les hommes. La politique de l'habitat 2 se trouve au centre de l'urbanisation dans sa double dimension: l'habitat rural et l'habitat urbain. En effet, l'analyse des données montre un déséquilibre qualitatif ce qui a poussé les pouvoirs publics à apporter des assouplissements aux textes existants, encourager les logements sociaux et améliorer l'environnement. Bien que les outils et les programmes prévus pour le VIII° Plan sont importants, on peut se demander dans quelle mesure on peut parler d'une nouvelle politique de l'habitat puisqu'il n'a pas de * Ce rapport représente la synthèse du séminaire " Urbanisation et développement régional " organisé par le CERES en Novembre 1991. Il exprime beaucoup plus des impressions personnelles qu'un véritable résumé des différentes communications. J'ai essayé , dans la mesure du possible, d'être exhaustif sans entrer dans les menus détails des discussions qui ont été, dans la plus part des cas enregistrées. Que les intervenants qui ne se retrouvent pas ici veuillent bien m'excuser de cette négligence non voulue. 1-Voir la communication de M. Fakhfakh ci-dessus. 2-Cf la communication de N. Chiha.
2011
Trente ans exactement separent le premier episode de la Petite maison dans la prairie (1974) du lancement de Deadwood (2004). Au-dela du code cinematographique du western qu'elles reecrivent toutes les deux et d'un identique contexte de la conquete de l'Ouest dans les annees 1870, tout ou presque les separe. Walnut Grove, le village dans la prairie du Minnesota et Deadwood, le camp des Black Hills temoignent de deux visions de la ville, du territoire et de l'Amerique plus generalement. Ces deux series sont de fantastiques prismes pour regarder les phenomenes urbains dans la civilisation americaine.
1998
Les noms de lieux sont susceptibles d'avoir un sens, mais celui-ci très souvent nous échappe. Dans le cas des villes, cependant, la situation est en partie différente. Le développement urbain étant récent, on peut retrouver beaucoup plus facilement le sens des toponymes et tenter de mettre à jour les diverses stratégies de dénomination. Il s'agit dans cet article, non de tendre à une description exhaustive, mais de choisir, parmi les informations dont nous disposons, celles qui révèlent des types d'appellations spécifiques et sont donc susceptibles de livrer des informations pertinentes. Je prends des exemples, à la fois dans les villes anciennes et dans les villes modernes et montre l'importance du choix de la langue, qui est lié à la fois au statut du « nominant » et au type d'urbanisation (officielle ou spontanée).
Le partage à la fois comme cadre et comme outil de la fabrication urbaine, 2017
Le sujet abordé fait partie d'un débat beaucoup plus large, qui a à voir avec un changement à la fois politique, économique et social jusqu'à arriver à toucher le milieu urbain. En tant que sujet relativement nouveau, soumis à une diffusion très rapide, il est en partie difficile à délimiter. Comme il est impossible d'approfondir tous ces aspects, dans le court laps de temps disponible, nous ne donnerons qu'une idée de ce tableau générale, pour nous concentrer plutôt sur les aspects liés au territoire. En même temps il serait un travail décontextualisé sans une idée de fond plus large. Le chapitre sur le débat sociétal en particulier a représenté un défi important. En fait aujourd'hui, la distinction entre savoir expert et non, sur les thèmes d'open source, open datas et dérivés a des contours assez flous. Grâce aux moyens de communication de nouvelle génération, certains concepts, qui avant appartenaient à des domaines strictement scientifiques et professionnels, à ce jour voient une diffusion au grand public. Nous pouvons alors remarquer, par exemple, parmi d'autres, comme un des signaux de cette mutation, l'apparition dans des journaux d'information non spécialisés de termes propres à un vocabulaire scientifique. La transformation en acte sur le sujet de la connaissance et l'apprentissage nous amène dans une direction de mélange et interaction de ces savoirs. Nous avons donc choisi de prendre comme échantillon pour ce chapitre des sources qui nous semblaient d'accès commun et populaire, comme articles sur journaux tels que Le Monde, Liberation, La Tribune, etc. Nous aborderons dans ce travail des thèmes différents, choisis, car ils nous semblent dessiner une tendance générale qui nous intéresse faire émerger. Conscientes que leurs corrélations ne sont pas évidentes, nous essayerons de tisser un fil rouge qui les relie. Ces thèmes constituent pour nous des éléments de documentation, dans une phase de ce travail de recherche qui est encore celle de l'observation. Nous sommes conscients que certains de ces sujets sont au centre de débats importants, parfois très polémiques aujourd'hui, dans les milieux économique, politique et social. Néanmoins nous ne ferons pas référence à ces débats dans notre bref excursus, car nous présentons les thèmes impliqués dans la perspective assumée et déclarée de cibler notre objet d'étude. En fin, nous parlerons souvent d'un terme spécifique, qui assume pour nous dans ce contexte un rôle relevant, comme collaboration. Nous prendrons alors comme référence cette définition: " La démarche collaborative couple deux démarches : celle de l'apprenant et celle du groupe L'apprentissage collaboratif est une démarche active par laquelle l'apprenant travaille à la construction de ses connaissances. Le formateur y joue le rôle de facilitateur des apprentissages alors que le groupe y participe comme source d'information, comme agent de motivation, comme moyen d'entraide et de soutien mutuel et comme lieu privilégié d'interaction pour la construction collective des connaissances. [...] Dans la démarche collaborative, les apprenants collaborent aux apprentissages du groupe et, en retour, le groupe collabore à ceux des apprenants." Apprentissage collaboratif à distance : pour comprendre et concevoir les environnements d'apprentissage virtuel. Sainte-Foy (Québec, Canada) : Presses de l'Université du Québec, 2001, 181 (p. 42-43) Chapitre 1. Débat sociétal 1.1 L'engagement citoyen dans le renouvellement du processus urbain contemporain "Un peu partout en France et dans le monde, une transition citoyenne silencieuse est à l'oeuvre. Des millions de personnes s'activent pour inventer le monde de demain. Ils n'attendent pas l'autorisation des pouvoirs publics pour le réaliser. Ils l'expérimentent aujourd'hui et maintenant. De plus en plus de collectifs, d'associations, de start-up, de mouvements et de réseaux agissent au quotidien pour contribuer à la création de biens communs et de services partagés. Leur action est profondément politique et pourtant, elle ne vise pas la conquête du pouvoir institutionnel. Elle est tournée vers la seule forme de pouvoir qui peut nous faire avancer sur le chemin de la démocratie : le pouvoir citoyen." Libération 2014 1 Articles sorti à l'occasion de l'Open Government, la démocratie du futur ! événement qui a eu lieu en 2014. L'auteur est un des membres du programme Territoires Hautement Citoyens (THC): une initiative portée par l'association Démocratie Ouverte, "collectif qui regroupe des innovateurs, porteurs de projets, organisations et citoyens qui agissent pour améliorer la transparence, la participation et la coopération au sein de la société". 2 Comme récemment nous avons vu la naissance de nombreuses associations qui partagent ce même objectif. Nous choisissons de commencer par cet extrait très incisif, qui nous semble mettre en évidence des aspects fondamentaux du débat social actuel lié à notre sujet. L'auteur décrit un besoin et une perspective de changement de la société liée au territoire, accompagné d'un engagement civique indépendant de la dynamique institutionnelle. En même temps, évoque une inadéquation d'un système de gestion territoriale par les autorités devenu obsolète, ainsi que le concept des biens communs et la formation d'une nouvelle économie basée sur des services partagés. Nous pourrions retrouver dans la société contemporaine, en particulaire dans les dernières années, un développement croissent de différentes formes d'auto-organisation citoyenne à niveau urbain, dans le cadre d'un système de partage de services entre privés. Nous nous limiterons à rappeler quelques-uns de services partagés nés récemment entre les plus connus au monde. Pour ce qui concerne la sphère de la mobilité est sûrement la start-up de covoiturage français blablacar qui détient le record des adhérents. Cette petite et moyenne entreprise (PME) conte à ce jour 40 millions de membres et emplacements en 22 pays. Dans l'autre côté, il y a la plate-forme communautaire californienne qui permet de proposer des logements à travers le monde entier: Airbnb. Avec une communauté d'utilisateurs qui ne cesse de croître, Airbnb est un des moyens plus diffusés de monétiser un espace inoccupé et de le mettre en avant auprès de millions d'utilisateurs. La propagation de ces initiatives oeuvre un grande débat sur l'incapacité des institutions publiques à répondre aux nouvelles exigences d'une société qui s'autoadministre, grâce à une interconnexion et une collaboration entre individus. Le débat lié à ce thème vise alors sur différents aspects comme la politique , l'économie et le territoire. Dans ce vaste contexte, nous traiterons plus en détail certaines questions liées au territoire. Lors de dernières années, nous avons vu la naissance de plusieurs pratiques de résilience urbaine, amenées par des collectivités ou par des individus, à travers des démarches bottom-up (du bas vers le haut). Nous pourrions remarquer une multiplication d'expériences de transformation, temporaire et à faible coût, d'espaces publics. Elles sont désormais connus, selon leurs spécificités, comme Do it yourself (D.I.Y.) urbanism, guerilla urbanism, pop-up urbanism, tactical urbanism, etc. Il s'agit à l'origine des mouvements citoyens et associatifs en recherche d'une participation plus importante dans les démarches d'aménagement de l'espace public. Ils sont des mouvements qui défendent l'idée que des interventions de petite échelle dans les espaces urbains ont un impact important sur la vie quotidienne des résidents. Nous pourrions remarquer, suite à l'apparition de ces mouvements, une conscience critique citoyenne différente qui prend de plus en plus forme: l'expression d'une volonté de l'habitant d'être part active dans le processus de changement de son habitat. En même temps au centre du débat, il y a la question sur la nature et 3 Céline Beaufils, (contributrice éditoriale pour OuiShare et cofondatrice de We-Lab*), "Nous citoyens, créons des espaces "libres ensemble" dans la ville",
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Revista Cidades
Dictionnaire critique et interdisciplinaire de la participation, Paris, GIS Démocratie et Participation, 2013
Lucien-Jacques Baucher, Jean-Pierre Blondel, Odette Filippone: 3 architectes modernistes, 2011
Tell Tweini. Onze Campagnes …, 2010
Environnement et populations : la durabilité en question (Hervé Domenach, Michel Picouet, Eds), 2004
Culot M. & Pirlot A.-M. (eds), Jean-Jules Eggericx : gentlemen architecte, Bruxelles, AAM Editions & CFC Editions,, 2012
Les Cahiers d'Outre Mer
Population & Avenir, n° 715, 2013
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2021