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2014, L’enseignement philosophique
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Courte réflexion autour de l'interaction entre le masochisme et le narcissisme.
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Cadernos do IL
Este artigo é dedicado a « Narcisse parle », uma das numerosas aparições do mito de Narciso na poesia de Paul Valéry (1871-1945). Após apresentar sucintamente a gênese, a métrica, o percurso, a organização e a enunciação do poema, abordamos as referências espaciais e temporais. Finalmente, tratamos dos personagens a fim de mostrar os laços entre o herói e as figuras que o cercam, especialmente as ninfas e o reflexo que ele ama. A análise desses aspectos permite-nos compreender a arquitetura do poema, explicitando, por exemplo, a natureza do sofrimento do protagonista e caracterizando sua paixão.
Le Carnet PSY, 2017
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Contraste, 2009
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Topique, 2012
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Cahiers jungiens de psychanalyse, 2009
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HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2021
L'aventure de Narcisse qui meurt de s'admirer, apparaît comme une forme extrême d'amour de soi, un archinarcissisme en quelque sorte : Narcisse n'aime pas seulement se regarder de temps en temps, comme chacun d'entre nous, dans la glace ou dans toutes sortes de miroirs que la vie sociale lui offre ; il paraît bel et bien piégé, une fois pour toutes, par un reflet qui l'emprisonne et dont la consistance semble être de l'ordre de l'hallucination. De là le constat ovidien de "l'étrangeté de sa folie". C'est sur cette étrangeté ou cette singularité d'un narcissisme de Narcisse, difficilement réductible aux concepts forgés par les approches habituelles, notamment celle du psychanalyste et celle du moraliste, que nous insistons ici. Car l'ancrage ou l'"enracinement" de Narcisse dans son reflet, s'il évoque d'abord la perspective d'une subjectivation impossible, finit néanmoins par nous révéler quelque chose du sol originaire que tiennent à distance, depuis toujours, les philosophies du Concept, et que la phénoménologie contemporaine décrit comme un champ transcendantal, à la fois pré-subjectif et préobjectif. Il était une source limpide aux eaux brillantes et argentées, que ni les bergers, ni les chèvres (…) ni nul autre bétail n'avait jamais approchée, que n'avait troublée nul oiseau, nulle bête sauvage, nul rameau tombé d'un arbre (…) Elle était entourée de gazon qu'entretenait la proximité de l'eau ; et la forêt empêchait le soleil de jamais réchauffer ces lieux. C'est là que l'enfant [c'est-à-dire Narcisse qui a seize ans], fatigué par l'ardeur de la chasse et par la chaleur, vint s'étendre, attiré par l'aspect du lieu et par la source. Mais tandis qu'il tente d'apaiser sa soif, une autre soif grandit en lui. Pendant qu'il boit, séduit par l'image de sa beauté qu'il aperçoit, il s'éprend d'un reflet sans consistance, il prend pour un corps ce qui n'est qu'une ombre (1). Si l'on y songe, c'est assez fou de s'amouracher de sa propre image. Et c'est encore plus fou d'en mourir. Car, on le sait, non seulement les choses tournent mal mais elles finissent mal, puisque Narcisse, devenu incapable de s'arracher à sa contemplation, ne mangeant plus, ne dormant plus, s'affaiblit jusqu'à en mourir. Rappelons encore un passage des Métamorphoses, le moment du dénouement qui est celui de la mort de Narcisse : Ainsi, épuisé par l'amour, il dépérit et peu à peu un feu secret le consume. Maintenant son teint n'offre plus sa blancheur mêlée d'incarnat. Il a perdu sa vigueur et ses forces, et tout ce qui naguère en lui séduisait les yeux (…) La dernière parole de Narcisse, les yeux plongés dans cette eau devenue familière, fut : " Hélas ! Enfant chéri, mon vain amour ! " Puis il posa sa tête fatiguée sur l'herbe verte, et la nuit ferma ces yeux emplis d'admiration pour la beauté de leur maître (2). Et Ovide termine son récit en précisant que les compagnons de Narcisse ne retrouvèrent pas son corps qui avait disparu, et qu'à la place, ils trouvèrent une fleur, en l'occurrence un narcisse qui est une sorte de jonquille ; ce qui suggère alors une curieuse conception de l'enracinement. Quoi qu'il en soit, il est clair que l'aventure de Narcisse qui meurt de s'admirer, apparaît comme une forme extrême d'amour de soi, un archi-narcissisme en quelque sorte : Narcisse n'aime pas seulement se regarder de temps en temps, comme chacun d'entre nous, dans toutes sortes de
Cinémas: Revue d'études cinématographiques, 1996
À partir de deux textes, « Aller au cinéma » de Metz et « En sortant du cinéma » de Barthes, l’auteur se pose la question du statut du corps spectatoriel. Le corps oublié du spectateur au profit du corps des personnages s’avère le lieu du travail du hors-champ et aussi de l’inconscient. En un tel lieu, toutes les identifications sont possibles et le spectateur n’en sort pas toujours gagnant, travaillé qu’il est par des forces antinomiques répressives, réversibles.
Revue française de psychanalyse, 2008
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L'identité, une si vaste énigme que l'on s'y noierait. C'est une question que l'on ne se pose peut-être qu'avec le temps. On en prend parfois conscience, des fois on l'observe ou elle se remarque dans la durée. Et plus on la relie au temps et plus elle prend de l'espace. Et puis dans cet espace-temps on s'imagine qu'elle va s'ancrer toujours un peu plus et se révéler au monde en s'affirmant dans une sereine stabilité, comme quelque chose qui coule de source, comme une évidence. Et dans un possible inventaire de l'identité, différentes disciplines y apportent un regard croisé comme s'il s'agissait d'un objet de la phénoménologie appelé à subir une variation eidétique. L'identité, nous dit-on, est reliée à un patrimoine génétique avant d'être le fruit d'une mémoire implicite et explicite, d'un territoire, d'une époque et d'une société, et j'en passe. Et dans ce tableau d'une exposition par accumulation rotative et linéaire, on pourrait vite avoir l'impression que la question de l'identité est un fil d'Ariane qu'il suffit de dévider ou de rembobiner. Tout paraît évident, il suffit de se fier aux discours scientifiques car ils ont une crédibilité et une légitimité qui les placent au-dessus de tout soupçon. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes scientifiques possibles, sauf que ce meilleur des mondes n'est pas celui de notre rêverie puisqu'au coeur de l'exposé rationnel touchant à notre patrimoine génétique se cache un inconnu, celui-là même qui introduit une variable liée au hasard des circonstances qui peuvent être épigénétiques et modifier transitoirement ou durablement la donne, perturber les informations cellulaires et passer à la descendance. Et là l'identité que l'on croyait solide, se liquéfie et se brise en gouttelettes fines et mobiles qui dansent sur les stabilités trop simples ou trop faciles du manège d'un je sais qui je suis, quand bien même mon « je » serait un autre. Est-ce à penser que l'identité est un piège mortel et sans fond pour qui s'y penche ? A trop s'y regarder comme dans un miroir, se condamne-ton à s'y perdre ou à ne s'y trouver qu'en solitude ? Est-ce que l'identité, loin d'être unifiée, ne ressemblerait-elle pas plutôt à un chapelet d'îlots séparés dans une mer de phénomènes épigénétiques ou chaotiques ? Resterait ainsi à savoir s'il existe une carte, un peu comme les cartes maritimes, permettant de relier et d'atteindre ces territoires de l'identité que rien, a priori, ne relie avec certitude. Pour essayer de trouver des éléments de réponses à mes questions, je me suis simplifié la tâche en faisant appel aux mythes et plus particulièrement à celui de Narcisse. L'avantage c'est que tout le monde connaît l'histoire de cet homme qui n'aimait que lui. Peut-être que le relisant des contenus feraient écho à mes préoccupations du moment. Je savais bien que je prenais un risque, celui de tordre le mythe pour le faire correspondre à mes attentes à moins que, sourd au texte, je ne prête attention qu'à ces échos répétés qui, martelant ma raison, ne manqueraient de m'éloigner du poème et de structure narrative. Il fallait donc que j'arrive à me détacher d'une logique trop linéaire sans la perdre de vue tout en me laisser guider par mes sensations, par une réalité augmentée portée par la rêverie et la mémoire. Ai-je réussi ? Je ne sais pas. Ce que je sais par contre c'est que mes propos se veulent être une invitation au voyage. Il est temps d'embarquer pour cette destination imprécise, là-bas, quelque part dans cet océan de hasard ou d'absurde.
Bulletin de psychologie, 2013
« L'amour-propre est un ballon gonflé de vent dont il sort des tempêtes quand on y fait une piqûre. » (Voltaire, 1748). « Sans qu'elle ait à le poser comme but, la démarche analytique va rencontrer les figures intimes de la barbarie : l'appétit cannibalique, le désir de meurtre, l'inceste, les appétences sadiques et masochistes, l'ambivalence inscrite au creux des sentiments dits les plus nobles ; et encore, les identifications au père de la horde, à la mère omnipotente. Au dedans et au dehors circulent les figures d'emprise et des mouvements pulsionnels de même nature. Et ce sont ces positions subjectives singulières et communes, individuelles et politiques, que le travail psychanalytique sort de leur activité clandestine. » (Zaltzman, 2003, p. 237). * Centre de recherche en psychopathologie et psychologie clinique (CRPPC), Université Lumière Lyon 2 (EA653).
Connexions, 2013
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Éthique en éducation et en formation
Les finalités éducatives ne sauraient être pensées sans faire référence au contexte socio-politico-économique dans lequel elles s’enracinent. De nombreux auteurs, dont Honneth, Lipovetsky, Chomsky et Laval, dénoncent le caractère inégalitaire des sociétés contemporaines caractérisées par l’individualisme et le consumérisme dans un univers dominé par une économie de marché globalisée. Il faut ajouter à ce portrait la montée des intégrismes, du radicalisme et des violences qui lui sont associées. Les avancées technologiques, si elles ont contribué à la diffusion des informations, ont du même coup engendré une prolifération qui se traduit par la fragmentation des savoirs sans se soucier de leur exactitude. Nous verrons dans ce contexte quels peuvent être les fondements et les finalités de l’éducation, quels sont les instances ou acteurs sociaux qui peuvent en convenir et quelle personne cette éducation devrait former.
A study following Lacan's method, of Freud's theory of first and secondary "narcissism", the way human beings construct a self image due to their relation with unconscious and oedipus building of personality
Le Coq-héron, 2004
De l'emprise du narcissisme au refus du sexuel claudette lafond La cure psychanalytique privilégie le transfert où se produit la manifestation de la conflictualité psychique. De nos jours l'offre et la demande semblent accorder la primauté au transfert de base dit maternel et archaïque. À une époque moins récente, la primauté était au transfert paternel. Or ces positions, si elles sont péremptoires, peuvent avoir des incidences sur le développement et le nondéveloppement du sexuel. Ma réflexion porte précisément sur une analyse de l'offre en question. L'offre se veut une adaptation à la réalité psychique, elle n'est cependant pas indemne des partis-pris théoriques de l'analyste. La validation consciente de ces partis-pris n'exclut pas l'influence de l'infantile caractérisé par le désir de toute-puissance et par l'évitement de l'angoisse de castration. Dans une telle conjoncture, quel est le devenir des a priori de l'écoute de l'analyste à l'intention et à l'attention du patient? ous sommes aujourd'hui en mesure de constater la part importante accordée dans les cures analytiques au transfert de base, dit maternel ou archaïque. On ne peut nier qu'il y ait une demande en ce sens. Par ailleurs, on sait que la demande n'est pas indépendante de l'offre. C'est autour de l'offre que portera ma réflexion. Qu'est-ce que nous offrons? Y at -il, de la part des thérapeutes, une complicité, à tout le moins un consentement, à l'égard de cette demande? Ce qui m'interroge, c'est la nature de ce consentement, ce qu'il est en mesure de nous révéler du contre-transfert. Cette problématique me rappelle les propos d'un collègue senior à l'endroit d'une consoeur qui travaillait auprès de patients lourdement carencés : « Toi, tu soignes des patients vraiment malades » lui dit-il. Cette assertion me laissa quelque peu perplexe… Se peut-t-il que le véritable travail soit celui accompli auprès de patients dont la structure est en deçà de la structure névrotique? Je pense aux états-limites, aux prépsychotiques, aux psychotiques. N Dans cette conjoncture, le thérapeute serait amené à faire de la réparation narcissique ou, pour reprendre l'expression ironique de Cioran, à bricoler avec l'impossible. Cela suppose tout de même que, derrière la préoccupation d'aider le patient, ce super thérapeute soit investi d'une certaine mission et je me demande si, dans ce cas, ne se profile pas la tentation d'être un psy monoparental même si, dans nos cultures, la « monoparentalité » concerne plutôt la mère. Il est vrai qu'une telle tentation n'exclut pas le zèle et le dévouement que le quotidien de la cure met à rude épreuve. L'épreuve à laquelle je viens de faire référence me permet de nous situer contretransférentiellement. Mon interrogation est essentiellement inspirée par un souci de reconnaissance des limites, les nôtres et celles de la psychanalyse, à l'égard de
Cahiers de Gestalt-thérapie, 2011
Qu'un événement majeur, brutal, survienne, qu'une relation, une situation nous mette en difficulté et notre assise narcissique sera momentanément mise à mal, voire durablement endommagée. Il nous faudra ravauder la trame de notre identité, faire avec nos accrocs, nos « trous ». Or, certains, de par leur histoire, ont à faire depuis longtemps avec de plus gros « trous » que d'autres. Ce sont ces clients que j'évoque ici, et que le DSM IV désigne sous le terme « Border line » quand la Gestalthérapie 2 parle de style de présence. Je propose donc de parler de deux styles de présence que j'ai choisi de désigner sous les termes de « Narcisse effondré » et « Narcisse cuirassé 3 ». Travailler avec des personnes qui sont fixées dans ces styles de présence est une aventure mouvementée, engageante, souvent épuisante, parfois irritante, décourageante, à d'autres moments merveilleuse, réjouissante. Au fil de cette aventure, il m'apparaît que la théorie constitue la boussole qui me permet de garder le cap dans ces rencontres aux paysages tourmentés, violents : des rencontres où la force des affects vient parfois menacer la relation thérapeutique. Sans cette boussole, le client et moimême pourrions nous perdre dans la touffeur d'une De l'amour et des fragilites narcissiques Valérie ANDRIA-NATREHINA 85 85 Cahiers n°28, 2011 GESTALT THERAPIE THERAPIE ´ 86 86 Cahiers n°28, 2011 GESTALT THERAPIE THERAPIE 87 87 Cahiers n°28, 2011 GESTALT THERAPIE THERAPIE 88 88 Cahiers n°28, 2011 GESTALT THERAPIE THERAPIE 89 89 Cahiers n°28, 2011 GESTALT THERAPIE THERAPIE 90 90 Cahiers n°28, 2011 GESTALT THERAPIE THERAPIE 104 104 Cahiers n°28, 2011 GESTALT THERAPIE THERAPIE 106 106 Cahiers n°28, 2011 GESTALT THERAPIE THERAPIE 107 107 Cahiers n°28, 2011 GESTALT THERAPIE THERAPIE 108 108 Cahiers n°28, 2011
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