Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
in "Aux limites de la couleur: monochromie et polychromie dans les arts (1300-1650)", actes coll., M. Boudon-Machuel, M. Brock et P. Charron (éd.), Brepols, 2011, p. 187-196.
…
10 pages
1 file
Parmi les nombreuses urbes pictae d'Italie, ce ne sont pas des villes polychromes célèbres comme Venise, Trente ou encore Gênes, mais bien une ville à l'apparence monochrome comme Florence qui est l'occasion d'évoquer la relation qui unit la couleur à l'architecture . En effet, Florence devient une ville polychrome seulement à partir de 575, donc très tardivement par rapport aux autres cas italiens. La spécificité chronologique et géographique, le caractère privé de la commande, l'originalité technique sont autant d'éléments qui définissent la particularité florentine dans ce domaine.
Les enceintes de Tournai des origines au XIXe siècle, Publications extraordinaires de la S.R.H.A.T., t. II, 1985
Livraisons d histoire de l architecture, 2015
Frises peintes. Les décors des villas et palais au Cinquecento, 2016
Si les manuscrits enluminés ont fait l'objet de nombreuses études et publications, les architectures peintes au sein de ces enluminures sont bien moins documentées. Elles peuvent cependant apporter de nombreuses informations sur le manuscrit qu'elles ornent et permettre une meilleure compréhension de celui-ci. Le choix du manuscrit 21 de la bibliothèque municipale de Beaune comme sujet de mémoire de master 2 1 , s'il s'est initialement fait sur un critère de proximité géographique, a également été influencé par la richesse de la documentation traitant de l'auteur du texte du manuscrit : Guillaume Durand, évêque de Mende (1230-1296) 2 , ainsi que du texte en lui-même : le Rationale divinorum officiorum [...].
avec les contributions de Julien Boislève, Karine Boulanger, Arnaud Coutelas, Thierry Dechezleprêtre, Michel Frenzel, Nathalie Froeliger, Michiel Gazenbeek, Kévin Kazek, Jean-Denis Laffite, Xavier Lafon, Dimitri Mathiot, Luc Megens, Josabeth Millereux-Le-Béchennec, Maximilien Morel, Paul Nüsslein, Jean-Paul Petit, Olga Romanenko, Deborah Sebag, Morgane Thorel, Laurent Vermard, Pascal Vipard. Cet ouvrage présente le deuxième volet des résultats du projet collectif de recherche intitulé « Les enduits peints gallo-romains sur les territoires des Leuques et des Médiomatriques ». Succédant à un premier volume consacré aux peintures murales et aux plafonds de Metz-Divodurum, il offre un corpus exhaustif d’ensembles d’enduits peints, pour la plupart inédits, mis au jour dans plusieurs agglomérations secondaires et villae antiques de Lorraine. Il prend en compte les décors peints et stuqués issus de fouilles programmées et préventives, anciennes ou récentes, dont la documentation a servi de support à l’analyse des contextes, de guide pour la phase indispensable d’assemblage des fragments et pour l’étude des ensembles architecturaux qui en découle. Les premiers chapitres sont consacrés au cadre historique des cités leuque et médiomatrique dont le statut administratif et juridique évolue du Ier au IVe siècle dans la province de la Gallia Belgica, puis à l’histoire de la recherche. Celle-ci met en évidence l’évolution manifeste du traitement des enduits peints depuis l’époque où seuls les fragments présentant un motif étaient ramassés jusqu’à l’essor d’une discipline, la toichographologie, qui utilise des méthodes de prélèvement et d’étude beaucoup plus élaborées. La présentation des peintures par site, principalement des habitations, des bâtiments artisanaux et des thermes publics et privés, concerne d’abord la cité des Médiomatriques puis celle des Leuques. L’ensemble des données collectées permet de mettre en exergue, à l’échelle de la région, la question de la mise en œuvre, de la qualité et de l’économie des enduits peints. Cette approche globale offre finalement la possibilité de mener une réflexion sur la composition des parois et les répertoires décoratifs qui les agrémentent, sur les grands jalons de l’évolution des schémas décoratifs les mieux documentés et sur la question des programmes décoratifs en fonction de la nature des espaces. Cette recherche est le résultat fécond d’un travail collectif et interinstitutionnel associant des chercheurs des collectivités territoriales, du CNRS, des universités, de l’Inrap et d’associations archéologiques
Coupry Claude & Palazzo-Bertholon Benedicte, 2011
Composées de scènes narratives encadrées de bordures imitant de vrais tissages, les « fausses » tapisseries, qui habillent les églises et les palais italiens au XVIe siècle, semblent être suspendues aux murs sur lesquels elles sont en réalité peintes a fresco. Ce nouveau genre de décor illusionniste né dans l’atelier de Raphaël au début du Cinquecento connaîtra un grand retentissement tout au long de l’époque maniériste, jusqu’à l’aube de l’âge baroque. Rarement étudié comme un ensemble, ce corpus d’œuvres faussement tissées apparaît pourtant comme l’une des portes d’entrée privilégiées pour appréhender l’usage des véritables tapisseries qui étaient déployées lors de certaines festivités éphémères. Ce faisant, elles bénéficient à moindre coût du caractère somptuaire et spectaculaire qu’évoque un matériau aussi onéreux que la tapisserie et elles contribuent de manière pérenne à la glorification du commanditaire et des scènes représentées en leur sein. Aussi, s’agira-t-il de questionner plus encore les enjeux esthétiques propres à leur re-présentation, qui se veut le reflet d’une réflexion typiquement maniériste sur le feint, le riche et le support. Envisagée non plus telle une « fenêtre ouverte » transparente, mais comme un objet opaque représenté en-deçà du support mural fermé, réaffirmé, mais paradoxalement voilé, l’objectif sera de comprendre comment la tapisserie feinte devient le support d’une expression picturale autonome, mais aussi de saisir les rouages de cette feinte maniériste qui se donnent à voir notamment aux bords retroussés ou enroulés dévoilant en quelque sorte l’envers du décor.
Ce volume constitue les actes du 27e colloque de l’AFPMA qui s’est tenu à Toulouse en novembre 2014, en lien avec l’exposition de peintures murales antiques L’Empire de la couleur, de Pompéi au Sud des Gaules, au Musée Saint-Raymond. Comme tous les ans, cette rencontre , moment attendu et privilégié d’échanges entre étudiants, amateurs et professionnels de la toichographologie, de l’archéologie, accordait une large place à l’actualité de la recherche. La première partie rassemble de nouvelles découvertes mais également plusieurs synthèses sur les décors de Narbonnaise et Aquitaine. L’occasion était aussi offerte de confronter spécifiquement les décors provinciaux provenant de divers horizons (Germanie, Hispanie, Gaule Belgique, Lyonnaise) à ceux du Sud des Gaules, et même aux ensembles italiens puisque quelques articles mettent en valeur des sites d’Italie septentrionale et centrale. Une partie “iconographie, reprises d’archives et découvertes anciennes” fait écho aux dernières synthèses réalisées sur des thèmes aussi riches et variés que les décors de jardin, les imitations de marbre ou les images épiques dans la peinture antique. Outre les problématiques stylistiques et iconographiques, sont enfin discutées les questions de méthodologie, d’expérimentation et d’analyses, de conservation et de restauration, de mise en valeur de ce riche patrimoine. disponible à la commande, notamment chez Ausonius édition, voir lien ci-joint
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
La faïence en France du XIIIe au XIXe siècle
Bulletin de la Société d'Etudes Scientifiques de l'Aude - Tome CXVII, 2017
Association des Publications Chauvinoises (APC), mémoire XLV, 191-206., 2012
École Nationale Supérieure d’Architecture Paris-Valde- Seine, Paris, France, 2021
Les années 1910. Arts décoratifs, mode, design., 2021
Documents pour l'histoire des techniques
Bulletin du Centre d’études médiévales d’Auxerre, 2010