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« Façades peintes polychromes : la vague florentine de 1575 »

in "Aux limites de la couleur: monochromie et polychromie dans les arts (1300-1650)", actes coll., M. Boudon-Machuel, M. Brock et P. Charron (éd.), Brepols, 2011, p. 187-196.

Abstract

Parmi les nombreuses urbes pictae d'Italie, ce ne sont pas des villes polychromes célèbres comme Venise, Trente ou encore Gênes, mais bien une ville à l'apparence monochrome comme Florence qui est l'occasion d'évoquer la relation qui unit la couleur à l'architecture  . En effet, Florence devient une ville polychrome seulement à partir de 575, donc très tardivement par rapport aux autres cas italiens. La spécificité chronologique et géographique, le caractère privé de la commande, l'originalité technique sont autant d'éléments qui définissent la particularité florentine dans ce domaine.