1methodologie etude de cas

Les stratégies mises en place par les hautes instances garantissent-elles la bonne performance du réseau universitaire ? Depuis la création du réseau de l'Université du Québec en 1968 par le gouvernement québécois, ce dernier prend pour rôle d'assurer la bonne conduite ainsi qu'augmenter les performances au sein de ce réseau qui comprend au total dix (10) universités et institutions d'enseignements. Nous constatons néanmoins des problèmes récurrents lies a l'Université du Québec revenant de temps à autre a la une des articles et des presses locaux. Il est donc judicieux de se poser la question suivante : les stratégies mises en oeuvre par les hautes instances sont-elles suffisantes pour garantir la bonne performance du réseau universitaire ? Le contenu du plan sera en premiers lieux d'aborder le sujet de la bonne performance du contrôle de gestion. Deuxièmement, soulever les problèmes des articles de certaines presses tout en parlant des avantages et inconvénients, et finalement formuler des recommandations. La performance d'une organisation telle que le Réseau universitaire québécois se mesure suivant les critères suivant : la croissance, la rentabilité, la satisfaction des clients. Elle vise aussi la cohérence organisationnelle. La performance de l'organisation vise essentiellement par la rentabilité à long terme (Boisvert, 2016). Ainsi tout gestionnaire a le devoir de veiller à ce que ces critères soient atteints. De plus, il est dès lors primordial pour une organisation d'avoir de bonnes stratégies visant à atteindre cette performance. Quand on parle de performance dans le Réseau universitaire québécois (RUQ), quatre (4) grandes responsabilités sont abordées : la responsabilité lie à la mission, la responsabilité économique, la responsabilité sociale, et enfin la responsabilité écologique. Reconnaître l'importance de ces responsabilités sera important quant aux jauges de la performance actuelle du RUQ. Dans un article de « The Province » de janvier 2017, nous constatons une subvention de plus $1 milliard octroyer par le gouvernement canadien et québécois afin d'équiper les institutions postes secondaires. Cette initiative devrait dès lors augmenter la croissance économique. Ce support permettra de renouveler les équipements afin de donner aux étudiants une éducation de qualité. C'est une bonne nouvelle pour les institutions qui pourront ainsi investir dans la recherche et le développement. Malgré cela, il est important de prendre conscience du fait que ces institutions sont souvent assujetties à des pratiques de mauvaises gérances des fonds octroyés, qui poussent souvent le gouvernement à prendre en compte des mesures afin de pouvoir remédier ces problèmes. Comme c'était le cas durant l'année financière 2015 – 2016 où certaines institutions telles que l'UdeM ont dû faire face à des plans de redressement afin de faire face au déficit de plus de $9 millions. Afin de remédier à ces problèmes, il est important pour les hautes instances de mettre en place de bonnes stratégies de gouvernance telle qu'un bon processus budgétaire. Par bon processus budgétaire, nous parlons de procédure budgétaire, de planification budgétaire ou encore de contrôle budgétaire. En somme, ils devraient être capable en collaboration avec les institutions de communiquer la stratégie, favoriser les discussions avec les comités de gestion, chercher et trouver l'information nécessaire, analyser les attentes plutôt qu'analyser la performance. Nous devons tout de même accepter l'importance de la recherche qu'en a la performance des institutions. Sur ce point, le gouvernement met tout en oeuvre pour augmenter la recherche tout en minimisant les couts. Selon Jean-François Venne d'Affaires universitaires le gouvernement québécois durant l'année 2010 – 2011 a octroyé au total $150 millions à trois (3) organisations de recherche qui plus tard seront jumelé en une seule organisation le Fond de Recherche Québécoise (FRQ). Malgré les craintes que cela peut poser, il faut accepter que ce jumelage puisse ouvrir la voie à une meilleure transparence dans la gestion des fonds octroyés par le gouvernement. Malgré cela, le gouvernement devrait tout compte fait se pencher sur le système de rémunération. Actuellement, si nous devons nous filler aux sondages de La Presse, les recteurs québécois sont parmi les sous-payés au Canada. Le gouvernement devrait dès lors mettre en place une meilleure politique de rémunération afin de corriger ce déséquilibre. Il est inconcevable que le Québec qui compte parmi les provinces avec les meilleures universités au Canada ait des problèmes de gestion de fonds. De plus, le gouvernement en collaboration avec les institutions devrait mettre en place de nouvelles stratégies de gouvernance telle que les tableaux de bord afin de pouvoir mieux jauger les performances et pouvoir mieux tacler les problèmes à venir. Les stratégies misent en place par les hautes instances sont acceptables, mais a l'heure de l'ère du développement durable, les dirigeants devraient mettre l'accent sur des sources différentes des sources économiques telles que le social et l'écologique.

L'objectif de cet article est de démontrer comment une démarche d'analyse qualitative rigoureuse et systématique peut être garante de la légitimité sur le plan de la scientificité et de la transférabilité des résultats. Notre propos porte sur l'examen critique du dispositif méthodologique propre à une étude de cas multiple sur le savoir enseigner menée auprès de trois enseignantes expérimentées au collégial. En première partie, le paradoxe méthodologique associé aux savoirs produits par l'étude de cas est exposé. Le dispositif méthodologique de l'étude, présenté en deuxième partie, comprend la délimitation des frontières du cas, les paramètres du processus de généralisation analytique et le savoir produit. Dans la troisième partie, la démarche d'analyse est détaillée, des paliers de traitement des unités de sens aux divers niveaux de synthèse progressive des données. Cet article fait valoir le potentiel analytique de l'approche par l'étude de cas appliquée aux recherches caractérisées par la complexité et la contextualisation. Mots clés ANALYSE QUALITATIVE, SAVOIR DIDACTIQUE, SAVOIR ENSEIGNER, ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, ÉTUDE DE CAS

Revue de Chirurgie Orthopédique et Réparatrice de l'Appareil Moteur, 2006

L'objet de cette matière est la méthodologie de recherche dans le cadre du PFE défini par le plan d'action suivant : observation/analyse/apport de solution (souci d'objectivité).

PSN, 2007

Dans une tentative de compréhension épistémologique de la clinique, on voit celle-ci osciller entre deux pôles : l'un inférentiel, l'autre perceptif. Dans une approche catégorielle de la maladie, la démarche inférentielle remonte des symptômes visibles à la catégorie pathologique censée en être la cause. Ce faisant, on se soustrait ainsi -en psychiatrie -de la perception instantanée qu'on peut avoir du malade, en même temps que de la maladie comme phénomène changeant, qui évolue. D'un point de vue phénoménologique, le modèle perceptif permet au thérapeute, au sein de la rencontre, de voir émerger en lui l'impression d'une attitude globale du patient. Grâce à l'épochè, un sentiment de forme, de Gestalt va se faire jour en lui. Néanmoins, le cas clinique est toujours un construit, un récit produit intersubjectivement, mais toujours à propos de la maladie et à partir du malade. L'accumulation des cas cliniques aboutit au cas « type », cas singulier, en rapport duquel le cas clinique va dès lors pouvoir se reconnaître sur le mode d'un « air de famille », comme le particulier dans son rapport à l'Eidos platonicienne. Permettre le lien entre la perception et l'inférence, comme entre le vécu subjectif et le récit intersubjectif ou la personne et le type, constitue l'apport de l'approche phénoménologique à l'expérience clinique.

Séminaire de méthodologie de la recherche Master 1 Science politique relations internationales et défense 1

TD de Méthodologie, le mercredi de 18h à 19h45.

Tanger 8 Votre objet de recherche est précis, mais trop. Élargissez son champ en considérant son environnement. Sinon, vous risquez d'être vite limité dans vos sources et la documentation ou dépassé par la technicité du sujet, car qui dit « précis », dit souvent aussi « pointu ». Cette première étape est essentielle, ne la négligez pas. Vous constaterez rapidement que cela vous permettra de gagner un temps certain et d'être efficace : rien ne sert de courir, il faut partir à point. Il ya plusieurs techniques pour délimiter le sujet : Le questionnement Quintilien (QQQOCP) : Principe : Il s'agit de poser les questions de façon systématique afin de n'oublier aucune information connue. Quoi ? : Description de l'activité, de la tâche ou du problème Questions :  De Quoi s'agit-il ?  Quel est l'état de la situation?  Quelles sont les caractéristiques?  Quelles sont les conséquences?  Quel est le risque Cible :  Actions, procédés, Objet, méthode, opération... Qui? : Description des exécutants, acteurs ou personnes concernées Questions :  Qui est concerné ?  Qui a le problème?  Qui est intéressé par le résultat?  Qui est concerné par la mise en oeuvre? Cible :  Responsable, victime, acteur, Compétence, qualification Où? Description des lieux Questions :  Où cela se produit-il et s'applique-t-il ?  Où le problème apparaît-il?  Dans quel lieu? Cible :  Lieux, local, distance, service … Quand? Description des temps Questions :  Depuis quand existe ce problème?  Quand cela apparaît-il ?  Quand le problème a-t-il été découvert?  Quelle est sa fréquence? ?  Quand se produit le risque ? Cible :  Mois, jour, heure,  Moments, périodicité, fréquence, prévisibilité  Durée, délais, Comment? Description de la manière ou de la méthode Questions :  Comment se produit le problème?  De quelle manière?  Dans quelles conditions ou circonstances?  Comment procède-t-on ?  Avec quelles méthodes, quels moyens, ... ?  Comment mettre en oeuvre les moyennes nécessaires? Cibles  Méthode, modes opératoires, Organisation, procédures, règlements.