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Revista de neurologia
Chlamydia pneumoniae has relationship with artherosclerosis of carotid artery by seroepidemiological studies and by demonstration of the bacteria in atheromata. We made a case-control study to know the seroprevalence of chronic infection of C. pneumoniae and the presence of the bacteria in arterial biopsies. The cases group was constituted by 26 patients undergoing carotid surgery. In the control group there were 50 patients without atherosclerosis and who underwent removal of their varicose veins. There were matched for sex, age and smoking. We obtained serum samples to determinate IgG antibodies against MOMP by MIF and ELISA. In the cases group, we got the arterial biopsies from carotid artery, and from pudendal arteries in control group. We determined chlamydial DNA on the biopsies by heminested PCR (primers: HL-1, HM-1, HR-1). We measured fibrinogen in both groups. By MIF technique, the seroprevalence was (IgG > 1:32) 69.23% cases versus 24% controls (OR: 7.12, CI: 2.47-20.48...
Médecine et Maladies Infectieuses, 1997
Les quatre esp~ces du genre Chlamydia, C. trachomatis, C. pneumoniae, C. psittaci et C. pecorum ont un cycle commun de d6veloppement intracellulaire obligatoire. Deux formes bact6riennes, le corps 616mentaire et le corps rdticul6, contribuent ~ la formation d'une inclusion dans le cytoplasme de la cellule eukaryote. Les infections humaines ~ Chlamydia occupent une place importante en pathologie infectieuse. Les infections C. trachomatis touchent chaque annde des millions d'individus. Le trachome (s6rovars A, B, Ba, C) s6vit toujours sur le mode end6mo-dpid6mique dans certains pays en voie de ddveloppement sous forme d'une kdratoconjonctivite folticulaire chronique 6voluant jusqu'~t la cdcit6. Les infections urog6nitales ~ C. trachomatis (sdrovars D-K) constituent ta principale 6tiologie bact6rienne en France des MST. L'infertilit6 tubaire et les grossesses extraut6rines en repr6sentent les lonrdes sdqueltes. De plus, la transmission ndonatale est responsable de conjonctivite et de pneumopathie chez le nouveau-n6. Les sdrovars L1, L2, L2a et L sont associ6s h la LGV. Darts le monde animal, C. psittaci frappe de nombreux oiseaux et mammiRres. L'infection humaine, ornithose-psittacose, est le plus souvent une pneumopathie aigu~ acquise par contact avec les oiseanx. C. pneumoniae, de connaissance plus r6cente, est responsable d'infections respiratoires hautes et basses et son association avec des atteintes cardiovasculaires est suspectde. Dans ce contexte, un diagnostic rapide et stir, bas6 snr l'isolement de la bactdrie par culture cellulaire ou mieux par d6tection des anti-g~nes ou des acides nucldiques s'impose. La raise en 6vidence des anticorps sp6cifiques peut ~tre une aide au diagnostic dans certains cas. Le traitement habituel fair appel aux t6tracyclines mais les macrolides r6cents et certaines fluoroquinolones ont une bonne activit6 in vitro. L'dvolution souvent chronique de la maladie et la persistance de l'organisme malgr6 un traitement adapt6 justifient les travaux sur la caractdrisation moldculaire des souches en vue de l'61aboration d'un vaccin.
Revue De Medecine Interne - REV MED INTERNE, 1996
Medecine Et Maladies Infectieuses, 2010
4. Conclusion Cette observation illustre, d'une part, le polymorphisme des manifestations cliniques au cours de la leptospirose et, d'autre part, la possibilité d'atteinte des nerfs crâniens périphériques.
Médecine et Maladies Infectieuses, 1990
Quinze patients ayant indiscutablement pr~sentO une infection pulmonaire Chlamydia psittaci font robjet de cette ~tude. Leurs radiographies pulmonaires d'admission ont ~t~ relues rOtrospectivement par un radiologue non inform~ de r~tiologie de la pneumopathie. Dans 10 cas, l'aspect radiologique rOalis~ est une pneumonie interstitielle ou alv~olo-interstitielle real systOmatisOe prOdominant aux lobes inf~rieurs. Dans 4 cas, il faut souligner que l'aspect radiologique est une pneumonie alvOolaire condensante Iobaire syst~-matisOe.
Revista do Instituto de Medicina Tropical de São Paulo, 1994
Cerebrospinal fluid (CSF) samples from 2083 patients with acquired immunodeficiency syndrome (AIDS) and neurological complications were bacteriologically examined during a period of 7 years (1984-1990). The percentage of patients who had at least one bacterial agent cultured from the CSF was 6.2%. Mycobacterium tuberculosis was the most frequently isolated agent (4.3%), followed by Mycobacterium avium complex or MAC (0.7%), Pseudomonas spp (0.5%), Enterobacter spp (0.4%), and Staphylococcus aureus (0.3%). Among 130 culture positive patients, 89 (68.5%) had M. tuberculosis and 15 (11.6%) had MAC. The frequency of bacterial isolations increased from 1988 (5.2%) to 1990 (7.2%), partly due to the increase in MAC isolations. Bacterial agents were more frequently isolated from patients in the age group 21-30 years and from women (p<0.05).
Neurochirurgie, 2009
We report a case of temporal lobe granuloma caused by Candida albicans in an immunocompetent patient. This 54-year-old patient had experienced headaches and some memory disorders for two to three months before his admission to the neurosurgical department. Cerebralcomputer tomography and magnetic resonance imaging showed a single right-temporal lesion with a large peritumoral edema. We operated on the patient via a temporal approach using neuronavigation and resected the lesion. The anatomopathological result and the cultures of the granuloma showed C. albicans species. The patient received antifungal therapy for three months. No predisposing factors or immunosuppression was found. After seven months, he presented an ischemic cerebrovascular accident of the brain stem and then chronic meningitis complicated by hydrocephalus. The patient's condition progressively deteriorated and he died 18 months later in an other department. C. albicans can be found even in the immunocompetent patient, but is seldom observed. Surgery can provide an accurate diagnosis and therapeutic management in the initial phase, completed by antifungal therapy.
Archives de Pédiatrie, 1999
Immuno-analyse & Biologie Specialisee, 2004
Reçu le 30 mars 2004 ; accepté le 10 juin 2004 Disponible sur internet le 16 août 2004
Journal of Neuroradiology, 2006
L'hydatidose cérébrale (HC) est très rare, à l'origine de 2 % des processus expansifs intracrâniens même en pays d'endémie. Son diagnostic en imagerie repose classiquement sur la tomodensitométrie. L'appréciation de l'impact diagnostique de l'IRM et son rôle dans la prise en charge de l'HC nous a amené à revoir les aspects en imagerie de 25 cas d'HC colligés durant les 15 dernières années explorés tous par TDM. 4 ont eu une IRM avec dans un cas des séquences de diffusion et une spectroscopie par résonance magnétique du proton en mode multivoxel bidimensionnel. 19 des 25 patients avaient moins de 16 ans. Tous les kystes étaient sus tentoriels, 22 dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne, 2 intraventriculaire et 1 intra aqueducal. 18 kystes étaient solitaires, 23 uniloculaires et 2 multiloculaires avec un périkyste épais et calcifié dans un cas. Les kystes étaient multiples dans 5 cas, uni ou multivesiculaires, de plus petites tailles et sus tentoriels sauf un avec une atteinte associée de la fosse postérieure. La taille moyenne était de 7,4 cm. L'aspect typique est celui d'une masse kystique, ronde ou ovalaire à contours nets, à parois très fine, de densité et de signal équivalents à ceux du LCS accompagné d'un important effet de masse (20/25). L'oedème périlésionnel (2 cas) et le rehaussement pariétal (3 cas) sont rares et amènent à tort au diagnostic de tumeurs ou d'abcès (2 cas). Bien que la TDM permette le diagnostic de HC dans la très grande majorité des cas (22/25), l'IRM notamment avec ses multi modalités démontre plus précisément localisation, nombre, paroi, caracteristiques du signal et rehaussement permettant le diagnostic dans les cas atypiques ou compliqués et une planification chirurgicale adaptée.
Revue medicale de Liege, 2019
Cases of Campylobacter jejuni meningitis are extremely rare. In the literature, less than ten cases have been described so far, although Campylobacter spp is one of the most common pathogens causing gastroenteritis in the world. Some common stigmata can be found across these cases such as rupture of the blood-brain barrier, immunosuppression, as well as the tropism of Camplylobacter jejuni for neurological parenchyma. Campylobacter jejuni bacteremia is certainly underestimated because Campylobacter is a thermophilic bacterium and special conditions are required to isolate this organism in blood cultures. PCR is thus an interesting alternative technique for diagnosis. In our case, a patient with a history of resected astrocytoma, had undergone treatment with chemotherapy and radiotherapy because of anaplastic transformation. The patient was admitted with gastroenteritis and Campylobacter jejuni meningitis. The diagnosis was obtained initially on stool cultures and then by PCR of cere...
2012
Objectifs: Evaluer la prevalence et certains determinants de 1'infection cervicale a Chlamydia trachomatis chez des patientes consultant pour contraception. Evaluer un test de dosage immuno-enzymatique pour detecter le C. trachomatis dans cette clientele. Conception: Etude de prevalence. Des specimens endocervicaux etaient analyses au moyen de la culture et le dosage immuno-enzymatique. L'infection a C. trachomatis etait diagnostiquee par culture. Contexte: Une clinique hospitaliere de planification des naissances de Trois-Rivieres, Que. Participantes: Toutes les patientes consultant pour un suivi de contraception de novembre 1986 a mars 1988. Parmi les 533 patientes qui repondaient a ces criteres, les resultats de la culture etaient disponibles pour 495. Mesure principale des resultats: Des donnees demographiques, epidemiologiques et cliniques etaient recueillies a l'aide d'un questionnaire et d'un examen gynecologique. Resultats principaux: On a diagnostique 45 infections (taux de prevalence de 9 %) dont 37 (82 %) ont ete detectees par le dosage immuno-enzymatique. L'age moyen des patientes etait de 19,8 ans, et on retrouvait 98 % des infections chez les 25 ans ou moins. Les deux variables significativement associees a l'infection, soit le fait d'avoir frequente plus d'un partenaire sexuel durant l'ann&e precedente (rapport de cote [RC] 2,9; limites de confiance [LC] de 95 % 1,7 et 5,0) ou durant le trimestre precedent (RC 2,3; LC de 95 % 1,2 et 4,3), auraient permis de depister 58 % et 22 % des infections respectivement. Conclusions: Nos resultats justifient de depister la chlamydiose cervicale au moyen du dosage immuno-enzymatique chez les patientes de 25 ans ou moins consultant a notre clinique pour contraception et suggerent que cette mesure de prevention pourrait etre efficace dans des milieux cliniques comparables. Objectives: To determine the prevalence and risk indicators of cervical infection due to Chlamydia trachomatis among female patients consulting for contraception and to evaluate an enzyme immunoassay for the detection of C. trachomatis in this setting. Design: Prevalence study. Endocervical specimens were analysed by means of culture and enzyme immunoassay. C. trachomatis infection was diagnosed through culture. Setting: A hospital family planning clinic in Trois-Rivieres, Que. Subjects: All 533 female patients who consulted for contraception between November 1986 and March 1988. Results of culture were available for 495 patients. Main outcome measure: Demographic, epidemiologic and clinical information was collected by means of a standard questionnaire and a gynecologic examination. Main results: The prevalence rate of chlamydial infection was 9% (45/495). Enzyme
Immuno-analyse & Biologie Spécialisée, 2012
ANCA are associated with different pathologies among other vasculitis. Their diagnostic, prognostic value, their specificity and their place as a marker of activity deserve to be clarified. Our objectives are to identify these antibodies through the use of indirect immunofluorescence (IIF) and Elisa and to establish possible correlations with neurological diseases. We tested sera from 29 patients for whom ANCA were sought as part of the etiological research. The presence of ANCA by IIF was established in 65.51% cases according to two profiles: cytoplasmic fluorescence (c-ANCA) (44.82%) and perinuclear fluorescence (p-ANCA) (17.24%). These autoantibodies with or without PR3 and/or MPO antigenic targets corresponded to various neurological diseases: infectious etiology, association with vasculitis, but also connective tissue disorders (Sjögren syndrome) and amyotrophic lateral sclerosis in particular context.
Archives de Pédiatrie, 2007
Les infections à Mycoplasma pneumoniae peuvent s'associer à plusieurs types de complications neurologiques, mais elles n'ont jamais été rapportées comme étant une cause potentielle d'un syndrome opsoclonie-myoclonie (SOM) chez l'enfant. Observation.-Nous rapportons l'observation d'une fille de 4 ans qui a présenté, au décours d'une infection respiratoire, un tableau clinique compatible avec un SOM. L'enquête étiologique a permis de retenir une infection à M. pneumoniae dont le diagnostic a été étayé par la présence d'IgM spécifiques et la mise en évidence d'une séroconversion en IgG dans le sang (Elisa). L'évolution sous corticoïdes, immunoglobulines intraveineuses et macrolide a été favorable avec disparition de la symptomatologie. Avec un recul évolutif de 12 mois, l'enfant ne présente aucune séquelle neurologique. Conclusion.-Une infection à M. pneumoniae peut se compliquer d'un SOM et doit donc faire partie de son bilan étiologique. La physiopathologie, encore mal comprise, fait probablement intervenir un mécanisme auto-immun postinfectieux.
Journal of Biological …, 1982
The method is sensitive, reproducible and could be used for testing large numbers of samples. An excellent correlation with the immunofluorescent test suggests that it is applied to routine work. ... Nous avons, dans cette étude, mis au point une méthode immuno-...
Archives de Pédiatrie, 1999
Re~u le 24 avril 1998 ; accept6 le 17 juillet 1998) REsmnE L'infection ~i Mycoplasma pneumoniae peut se compliquer de manifestations neurologiques graves, telle une mEningoencEphalite. Observation. -Un garqon de 9 arts trisomique 21 a prEsentE, au dEcours d'une infection ORL, une mEningoencEphalite se traduisant par une alteration brutale de l'Etat de conscience. L'examen tomodensitomEtrique cErEbral a rEvElE, deux semaines plus tard, un processus infiltratif dans la region des noyaux gris centraux. Le tableau pourra ~tre attribu6 ~ une infection Mycoplasma pneumoniae et l'Evolution sera progressivement favorable. Conclusion. -Mycoplasma pneumoniae doit &re systEmatiquement 6voquE en cas d'encEphalopathie aiguE ; physiopathologie et traitement de cette affection sont encore tr~s incertains. © 1999 Elsevier, Paris mycoplasraa pneumoniae I m~ningoenc~phalite Summary -Mycoplasma pneumoniae encephalitis. Background. -Severe central nervous system diseases, such as encephalitis, have been reported in association with Mycoplasma pneumoniae infections. Case report. -After an ENT injection, a 9-year-old boy with Down's syndrome developed encephalitis revealed by an acute alteration in consciousness. Head computed tomography showed, after 2 weeks, an infiltration in the basal ganglia region. The diagnosis ofMycoplasma pneumoniae encephalitis was made; recovery was complete in a few weeks. Conclusion.-Mycoplasma pneumoniae infection should be considered in all cases of acute encephalopathy; yet the pathogenesis of the disorder is unknown and the treatment uncertain.
2014
Objectifs : Au cours de ces dix dernieres annees, la resistance bacterienne aux antibiotiques, particulierement par production de β-lactamases a spectre elargi (BLSE), est devenue un probleme majeur de sante publique. L’objectif de cette etude est de determiner la prevalence des souches de Klebsiella pneumoniae BLSE au CHNU Le Dantec, Dakar, Senegal. Methodes : Il s’agit d’une etude retrospective sur une periode de 12 mois portant sur 139 souches de K. pneumoniae . La detection des BLSE a ete effectuee par la methode de diffusion par double disque. Resultats : Parmi les 139 souches de K. pneumoniae etudiees, 44 (31,7%) etaient productrices de BLSE. Trente trois (75%) de ces 44 souches etaient d’origine nosocomiale (p = 0,016). Ces souches etaient surtout isolees chez les patients hospitalises dans les unites de soins intensifs (USI : 45,4% ; p = 0,031) et provenaient principalement de prelevements d’urines (59%) et de pus (25%). Toutes les souches de K. pneumoniae etaient resistant...
Revue Neurologique, 2009
de telles absences « fantô mes ». Ce patient a é té enregistré pendant plusieurs heures et plusieurs jours de suite sans aucune absence et le diagnostic initial avait é té une é pilepsie partielle frontale. Cette observation est originale par la ré currence chaque semaine d'EA pendant dix ans et indique que ce nouveau syndrome est en apparence « bé nin » puisque malgré la ré pé tition et la duré e des EA, ce patient n'avait pas de sé quelle neurologique. Il y a une né cessité de dé crire un syndrome é pileptique par le type apparent et principal de crises ce qui justifie la dé nomination d'absence status epilepsy. La connaissance de cette nouvelle entité d'é pilepsie gé né ralisé e idiopathique permettra sans doute d'é viter à ce type de patients des errements diagnostiques et des erreurs thé rapeutiques. 3. Conflits d'inté rê ts Nous, les auteurs dé clarons n'avoir pas de conflits d'inté rê ts.
Presse médicale (Paris, France : 1983), 2007
Wernicke encephalopathy - most often observed in alcoholic patients - is due to severe thiamine deficiency. We report here the case of a 30-year-old woman who presented with hyperemesis and vomiting during the first trimester of pregnancy (hyperemesis gravidarum). Hyperemesis can lead to severe, symptomatic thiamine deficiency and to severe dehydration with prerenal azotemia. Wernicke encephalopathy is a rare complication of hyperemesis gravidarum. It should be diagnosed as early as possible to prevent long-term complications.
Revue de Médecine Interne, 2014
Historique de l'article : Disponible sur Internet le xxx Mots clés : Thrombophlébite cérébrale Cytomégalovirus Cytolyse hépatique r é s u m é Introduction.-L'infection aiguë à cytomégalovirus (CMV) augmente le risque de thrombose vasculaire veineuse ou artérielle mais les thrombophlébites cérébrales demeurent exceptionnelles dans cette situation. Observation.-Une femme de 36 ans immunocompétente présentait une thrombophlébite cérébrale avec cytolyse hépatique révélant une infection aiguë à CMV. Une mutation hétérozygote du facteur V Leiden était aussi identifiée. L'évolution était favorable après traitement anticoagulant pendant un an. Conclusion.-La sérologie CMV doit être réalisée en cas de thrombophlébite cérébrale avec cytolyse hépatique ou syndrome pseudogrippal. L'action prothrombotique du CMV est souvent couplée à d'autres facteurs de thrombophilie innés ou acquis à systématiquement rechercher.
American Journal of Clinical Pathology, 1983
Tous droits réservés © Cahiers de géographie du Québec, 1958 Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
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