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During the last years, mechanical articulated systems have become increasingly important in the field of automation. This work makes two important contributions towards a better utilization of mathematical abstraction: • The first contribution concerns the dynamic modélisation of articulated systems like mechanical manipulators and complex open kinematic chains. The mathematical abstraction by the Lie groups and Lie algebras theory offers an excellent means for simplifying the syntactical form of expressions of models. New methods for describing (by fundamental families) configurations of mechanical systems and an original efficient recursive computational scheme of Newton-Euler dynamics are developed. With this formulation, it should be possible to compute a near-optimal Newton-Euler dynamics in real time. • The second contribution concerns algebraic typing, term rewriting theory and automatic generation of codes. These problems lead to new computer algebra system architectures based on artificial intelligence methods and representations in multi-equational specifications. In this order of ideas, a prototype of computer algebra system (SURVEYOR) and an extension (MEDUSA MF77) of Maple system, based on object oriented programming and artificial intelligence control, are realized. A software tool for generating Fortran and Maple iterative symbolic optimized codes of our dynamic formulation is developed with MEDUSA MF77system .
Parmi les résultats importants dans les espaces complets, citons :
A ma femme Samia et à notre rayon de soleil Nélia A mes chers parents A mes grands parents A mes frères et soeurs tel-00464422, version 1 -
Sebkhas et marais maritimes des marges méridionales du golfe de Gabès Les terres humides du type sebkhas et marais maritimes qui occupent une place de première importance le long du littoral du golfe de Gabès sont généralement considérées comme des milieux sensibles à protéger. Mais dans les faits, ces espaces sont souvent marginalisés et sont parfois le siège de différentes formes de dégradation. Celles qui ont bénéficié d’une certaine valorisation et font l’objet d’une protection sont peu nombreuses et relativement peu étendues ; elles le doivent surtout pour un intérêt de biodiversité. Or, des investigations géoarchéologiques récentes révèlent que ces terres n’ont pas été toujours aussi répulsives que de nos jours puisqu’elles renferment parfois des vestiges archéologiques de différentes époques. Ces derniers sont en fait encore peu explorés. Mais examinés sous le regard croisé des sciences de la terre et de l’archéologie, elles peuvent, outre leur valeur patrimoniale, constituer des témoins de grande importance à la fois, pour l’étude des mutations paysagères récentes, pour la connaissance de l’évolution de la nature du sol, pour la reconstitution des paléo-milieux et pour la connaissance des rapports de l’Homme avec son milieu et son adaptation aux changements des conditions de ce dernier. Tout cela peut favoriser, en même temps, des approches prospectives surtout dans une perspective de changement climatique global caractérisé par une accélération de la montée du niveau marin. Ces terres sont en effet parmi les plus sensibles à un tel changement, en particulier à travers la variation du niveau marin qui doit, logiquement, l’accompagner. Notons aussi que certains de ces milieux offrent aujourd’hui une source de revenu (comme par la cueillette des clovisses, l’installation de pêcheries fixes, l’aménagement de bassins d’aquaculture, l’exploitation de certains végétaux pour leur utilisation dans l’artisanat de la vannerie, …) à un nombre indéniable de familles. Les étudier de plus près et surtout bien connaître les tendances de leur évolution doit aider à une meilleure gestion de leurs ressources et permettre de se prémunir des aléas et risques futurs. Enfin, le golfe de Gabès est l’un des rares espaces à renfermer des marais maritimes typiques (à slikke et schorre) sous climat méditerranéen à nuance aride. Ce projet aidera à mieux connaître la nature et la dynamique de ces milieux originaux. DIR. C. Morhange (Marseille) et A. Oueslati (Tunis)
Position de thèse, 2022
Position de la thèse intitulée : L’architecture à l’École des arts décoratifs. Regards sur l’évolution d’un enseignement : de la culture générale artistique à la formation de l’architecte diplômé (1831-1942). Position publiée dans : https://ensarchi.hypotheses.org/.
Various essays on Tibetan / Buddhist philosophy, all in French. Published in 2001.
« J’apprends le français en chantant » : Proposition d’un modèle didactique transdisciplinaire d'enseignement de la langue française, en Grèce
Dans le courant de l'année 2013, une simple recherche sur internet me révéla l'existence de Fogel dite Fania -Meerovitch, et de son fils, Pierre Michel Thoumini de la Haulle, sous un angle tragique. Leurs noms figurent en effet sur une liste de déportés morts au camp d'Auschwitz pour lesquels un arrêté ministériel du 26 juin 2000 (publié le 1er septembre suivant) a institué l'apposition de la mention « Mort en déportation » sur tous les actes et jugements déclaratifs de décès se rapportant à ces personnes. Le nom Thoumini de la Haulle m'est familier en raison de son dernier titulaire masculin, Félix (1882-1968), époux de Fania et père de Pierre Michel. Félix avait en effet une parenté éloignée avec ma famille et entretenait des relations épisodiques avec mes arrière-grand-père et grand-père Oursin durant la première moitié du 20 e siècle. Félix avait une personnalité originale selon eux. Musicien professionnel, historien amateur, passionné par son ascendance aristocratique, il portait un titre de comte incertain et s'était forgé une très improbable origine italienne. Le nom d'origine de sa famille était d'ailleurs « Thoumin de la Haulle » et fut altéré en « Thoumini de la Haulle » au début du XIXe siècle à la suite de circonstances familiales jugées embarrassantes. Les deux filles de Félix, Jeanne (1906-ca. 1980) et Marie Antoinette (1913-1981), sont mortes sans descendance ni proches parents. Jeanne eut des contacts sporadiques avec ma famille avant de disparaitre sans laisser de trace. Aussi la découverte de Pierre et de sa déportation fut un choc et éveilla ma curiosité car je n'avais jamais entendu parler de lui auparavant. En revanche, je possède un faire-part du mariage de ses parents adressé à mes grands-parents en 1941, et le vague souvenir d'un « drame » qui s'est conservé dans ma famille mais sans plus de précision. Dans ce contexte, j'ai été amené à découvrir l'existence de l'Association pour la Mémoire des Enfants Juifs Déportés (AMEJD) qui poursuit la magnifique tâche de rechercher les noms et âges des enfants déportés dans les registres scolaires de Paris. Ce travail colossal a permis d'apposer 45 plaques commémoratives dans les écoles du 11 e arrondissement au cours de cérémonies à leur mémoire. Et justement, le nom de Pierre figure sur une stèle érigée à la mémoire des enfants déportés non-scolarisés et située dans le Jardin public de la Folie-Titon (Document n°11). Le nom inscrit est toutefois incomplet omettant « de la Haulle ». J'ai alors contacté l'AMEJD pour apporter le petit supplément d'information en ma possession et en savoir plus sur les circonstances de la déportation de Pierre et de sa mère. C'est ainsi que mon chemin a croisé celui d'Odette Szylit à laquelle vont mes plus chaleureux remerciements. Ensemble, grâce à sa bienveillance et à sa ténacité, nous avons suivi les quelques traces déjà presque effacées laissées par Fania et Pierre. Nous avons pu ainsi restituer une bonne part des terribles circonstances entourant leur déportation. Dans le cas de Pierre, c'est la découverte de la tragédie de sa naissance et de sa brève vie en détention, d'abord à l'Hôpital Rothschild puis au camp de Drancy, avant sa mort en déportation à l'âge de 14 mois. Concernant Fania, une sombre réalité nous a été révélée puisque son arrestation découle d'une dénonciation anonyme faite aux autorités françaises et que les informations entourant cette dénonciation laissent peu doute quant à la vengeance d'une personne proche. Jean-Philippe Oursin
Dans un premier temps, cette étude s'est construite avec une volonté : décrire les limites de la ville. Cette opération, si on cherche les limites aux frontières de la ville, s'avère hasardeuse. D'autres s'y sont aventurés, ils y ont découvert des villes diffuses, ou autres Zwischenstadt 1 , qui dispersent le tissu urbain en périphérie et ne permettent pas la distinction d'une limite claire : au mieux des franges, au pire l'effritement de la ville sur des kilomètres, à travers des étalements périphériques. La ville contemporaine n'est plus un ensemble de constructions contenues face à l'étendue des terres agricoles. Elle ne s'aborde pas comme une entité indépendante mais plutôt dans son contexte, reliée à d'autres villes et à un territoire. Une première hypothèse émise a été la différenciation entre la ville et le territoire, avec l'identification d'un paradoxe : la ville se différencie du territoire, mais elle en fait aussi partie. Il semblerait donc que, plutôt que la distinction de deux éléments indépendants, l'étude de la ville et du territoire nous indique un saut d'échelle de l'un à l'autre. Selon le géographe Marcel Roncayolo, «le territoire est, en soi, un phénomène multidimensionnel répondant à sa logique propre, à des impératifs autre que ceux de la ville» 2 . Un territoire est en effet une étendue spatiale impliquant une appropriation. Le propre du territoire est d'être une construction mentale, reliant une multiplicité d'espaces entre eux. Son image est aussi fabriquée par simultanéité : un territoire unifie ces espaces dans une unité temporelle, qui est le connecteur de ces lieux. Une manifestation concrète du territoire est la maille des réseaux : ils sont l'élément connecteur des espaces, et permettent de les repérer les uns par rapport aux autres en mesurant des distances et surtout des durées. La ville se disperse dans le territoire. Pourtant, on peut entrer et sortir d'une ville. La recherche s'est alors déplacée, pour se concentrer sur l'entrée de la ville, non pas à sa lisière mais en son coeur : la gare. En effet, la gare apparait comme une porte clairement identifiée de la ville. Elle est le lieu où le saut d'échelle entre la ville et le territoire pourrait être observé : l'espace où le réseau se connecte à la ville. On a alors émis la seconde hypothèse fondatrice de cette étude : si la gare est l'articulation entre le réseau et l'espace urbain, ce 1 Indovina F, Dalla città diffusa all'arcipelago metropolitano; Milano, Franco Angeli, 2009 Sieverts T, Entre-ville, une lecture de la Zwischenstadt; Marseille, Parenthèses, 2004 [Zwischenstadt, zwischen Ort und Welt, Raum und Zeit, Stadt und Land; Basel, 2001] 2 Roncayolo M, La ville et ses territoires, Paris, Folio, 1982, p.182 Objet : la ville et le territoire VDH 2 * IUAV / ENSAPB * UN MERIDIEN HORIZONTAL * Marion Nielsen changement d'échelle doit pouvoir être repéré et sa forme spatiale saura être décrite. Cette étude architecturale veut se positionner comme une recherche expérimentale sur l'espace. En effet, l'architecture comme matière théorique, peut difficilement se passer de l'expérience spatiale, qu'elle soit celle que d'autres ont réalisé avant ou celle du chercheur. Cette étude est la continuité d'autres recherches : en 2005 notamment, le projet Milan et Mat 3 avait conduit à l'étude de la ville de Milan comme d'un échiquier. La partie jouée sur le plan de la ville se retranscrivait dans la réalité et permettait au joueur de découvrir la ville, non plus en tant que plan mais en tant qu'expérience sensible et poétique. Cette expérience, inspirée par Italo Calvino et le groupe OuLiPo, proposait des contraintes préalables, dans une volonté d'expérimenter de manière construite. C'est ici la même volonté qui s'est affirmée : expérimenter le domaine du sensible, en se fixant des règles afin de pouvoir l'analyser de manière ordonnée. « [Nous sommes des] rats qui ont à construire le labyrinthe dont ils se proposent de sortir. » 4 Les OuLiPiens, François le Lionnais, Georges Pérec et Raymond Queneau en tête, ont revendiqué ce type de méthode : fabriquer en marge du projet des règles qui permettront aux résultats issus du domaine du sensible d'être partagés et ordonnés. Pour explorer un territoire par ses éléments visibles et ressentis, il va nous falloir construire un cadre qui nous permettra de livrer des résultats qui ne soient pas uniquement une expérience sensible personnelle.
L'ESG est un état de synthèse obligatoire pour les entreprises dont le chiffre d'affaires atteint ou dépasse 7 500 000 DH et qui donc doivent tenir leur comptabilité selon le modèle normal. Cet état permet de : Décrire en «cascade» la formation du résultat (1 ère partie du tableau) Calculer la capacité d'autofinancement de l'entreprise (2 ème partie du tableau). Cet état mentionne en tête les dates de début et de fin de l'exercice et ceux de l'exercice précédent. I-Tableau de formation des résultats (TFR) (voir annexe disponible sur le plan comptable): Les différents SIG mis en évidence sont les suivants : a-La marge brute sur ventes en l'état : Marge bute /ventes en l'état = ventes de marchandises-Achats revendus de marchandises Avec Achats revendus de marchandises = Achats de marchandises +/-variation de stock de M/ses La marge brute est le solde fondamental pour les entreprises de négoce C'est-à-dire que pour chaque 100 dh de ventes l'entreprise réalise une marge de (taux de marge)dh b-La production de l'entreprise Production de l'exercice = vente de biens et service produit + variation des stocks des produit + immobilisations produites par l'entreprise pour elle-même. La notion de production est réservée aux entreprises ayant une activité de fabrication ou de transformation de biens et services. Pour les entreprises exerçant à la fois une activité commerciale et une activité industrielle, on détermine : Une marge commerciale pour ce qui concerne l'activité de négoce Une production pour ce qui relève de l'activité industrielle. D'où : Production globale = Marge brute sur ventes en l'état + Production de l'exercice c-La valeur ajoutée (VA): d-Avec Consommation de l'exercice = Achats consommés de M/Fournitures + Autres charges externes La VA exprime la richesse crée par l'entreprise. C'est la véritable production d'une entreprise industrielle. La VA peut se déterminer également par une approche additive : la VA produite par l'entreprise est partagée entre : Le personnel : salaires et prestations sociales L'Etat : impôts et taxes Les apporteurs de capitaux (associés et créanciers) : intérêts, dividendes L'entreprise : l'autofinancement (bénéfices mis en réserve et dotations aux amortissements et provisions) Ainsi la VA se définit comme la rémunération des facteurs de production. Valeur ajoutée Ratio d'intégration économique = Production de l'exercice Plus ce ratio est proche de 1 plus l'entreprise est mieux intégré
De quelques représentations de figures féminines en transaction avec des dieux. Exercice d'exploration thématique différentielle en histoire comparée des religions.
Le rite islamique : des bicéphalies du ḥaram et du pouvoir au puzzle coranique. Cet article vise à rendre visible un champ d'analyse du fonctionnement essentiellement politique du Coran qui ne cite pas toujours ses sources textuelles et surtout cultuelles de références surtout quand il en reprend les apports, et qu'il se pose comme révélateur légitime de la parole de Dieu instituée par le livre sacré et imposée comme loi-loi islamique : l'autorité exercée par le prophète. Au niveau des attitudes cultuelles un antagonisme profond entre deux visions s'affrontent sous couvert d'un vocabulaire lâche et polysémantique. Pour séparer le mythe et la vérité, nous avons remarqué que les méthodes philologiques peuvent consolider les analyses codicologiques et peuvent être sollicitées pour mieux cerner et comprendre la diversité et la complexité des attitudes et des sentiments dans cette communauté en proie à la fitna. Notre lecture critique nous fait observer que de telles réinterprétations peuvent contribuer à l'évolution d'une situation de coexistence conflictuelle des approches sentimentales et mentales d'appropriation unique de la Parole divine, comme la haine du juif et du chrétien, les préjugés compensatoires. Comme nous le démontrons, le Coran n'est que peu vecteur d'un culte sinon minimaliste; c'est essentiellement une orthopraxie créée résultant d'un travail scribal et exégétique qui est fondamentalement et particulièrement livrée à l'appréciation des exégètes et dont la valeur se définie toujours dans sa compétition avec les autres messages-la Bible (Ancien et Nouveau Testament) dont l'exactitude est toujours la principale qualité. Nous limiterons la réflexion dans cette contribution à la question qui se voyait refuser sa légitimité depuis des siècles par tous les niveaux des débats sur l'islam (religion figée de son atemporalité), tout en critiquant également leurs manquements au respect des règles de la recherche scientifique et du rôle qu'y jouent les systèmes de représentations sociolinguistiques partagées au sein de la communauté des musulmans, les marques transcodiques et les effets d'interprétations du Coran : la symbolique islamique. Ainsi, l'objet de cette étude est de voir si le Coran contient-il des marqueurs idéologiques, des traces matérielles d'interventions politiques concernant le culte ? Le Coran contient-il des marqueurs idéologiques, des traces matérielles d'interventions politiques concernant le culte ? Non, si on se fie à la légende pieuse professant un texte intemporel en dehors des affres politiques, un texte et un culte universels dès les origines. Texte sorti du temps mais épousant comme un gant la vie de Muḥammad ou du moins toujours relu à l'aune des méandres politiques de cette dernière, culte originel et hors de toute vicissitude mais rétabli par cette figure emblématique suite à un conflit avec le judaïsme. Oui, si on est attentif au sens des mots, si on observe minutieusement les hétérogénéités des discours, des textes et des lieux du culte. Oui, si on considère les liens entre la purification du culte et le rôle symbolique de Muḥammad. Ainsi la vulgate canonisée du texte intemporel est proclamée « uthmanienne », la qibla du culte des origines est imposée hiérosolymitaine 1 puis mecquoise au fil des coalitions opérées par le réceptacle du discours sacré. Les rites quant à eux, sont de véritables palimpsestes judéo-nabatéens avec une double 1. La strate exégétique évoque un conflit de qiblas.
: L’abri sous roche det Caillaü sur le plateau de Lhers (Pyrénées-Atlantiques) a livré six niveaux d’occupations lors d’un sondage réalisé en 2006. Deux de ces niveaux ont été datés du Moyen Age par le 14C, un autre de la fin de l’Antiquité grâce aux céramiques qui y ont été découvertes et le plus ancien a pu être placé au Néolithique récent ou final par trois pièces lithiques, dont une armature de flèche tranchante. La place de ces occupations est abordée ici. Mots-clés : Abri sous roche, Néolithique, Antiquité tardive, Moyen-âge.
Les conceptions du droit d'auteur dans les systèmes romanistes et de common law apparaissent particulièrement contrastées. Dans les premiers, la protection est centrée sur la personne du créateur, alors que le copyright, droit anglo-saxon, protège surtout les investissements économiques. En matière de droit moral, ces différences s'avèrent également très notables puisque le droit romano-germanique accueille fortement cette notion tandis qu'elle existe seulement de manière limitée, voire résiduelle, dans les pays de common law.
La révolution technologique qu'apportent les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) est une transformation du système productif comparable à celle de la révolution industrielle. Les NTIC ouvrent une nouvelle dimension économique.
TIDIANE NIANG LY, 2018
Le memoire parle en general des conditions difficiles dans lesquelles travaillent les dockers au niveau du port de Dakar. Cela represente un traail de deux ans ayant aboutit par un memoire de master deux soutenu au departement de sociologie en 2018
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