Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
2008, Actes de la recherche en sciences sociales
…
20 pages
1 file
2017
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. Cet article est diffusé et préservé par Érudit. Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de
Guerres Mondiales Et Conflits Contemporains, 2006
htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info.
Voici un concept nécessaire pour la progression de la Société Civile dans le contexte locale et par la suite mondiale. C'est une proposition de loi. Cette idée origine du fait que la guerre fait des ravages en détruisant nos accomplissements matériels et sociaux. À travers l'histoire de l'humanité la prospérité accumulée par notre travail est constamment renversée par la perpétuation de la guerre. De plus, notre histoire est représentée par un cercle vicieux militariste; car l'agressivité engendre sa réplique. Ce qui signifie que la guerre empêche la prospérité accumuler par les travaux collectifs en quelque temps. C'est un problème qui est à un niveau fort supérieure que l'exploitation ouvrière évident. Pour résoudre cette problématique de destruction mutuelle, il faut initier un processus de paix mondiale, en rendant la guerre inefficace! En temps qu'un processus simple d'autodéfense cela dépasse l'inclination de chercher les moyens de gagner un conflit, mais plutôt d'arriver à une entente. Ceci nécessite une loi internationale obligeant les deux partis d'un conflit à assumer les responsabilités des dommages civils. C'est avec cette logique que l'on doit concevoir une telle loi; que toutes les personnes et constructions non militaire (constructions au cour des développements économique de la société) tuer, blessé, détruit ou endommagé doit être remboursé par les responsables, réciproquement. Souvent le parti gagnant d'un conflit demande une compensation pour les dommages civils mais en réalité il devrait être mutuelle depuis que la justice ne repose pas seulement avec les victorieux.
2004
La fin de la bipolarité avait pu faire espérer la construction d'un monde plus pacifié. L'euphorie autour de l'idée d'un « nouvel ordre international » qui aurait permis la mise en oeuvre d'une « sécurité globale »-avec tous les faux-semblants qui accompagnaient ce discours-fut pourtant de courte durée. Certes, la fin des années 1980 a transformé sensiblement le contexte inter-étatique dans lequel les questions de sécurité étaient posées, en particulier au sein de l'Organisation des Nations Unies (ONU). Elle a notamment permis une réactivation sensible des activités du Conseil de sécurité qui, pour la première fois depuis quatre décennies, n'était plus systématiquement paralysé par l'opposition Est-Ouest et l'usage du droit de veto (1). Cela a concouru, pendant de brèves années, à l'idée d'une « renaissance des Nations Unies », que marqua particulièrement l'« Agenda pour la paix » de Boutros Boutros-Ghali (2). Les années qui ont suivi nous ont montré bien des faux-semblants d'une césure moins évidente qu'il n'y paraissait. Il n'en est pas moins vrai que les débats sur ces questions n'ont jamais cessé, en particulier autour du fameux continuum rétablissement-maintien-consolidation de la paix. Le fait que l'ONU ait été appelée à intervenir dans un nombre croissant de conflits internes n'est pas étranger à cette évolution. La transition guerre-paix ne s'y joue plus sur des champs de bataille ou le long de lignes de front, mais avant tout au coeur de l'articulation Etat-société, physiquement et symboliquement, dans la triple crise du lien politique (relation à l'Etat), social (lien à la communauté et à l'environnement le plus immédiat comme le quartier) et domestique (lien familial et inter-générationnel), que traduisent la plupart des guerres contemporaines. Pourtant, les ajustements opérés dans les opérations de paix comme dans les programmes de l'en-(*) Chercheur au Centre d'Etudes et de Recherches Internationales (CERI). (1) Les Etats-Unis et l'URSS avaient pu s'entendre, à l'époque, pour une inscription de la décolonisation à l'ordre du jour de l'Assemblée générale ; mais le respect du principe de non-ingérence a, par la suite, fait l'objet d'un assez fort consensus entre les grandes puissances et les Etats nouvellement indépendants. Les cas de l'apartheid et de la Rhodésie du Sud furent les deux exceptions à cette règle, sachant qu'ils ont euxmêmes été inscrits dans la perspective de la décolonisation. (2) Agenda pour la paix, DPI/1247, Nations Unies, New York, juin 1992. Bien que moins connu, le Rapport sur l'état de l'organisation préparé par le précédent Secrétaire Général, Javier Perez de Cuellar, fut considéré par un certain nombre d'observateurs comme marquant le commencement d'une nouvelle époque dans les relations interétatiques et les efforts pour résoudre les conflits : cf.
1988
Jusqu'ici, l'existence des armes nucléaires a dissuad é les puissances qui les possèdent de recourir à la force sans restriction. Il est fort plausible qu'une telle réalité ait empêché une guerr e d'éclater au cours des quatre dernières décennies. Malgré tout, nou s
Liberté, 2022
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
Les violences criminelles comme menace pour la paix civile en Afrique du Sud A quelques semaines de la coupe du monde de football, l'Afrique du Sud tente de se dresser en parangon des sociétés africaines. A la fin des années 80, quand, déjà, le régime d'apartheid vacillait, nombreux furent les Cassandre qui annoncèrent, dans une vision plus ou moins apocalyptique, un avenir sombre à ce qui allait devenir, sous l'égide de Nelson Mandela, la nation arc-en-ciel. Ce tableau esquissait l'improbable horizon d'une société multiculturelle en paix avec elle-même. Se dessinait plutôt un pays en proie à de sanglantes guerres ethniques. Quinze ans après les premières élections libres et démocratiques qui virent arriver au pouvoir, en 1994, l'ANC 1 , l'Etat sud-africain fait désormais valoir ses atouts, qu'ils soient économiques – l'Afrique du Sud représente ainsi le quart du PIB du continent africain-, politique, la stabilité du pays, malgré des problèmes de corruption, n'est a priori pas en danger, ou encore culturels, à l'image de l'apparente unité syncrétique d'une nation qui reconnaît onze langues officielles. En somme, l'Afrique du Sud serait le symbole d'une réussite africaine, la vitrine d'un pays ayant relevé avec brio le défi de la réconciliation et de la mondialisation. Cette apparente victoire de la paix sur la guerre ne doit pas occulter de profondes divisions ethniques, sociales, économiques qui, souvent, se superposent et se manifestent par des inégalités multiples et des violences plurielles. Miroir grossissant mais aussi déstructurant de nos maux contemporains, l'Afrique du Sud constitue une sorte de laboratoire social où l'on peut étudier des dynamiques complexes de persistances de ségrégations et de restructurations de la société. Elle tire de sa nouvelle configuration une singularité complexe. Cet article propose de cerner et d'analyser cette dernière en se focalisant sur un aspect finalement assez méconnu au-delà les frontières du pays : celui de la criminalité, qui représente, avec le Sida, le problème sociopolitique majeur auquel doivent faire face les sud-africains, fussent-ils inégalement touchés par le phénomène. D'où des questions liées à l'appréhension et à l'évaluation des menaces liées aux violences 1 Le Congrès National Africain (ou ANC pour African National Congress en anglais) est un parti politique d'Afrique du Sud membre de l'Internationale socialiste. Créé en 1912 pour défendre les intérêts de la majorité noire contre la domination raciste blanche, il fut déclaré hors-la-loi par le Parti National pendant l'apartheid en 1960. Il est relégalisé en 1990 tandis que l'apartheid fut aboli en juin 1991.
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
Materiali Foucaultiani , 2021
Revue des sciences de l'éducation, 1997
las Navas de Tolosa 1212-2012 Miradas cruzadas
Diplômées , 2022
Macleod, Dufault, Dufour, Morin (dirs). Relations Internationales. Théories et Concepts, 2008
La publicité de l'administration, 2014
Actes de la recherche en sciences sociales, 2008
Nouvelles pratiques sociales, 2012
Laval théologique et philosophique, 2000