Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
…
8 pages
1 file
Parler de la vie éternelle au moment d'un décès est aujourd'hui délicat: Nous avons des connaissances qui font douter des affirmations dogmatiques des religions. Cependant, la vie depuis les origines se transmet et se complexifie et nous en gardons des traces dans nos gènes et nous en transmettons une partie à nos descendants. La "vie éternelle" n'est pas celle des individus mais de ce qui "fait la vie" de toute la création. Les récits de mort imminente, les découvertes sur la communication des arbres, la présence ressentie de quelques "chers disparus" nous interrogent sur ce qui nous échappe encore: les être vivants seraient-ils sublimés dans l'univers sous une forme encore inconnue ? Je suis fondamentalement sceptique, mais je suis persuadé de la sincérité des témoins de cette vie au delà de la vie.
Préparation du Camp de Vaumarcus, 2021
Comment comprendre le concept de "vie éternelle" quand la mort rôde autour de nous. Il y a des expériences faites par les vivants de tous les temps qui sont peut-être significatives d'une réalité qui nous échappe encore. La vie depuis le Big Bang se transmet d'année en années, de siècles en siècles, des plantes aux arbres, des cellules aux animaux, et nous transmettons lADN de nos ancêtres à nos descendants. Est-ce cela l'éternité de la vie ? La bible nous en dit peut-être plus que nous l'avions cru,
Villages Lorrains nº 176, 2021
Regard d'archéologue sur le devenir des restes humains et le respect du aux morts.
Esprit, 2006
Distribution électronique Cairn.info pour Editions Esprit. © Editions Esprit. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. * Cette étude sur une formule et un texte de Paul Ricoeur s'inscrit dans une série intitulée « À quoi tenons-nous ? », dont elle constitue le quatrième volet.
Les écrits, 2019
Tous droits réservés © Les écrits de l'Académie des lettres du Québec, 2019 Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne. Cet article est diffusé et préservé par Érudit. Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de
Revue française de psychanalyse, 2003
Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
2010
Mots-clés Aspectualité du temps, changement, coéternité, conservation, création, devenir temporel, Dieu, état-du-monde, éternité, éternité divine, intemporalité, intervalle de temps, laps de temps, nouveauté, omnitemporalité, ordre temporel, physique de la relativité, présentisme, relation intemporelle-temporelle, temps croissant, temps décroissant, théorie tensée du temps, théorie non tensée du temps, théisme, trilemme inconsistant, quantificateur tensé Résumé Cet ouvrage fait une contribution dans le domaine de la théologie philosophique. Il a pour sujet la nature de l'éternité de Dieu, et plus largement le rapport que Dieu entretient avec le temps, dans un contexte théiste. En admettant, d'une part, que Dieu est intemporel et, d'autre part, que l'univers est caractérisé par le devenir temporel, il y a ultima facie un problème non causal de savoir comment il est possible que Dieu cause que l'univers temporel existe. En effet, un réalisme non éternaliste envers le devenir temporel permet les aspects minimaux de la venue à l'existence, du passage de l'existence, de la venue à participer à une relation, etc. On tire alors de l'aspectualité du temps un argument ayant une portée générale pour les relations intemporellestemporelles. Suivant cet argument, si x participe intemporellement à une relation avec y, alors il suffit que y vienne à participer (à un instant donné) à cette relation avec x (ou qu'il vienne a cesser à cet instant d'y participer) pour que x subisse un changement extrinsèque; or si x change extrinsèquement, alors il est temporel ou en tout cas il devient temporel. Cette conséquence est problématique. La solution défendue au problème tel qu'il se pose pour une théorie de l'éternité divine consiste à rejeter que Dieu est intemporel et à poser qu'il existe dans un temps présentiste. Elle est conditionnée par des contraintes sur ce qui compte comme création par Dieu: elle explique comment il est possible que Dieu existe sans que l'univers existe (soit parce qu'il ne l'a pas encore créé soit parce qu'il l'a annihilé); elle rend compte aussi de la possibilité de nouveauté dans la réalité et du cas extrême où l'univers créé est remplacé par un autre. En outre, l'étude fait des contributions ad extra à la sémantique et à la métaphysique du devenir temporel, par un traitement du temps verbal en termes de quantificateurs tensés primitifs (pour des raisons sémantiques) et en étudiant les rapports entre ordre temporel, devenir temporel, et aspectualité du temps.
Voix et Images, 2007
Résumé Le présent article a pour objet l’analyse des différentes figures de l’artiste qui habitent l’oeuvre dramatique de Michel Marc Bouchard. À travers une relecture du Banquet de Platon et une mise en relief de la tragédie des Atrides, constamment réactivée d’une pièce à l’autre, ces figures d’artistes apparaissent à la recherche d’une sorte d’immortalité qu’ils échouent toutefois à atteindre, faute de pouvoir s’affirmer comme sujet tant de leur vie que de leur art, soit parce qu’ils confondent les deux, soit parce qu’une force extérieure les en empêche. Cette impuissance traduit un problématique rapport à la Loi, celle de Dieu, du Capital ou des Institutions sociales, mais surtout celle du père/Père, avec lequel ces personnages entretiennent de fort difficiles relations.
Recherches de Science Religieuse, 2020
Eternal life: corporal, dynamic and universal? Contemporary debates and the issues involved The mystery of eternal life is approached on the basis of what most radically belongs to it : its Christological and Trinitary centre. It is in light of this that we can address three questions – chosen for their intrinsic importance and their place in contemporary debate – touching on bodiliness, temporality and the universality of eternal life. The first is taken up in reference to debates on resurrection in death and the possibility of thinking about the conformation to Christ in the light of phenomenology and structural ontology ; the second, on the basis of the tension between stability of beatitude and vitality of desire ; the third, in taking into account the issues of hope for a universal salvation and the power of the arguments for contemporary universalism. Français Le mystère de la vie éternelle est appréhendé à partir de ce qui lui est le plus radicalement propre : son centre christologique et trinitaire. C’est à la lumière de celui-ci que sont affrontées trois questions – choisies pour leur importance intrinsèque et leur place dans les débats contemporains – touchant respectivement à la corporéité, à la temporalité et à l’universalité de la vie éternelle. La première est abordée en référence aux débats sur la résurrection dans la mort et à la possibilité de penser la conformation au Christ à la lumière de la phénoménologie et de l’ontologie structurale ; la seconde, à partir de la tension entre stabilité de la béatitude et vitalité du désir ; la troisième, en tenant compte des enjeux de l’espérance d’un salut universel et de la puissance des arguments de l’universalisme contemporain.
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
Le dépassement des limites. Au-delà de l'humain. L. Gourmelen éd., 2022
Archives de sciences sociales des religions, 2020
Journal of French and Francophone Philosophy, 1993
Gérontologie et société, 2020
Frontières, 2007
UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES, 2005
Cahiers de recherche sociologique, 2021
Classique Garnier. Etudes digitales, 2016