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2011, in Dictionnaire de la violence, Michela Marzano (ed.), Paris, Puf
Mil neuf cent, 2008
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Les Cahiers du Centre de recherches historiques, 2002
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Mil neuf cent, 2004
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Mil neuf cent. Revue d'histoire intellectuelle, 2007
Société d'études soréliennes | « Mil neuf cent. Revue d'histoire intellectuelle » 2007/1 n° 25 | pages 91 à 100 Distribution électronique Cairn.info pour Société d'études soréliennes. © Société d'études soréliennes. Tous droits réservés pour tous pays.
Mil neuf cent. Revue d’histoire intellectuelle, 2014
L’objet de cet article est de présenter Sorel comme un penseur intempestif qui a exploré des territoires philosophiques redécouverts par les théories radicales contemporaines. L’ontologie pluraliste de Georges Simondon et de Gilles Deleuze, dérivée des écrits d’Henri Bergson et de William James (qui ont influencé Sorel comme Deleuze), fournit un cadre pour l’analyse de la philosophie de la science chez Sorel et de deux concepts clés de sa pensée politique : la « diremption » et la « Cité ». La conception antagonique de la politique de Chantal Mouffe et Ernesto Laclau, inspirée d’Antonio Gramsci, sert de fondement pour une relecture du concept de violence chez Sorel. L’universalisme d’Alain Badiou est invoqué en référence au mythe sorélien, et enfin l’analyse du concept de grève générale chez Sorel est éclairée par l’idée de la suspension et de l’arrêt présente dans les écrits de Walter Benjamin et de Giorgio Agamben.
Mil neuf cent, 1993
I cadaveri nell’armadio, 2015
Un jeune homme bizarre, au nez pointu et aux yeux louches, un chapeau de paille enfoncé sur sa tête, un panier et un bâton à la main, se promène sur les rives de la Seine, accompagné d'une demi-douzaine de brebis galeuses et boiteuses, proférant un tel discours: «Paissez, paissez librement, chères brebis, mes fidelles compagnes: la Déité que i'adore a entrepris de ramener dedans ces lieux la félicité des premiers siècles, & l'Amour mesme qui la respecte se met l'arc en main à l'entrée des bois & des cavernes, pour tuer les loups qui voudroient vous assaillir» 1 ; et le narrateur extra-diégétique de commenter: «avec tout cet équipage il estoit fait à peu pres comme Belleroze, lors qu'il va representer Myrtil à la pastoralle du Berger fidelle» 2 . C'est ainsi que le lecteur fait la connaissance de Lysis, le héros du Berger extravagant: atteint de folie romanesque pour avoir lu trop de romans pastoraux et avoir assisté à trop de représenta-1 ch. soreL, Le Berger extravagant. Ou parmy des fantaisies amoureuses on void les impertinences des Romans & de Poësie [1627-1628], Genève, Slatkine Reprints, 1972, p. 1. 2 Ivi, p. 3.
Actes Sémiotiques 125/2021, 2021
La violence est au foyer de la scène culturelle du sens. Dans les Métamorphoses, Ovide en raconte l'origine. Lorsque les Géants, cherchant à s'emparer du royaume céleste, eurent entassé des montagnes pour y accéder, le père des cieux les fracassa de sa foudre, elles écrasèrent les Géants et leur sang imbiba Gaïa, la Terre. Celle-ci donna vie à des flots de sang encore chauds et, de peur que disparaisse toute trace de sa race, en forma des êtres à face humaine. Mais cette génération aussi méprisa les dieux et, particulièrement avide de carnage et de cruauté, elle se livra à la violence ; on reconnaissait qu'elle avait été créée avec du sang. 1 De ce sang, les arts se sont nourris ; ils ont élaboré d'innombrables représentations de la violence et des chercheurs comme Pierre Clastres ou René Girard l'ont identifiée comme l'un des moteurs fondamentaux de l'histoire culturelle. Force archaïque en ce qu'elle est à la fois originaire et toujours présente, la violence est chaque jour objet des discours médiatiques. Les sciences sociales bien entendu s'en occupent, mais toujours comme s'il s'agissait d'un phénomène en soi évident, que chacun est capable de reconnaître comme une « donnée de fait », sans que l'on interroge plus avant sa définition. Avec toutes les évidences intuitives que le mot suscite, son spectre sémantique est très large : il mêle les traits modaux du « pouvoir » et de la « force » (en allemand réunis, sous l'expression Gewalt) avec les figures actantielles du contrôle, de la domination et de la soumission, ainsi que la manifestation de phénomènes passionnels extrêmes-de la haine à l'épouvante-avec l'irruption soudaine et impérieuse de la Mort. La sémiotique, pour sa part, a souvent analysé des situations et des scènes violentes, ou qui impliquent la violence, en traitant le sens de phénomènes aussi bien collectifs tels que le terrorisme, la guerre, les luttes sociales, que privés comme « la scène de ménage ». Elle a considéré la présence implicite de la violence dans les stratégies narratives qui caractérisent la dimension polémique de la circulation des valeurs : c'est ce que révèlent plusieurs entrées du dictionnaire de Greimas et Courtés, Sémiotique. Dictionnaire raisonné de la théorie du langage, « agresseur », « appropriation », « punition »..., de même que la manifestation de cette violence appelée par certaines passions telles que
Revue Française d'Histoire des Idées Politiques, 2005
Distribution électronique Cairn.info pour Editions Picard.
Cahiers Georges Sorel, 1987
Mil neuf cent. Revue d'histoire intellectuelle, 1997
Edition et annotation en collaboration avec Marie Laurence Netter, Michel Prat et Patrice Rolland
2022
Nancy, éditions Arbre Bleu, 2022 ------- Célèbre pour avoir écrit les Réflexions sur la violence qui furent diversement interprétées, Georges Sorel (1847-1922) a pourtant produit une œuvre qui ne prête pas à ambiguïté sur le fond. Se voulant « serviteur désintéressé du prolétariat », il n’a cessé de questionner ce qui pourrait amener les groupes ouvriers organisés à préparer le chemin vers une société libérée des entraves asservissantes du capitalisme. Se plaçant dans les pas de Karl Marx qu’il a contribué à acclimater en France, Georges Sorel s’est employé à ruiner le prestige de la culture bourgeoise et les stratégies politiques de séduction mises en œuvre par l’État républicain. La résistance qu’il concevait était à la mesure de l’enjeu : elle commandait d’opérer la « scission » par l’action directe et la construction de l’autonomie prolétarienne selon des principes qu’il partageait avec les syndicalistes révolutionnaires. Ce livre apporte un regard neuf sur l’imaginaire politique de Sorel. Aux études que Willy Gianinazzi consacre à des facettes insoupçonnées de sa pensée s’ajoutent des écrits engagés du philosophe dont la plupart, publiés en Italie, l’autre « patrie » de Sorel, sont restés inconnus en France. Plus que jamais, Sorel vaut d’être redécouvert et lu : son enthousiasme à repérer et élucider les allants populaires qui nous meuvent vers la liberté est communicatif.
Mil neuf cent. Revue d'histoire intellectuelle, 1996
Edition et annotation en collaboration avec Marie Laurence Netter, Michel Prat et Patrice Rolland
2014
colloque : L’art social en France. De la Révolution à la Grande Guerre
Mil neuf cent. Revue d'histoire intellectuelle, 2014
Introduction au numéro : "Sorel méconnu".
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