Les armoiries du maire Louis-Philippe Normand de Trois-Rivières

Revue Française d’Héraldique et de Sigillographie, t. 71-72, 2001-2002, p. 119-141, 2004

Revue française d'héraldique et de sigillographie, t. 71-72, 2001-2002

L'Ancêtre, 2021

François-Gaston de Lévis (1720-1787) est un militaire français qui s'est illustrer durant la guerre de Sept ans. Une statut du vainqueur de la bataille de Sainte-Foy orne la façade de l'hôtel du Parlement de Québec.

Bulletin Historique du Comité d'Histoire du Haut-Pays n° 76, 2010

Cahiers Voltaire 15, 2016

La question des armoiries de Voltaire n’a jamais été objet d’une étude spéciale. Notre recherche est fondée sur deux reliures armoriées conservées dans sa bibliothèque et ses cachets aux lettres conservés au Musée Voltaire de la Bibliothèque de Genève. L’analyse de ces objets matériaux sur le fonds de l’histoire de l’héraldique française permet de répondre aux questions quelles étaient les vraies armoiries de Voltaire, s’il les arborait de droit, comment elles étaient perçues par ses contemporains, et de replacer cet usage dans le contexte de l’époque. A ces questions est liée une autre, si Voltaire a effectivement accédé au corps de la noblesse et quels étaient ses droit aux titres qu’il utilisait, ceux de « chevalier » et de « comte de Tournay ».

L'Ancêtre, 2020

Pierre Dugua de Mons est le fondateur de Port-Royal en Acadie et le co-fondateur de Québec. Les armoiries qui lui sont attribuées sont différentes de celles que différents chercheurs lui ont attribuées. Nous cherchons a qui appartiennent ces différentes armoiries.

Conférence organisée par l'Association des Maires de Haute-Saône, Vesoul, 29 octobre 2012 PRESENTATION DE L'AUTEUR Né à Vesoul en 1975, Nicolas Vernot est enseignant et a été chargé de cours en Histoire moderne (XV e -XVIII e s.) à l'université de Cergy-Pontoise de 2004 à 2011. Il a également dispensé des formations en héraldique auprès d'organismes tels que l'Université Ouverte ou la DRAC de Franche-Comté. Auteur de nombreuses études scientifiques sur les armoiries, signes et symboles traditionnels comtois, publiées en France et à l'étranger, il a été admis en tant que membre associé au sein de l'Académie Internationale d'Héraldique. Il est également le président de l'ARCHEE (Association de Recherche Comtoise en Héraldique, Epigraphie et Emblématique), et prépare actuellement une thèse sur l'iconographie et la symbolique du coeur en Franche-Comté. Pour lui, l'héraldique est non seulement une science, mais aussi un art. Aussi cherche-t-il depuis des années à promouvoir une héraldique vivante de qualité, sachant concilier le respect de la tradition et les nécessités du monde d'aujourd'hui. Il est, à ce titre, l'auteur de plusieurs dizaines d'armoiries communales, notamment en Franche-Comté, une activité de création remarquée tant par la presse, qu'elle soit locale (l'Est Républicain, Pays Comtois) ou nationale (Le Monde 2, Le Journal des Maires), que par la télévision. Parce que les communes contribuent aujourd'hui activement à la vitalité de l'héraldique en France, il s'efforce d'apporter aux élus une information claire et objective en participant à des actions de sensibilisation en direction des collectivités locales : il est ainsi intervenu aux côtés de professionnels de la communication lors de la journée « Logo et identité visuelle » organisée au Centre National de la Fonction Publique (INSET de Montpellier) le 22 février 2011. Après avoir été convié par l'Association des Maires du Jura le 21 septembre 2010, il revient aux sources en poursuivant son travail de sensibilisation auprès des élus de son département natal… Illustrations de couverture : autour des armoiries de la Haute-Saône, celles de ses chefs-lieux de canton: 1 e ligne : Amance, Autrey-lès-Gray, Champagney, Champlitte, Combeaufontaine, Dampierre-sur-Salon, Faucogney ; 2 e ligne : Fresne-Saint-Mamès, Gray ; 3 e ligne : Gy, Héricourt ; 4 e ligne : Jussey, Lure ; 5 e ligne : Luxeuil, Marnay ; 6 e ligne : Montbozon, Noroy-le-Bourg ; 7 e ligne : Pesmes, Port-sur-Saône ; 8 e

L'Ancêtre, 2020

L'origine des armoiries de la famille Taschereau depuis la Nouvelle-France jusqu'à celles du premier cardinal canadien.

Haute-Saône SALSA. Bulletin de la Société d'Agriculture, Lettres, Sciences et Arts de la Haute-Saône. Supplément annuel, p. 29-48, 2005

Si en Alsace, l'emblématique des artisans et des corporations de métiers à l'époque moderne a donné lieu à un certain nombre de publications de qualité 2 , permises entre autres par la profusion des écus dits professionnels subsistant sur les façades, la Franche-Comté demeure, dans ce domaine, bien en retrait. Certes, les représentations d'outils ou d'attributs professionnels y sont moins nombreuses : le dynamisme économique des deux provinces n'est guère comparable et le XVII e siècle, qui en Alsace nous livre un certain nombre de figures, correspond à une période chaotique de l'histoire comtoise, peu propice au développement d'un artisanat urbain aisé. Aussi les sources comtoises paraissent-elles dispersées, lacunaires, peu nombreuses, et n'ont jusqu'à présent guère retenu l'attention des historiens 3 . Pour autant, les marques et emblèmes professionnels comtois existent bien 4 . Par un de ces raccourcis dont l'histoire a le secret, c'est à Fondremand, bourg bien connu pour les Journées artisanales qu'il organise depuis trente ans, que figure l'une des séries d'évocations du négoce et de l'artisanat les plus riches de Franche-Comté 5 . Autour du château dominé par un massif donjon quadrangulaire s'est développé un bourg dont le bâti, en grande partie préservé, témoigne par sa qualité architecturale de la prospérité économique atteinte au XVI e siècle, tandis que l'assoupissement des siècles suivant interdisait de grands travaux dommageables à la cohérence de l'ensemble. Échelonnés entre le XVI e et le XVIII e siècle, quatre emblèmes placés en façade évoquent le monde du travail : trois ont pour figure principale un outil, et le quatrième une marque commerciale. Même si leur interprétation exige de la prudence, ils constituent une source historique précieuse pour qui s'intéresse à l'histoire des artisans et des commerçants, à leur outillage et à leurs techniques, ainsi qu'à la représentation, souvent empreinte de fierté, que ces hommes pouvaient avoir de leur métier et d'eux-mêmes.

Bull. trim. de la Société royale belge d'Etudes géologiques et archéologiques "Les Chercheurs de la Wallonie" 224, p. 5-10, 2015

Histoire et tentative d'interprétation du blasonnement de l'armoirie d'une société savante belge d'archéologie préhistorique et de spéléologie fondée en 1907

Signótica, 2011

La ville fascine jusqu'à l'étourdissement. Réservoir inépuisable pour l'imagination, elle crée ses propres mythes de blasphèmes et de séduction [...] Loger la ville dans son oeil, comme en vue: une cible visionnaire.