Les armoiries de la famille Taschereau

1988

2020

This Paper deals with an ongoing and misleading discussion about the Togolese Arms of Coats and the Meaning behinf the Symbols used to compose these Arms of Coats. It shows that the fallacious interpretation of the symbols by some so-called "enlighted" pastors, prophets and catholic priests is far away from the real Meaning of these Symbols in the socio-cultural and historical context of TOGO.

Bull. trim. de la Société royale belge d'Etudes géologiques et archéologiques "Les Chercheurs de la Wallonie" 224, p. 5-10, 2015

Histoire et tentative d'interprétation du blasonnement de l'armoirie d'une société savante belge d'archéologie préhistorique et de spéléologie fondée en 1907

The evolution of the coats of arms of the princes Cantemir has been approached by authors as Petre V. Năsturel, Jean N. Mănescu, Dan Cernovodeanu, Gabriela Rădulescu and Silviu Andrieş-Tabac. Very documented, the study of the latter offered an overview of the subject, with an important Romanian and Russian literature. The coat of arms of princes Cantemir is important for the important number of issues implied, such as: the evolution of the princely coat of arms, the relation between the autochthonous and the foreign armorial systems etc. Conceived by Demetrius Cantemir, the scholar prince of Moldavia, the coat of arms was used during Cantemir’s exile to Russia, being transmitted with several alterations to his descendants (became members of the Russian upper aristocracy). The origins of the coat of arms as conceived by Demetrius Cantemir are very interesting: the aurochs head, symbol of the Moldavian principality, appeared together with a pair of winged serpents (considered to be the old symbols of the Cantemirs), and also a mysterious pair of shaking hands, appreciated by several contemporary authors as a hint for Demetrius Cantemir’s membership within the European freemasonry.

Archives héraldiques suisses/Schweizer Archiv für Heraldik/Archivio araldico svizzero/Archivum heraldicum, 2015

L'Ancêtre, 2021

La famille Chartier de Lotbinière s'est illustrée dans l'implantation du système judiciaire en Nouvelle-France, puis le parlementarisme au Bas-Canada.

L'Ancêtre, 2020

L'histoire de la famille Chaussegros de Léry en Nouvelle-France commence avec Gaspard-Joseph, ingénieur du roi, arrivé dans la colonie en 1716.

Revue Française d’Héraldique et de Sigillographie, t. 71-72, 2001-2002, p. 119-141, 2004

Revue française d'héraldique et de sigillographie, t. 71-72, 2001-2002

Cahiers Voltaire 15, 2016

La question des armoiries de Voltaire n’a jamais été objet d’une étude spéciale. Notre recherche est fondée sur deux reliures armoriées conservées dans sa bibliothèque et ses cachets aux lettres conservés au Musée Voltaire de la Bibliothèque de Genève. L’analyse de ces objets matériaux sur le fonds de l’histoire de l’héraldique française permet de répondre aux questions quelles étaient les vraies armoiries de Voltaire, s’il les arborait de droit, comment elles étaient perçues par ses contemporains, et de replacer cet usage dans le contexte de l’époque. A ces questions est liée une autre, si Voltaire a effectivement accédé au corps de la noblesse et quels étaient ses droit aux titres qu’il utilisait, ceux de « chevalier » et de « comte de Tournay ».

Histoire Québec, 2020

Les armoiries municipales sont depuis l'invention de l'art héraldique le symbole de l'autorité et de l'autonomie des villes. Au Québec, l'héraldique urbaine a évolué au grés des influences américaines et européennes.