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2000, Horizons philosophiques
Tous droits réservés © Collège Édouard- Montpetit, 1990 Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter en ligne.
Signata. Annales des sémiotiques, n°2, La sémiotique, entre autres, pp. 121-137., 2012
Intermédialités: Histoire et théorie des arts, des lettres …, 2008
2014
La semiologie graphique participe de notre pratique de professeur dans des enseignements traitant des methodes et outils informatiques en geographie-amenagement a l’universite Lyon 3 Jean Moulin : cours d’initiation aux statistiques descriptives, a la cartographie, aux SIG, a l’analyse spatiale, a la cartographie animee, interactive et dynamique. Dans ce cadre, la semiologie graphique est presentee au fil de l’eau a partir d’exercices avec leur problematique et les donnees associees. A l’exception notable de la cartographie animee, interactive et dynamique, encore relativement recente, destinee aux ecrans et moins robustement arrimee a la semiologie graphique historiquement destinee au papier, ce cadre constitue un « socle de granit » commun a de nombreux geographes qui est present dans les cursus universitaires de licence-master en geographie. Toutefois, ce n’est pas sur notre pratique dans ce cadre connu et reconnu des geographes que porte notre contribution a ces journees « ensei...
Acta Iassyensia Comparationis: Alte lumi/Other worlds/Autres mondes, 2010
When the metaphoric expression becomes text, the translator needs to preserve the freshness of the foreign language and to reveal the unknown universe of the source culture. Translation becomes more difficult when the extended metaphor has cultural implications. A particular case of extended metaphor is the parable. Whereas translating metaphors supposes lexical competences, translating parables also implies narrative and transcultural competences. In case of the anamorphosis, the metaphor extends itself at the level of the whole literary text, becoming its reason of being. When the metaphoric expression is extended at the phrase or textual level, the translator’s capacity to depict “the other world” becomes crucial.
La sémiotique en interface, 2018
La sémiotique a depuis toujours vocation propédeutique. Eco au premier congrès de l'Association Internationale de Sémiotique (1974) ne taxait-il pas la discipline de « goulue des sciences humaines ». Face au phénomène complexe, syncrétique et protéiforme que constitue le spectacle, la sémiotique trouve une légitimité d'interdiscipline à plusieurs titres : elle interroge la constitution du savoir expert en dialogue avec d'autres champs scientifiques, mais aussi dans l'échange avec le savoir incorporé des praticiens. Elle questionne par ailleurs la relation entre approches théorique générale et appliquée. Elle appréhende enfin la relation entre sémiotiques appliquées. Au-delà d'une réflexion sur les frontières entre champs de recherche, sur le métalangage, sur le transfert épistémologique, elle pose le problème de sa posture d'interface face à l'objet-spectacle, « donné à voir dans la diversité de ses modes d'expression » et appelant à tout coup un « plan de pertinence » où s'opère à la fois « la synthèse de l'ensemble des dimensions du spectacle » « et de tous les points de vue qui sont exploités par les différentes disciplines » (Fontanille in Helbo 2013 : 16). J'aborderai dans les lignes qui suivent trois problèmes méthodologiques qui illustrent les spécificités d'une approche sémiotique appliquée aux arts du spectacle : • La question des emprunts aux sémiotiques voisines. • La description des invariants. • La modélisation de l'expérience corporelle du spectateur. 1. Un savoir interstitiel Confrontée au spectacle, la sémiotique n'a cessé à la fois de se remettre en cause et de redéfinir jusqu'au statut d'existence de son objet. Les travaux sur le film et sur le théâtre par exemple ont montré à quel point les catégories que l'on croyait pouvoir importer de la sémiotique visuelle sont endogènes. Relevons d'abord à titre préjudiciel que l'association de la dimension visuelle au spectacle (spectare), généralement reçue dans le contexte de l'étude du film, fait problème à propos du spectacle vivant. La notion d'image théâtrale, circassienne, opératique repose sur un impensé qui présuppose que le spectacle serait destiné seulement à être vu. C'est une position européenne : l'anthropologie théâtrale souligne qu'il existe dans d'autres cultures des formes de spectacle qui font appel à tous les sens. Les recherches sur la proprioception, la sémiotique du sensible échappent d'ailleurs à l'amblyopie ambiante et évitent de limiter le spectacle au seul canal visuel, voire à la perception. De façon plus générale, l'appariement entre image et spectacle mérite d'être interrogé. Cette question s'inscrit dans la démarche de la sémiotique visuelle qui vise à éclairer le statut sémiotique de l'image. Partons des cas exemplaires du cinéma et du théâtre. L'image filmique, autant que le spectacle théâtral constituent avant tout des lieux de focalisation grâce à des dispositifs d'encadrement. Le cadre, incarné par la scène ou l'écran, fait du je suis, je suis au théâtre, je suis au cinéma la condition du mode d'adhésion du spectateur au spectacle.
Cybergeo: European Journal of …, 2000
L’innovation représentée par la Sémiologie graphique s’ancre dans l’itinéraire d’une personnalité douée d’un véritable génie du visuel. Celui-ci s’est épanoui à travers des expériences cruciales de recherche et l’implication dans la demande d’information statistique territoriale des années soixante. La Sémiologie graphique résulte de recherches développées par J. Bertin à partir des années cinquante, en rupture avec le contenu classique de son éducation à la cartographie. Ce traité est publié dans un contexte d’expansion de la sémiotique, notamment celle des images. Il synthétise des règles issues d’une pratique et privilégie le sens de la vue pour le traitement et la représentation des données. Graphical semiotics is an innovation connected with the itinerary of a person gifted with a real genius of the visual. It has spread out through fundamental experiences in research and through the need for territorial statistics in the 60’s. From the 50’s on, Bertin developed studies which contrast with his classical education to map-making, and leads to Sémiologie graphique. The treatise was published in a context of expansion of semiotics, particularly visual one. It summarizes some rules stemming practical experience and emphazises sight as a tool for data processing and portraying.
Bourdieu et le travail, 2015
Bourdieu et le travail Maxime Quijoux (dir.
The theory that this doctor's degree aims to promote refers to the intertext reading in the key of Eliade's Myth of the Eternal Return (MER). The essential characteristics of the myth are checked for the intertext, if the latter is not seen as a simple transfer of a textual sequences from one page to another. Moreover, to identify intratextual correspondences from the epidermal surface of the text, special programs have been invented. In our case, the psychology of performance, some certain compe-tences of the mechanism, a series of signs from the depth of the (inter)text have tempted the critical eye. Talking about the myth, we have considered Eliade's Myth of the Eternal Return. Repetition produces a click and the whole mechanism is then put into motion: the implicit and creative differing, the tension that is released from overlapping (never complete), the escape from the profane to the sacred.
Cet ouvrage se propose d’examiner les rapports d’attirance entre deux domaines épistémiques différents, l’artistique et le scientifique, à partir de leurs productions visuelles. Une comparaison entre des mondes aussi complexes et composites que l’art et la science demande de renoncer à toute ambition de généralisation des pratiques qui les soutiennent, pour au contraire se lancer à la recherche des spécificités et des singularités respectives.
Cahiers de Narratologie, 2006
Ce document a été généré automatiquement le 30 avril 2019. Cahiers de Narratologie-Analyse et théorie narratives est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de Modification 4.0 International.
Si les représentations du cri restent peu nombreuses en peinture, elles frappent néanmoins l'imagination, ce qui suffit à établir leur célébrité. Cette évidence figurative peut être rapportée à une expérience de l'intensité qui restitue ici l'impossibilité de dire. Plus exactement, cette intensité manifeste une double modalisation, un double empêchement, puisqu'elle témoigne d'une incapacité à manifester la dimension sonore autrement que par le visible et d'une modalisation de la parole.
Théologiques, 2009
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2018
Poésie visuelle, submorphémie et énaction Michaël Grégoire (Université Clermont Auvergne) Résumé L'objet de cette contribution est de proposer des lectures submorphémiques d'un poème visuel espagnol : « Andalucía » de Pablo del Barco. Notre approche se situe dans le paradigme de l'énaction qui postule que l'émergence de la cognition et du langage est un processus. Or, les processus submorphémiques offrent de facto de nouvelles lectures du poème visuel dont nous nous proposons l'analyse. Cela nous permettra d'aborder la poésie telle qu'elle émerge par et pour le lecteur lui-même en tant que (re)construite par lui. La poésie visuelle se veut du reste un champ d'étude privilégié dans la mesure où les postulats de la linéarité du langage et de l'arbitraire du signe sont plus que jamais remis en cause, et cette liberté prise par le poète devient celle du lecteur (re)constructeur du sens.
Revue Roumaine d'Histoire de l'Art : Série Beaux-Arts, 2016
Cet article porte sur le rapport entre le texte et l'image dans la peinture roumaine du XVIe siècle. L'auteur souligne que l'icône ou la peinture murale orthodoxe ne sont pas des «compositions» dans le sens traditionnel du verbe « composer ». Le peintre médiéval ne compose pas l'image, il la transpose sur la surface de l'icône, du mur, de la feuille dessinée ou d'un autre support (en langue slavonne de l'église cette transposition s'appelle « perevod » ce qui veut dire «traduction» par rapport à un original, appelé « podlinnik »). L'image médiévale orthodoxe est une sorte d'idéogramme complexe qui exige un tout autre genre de « lecture » que la peinture moderne. Il est extrêmement intéressant de constater que les lois de cette « lecture » (et, par conséquent, de cette « écriture ») sont plus proches des lois de la lecture des textes littéraires que des lois de la contemplation et de la compréhension des images «purement visuelles». L'image...
2023
Hjelmslev Commençons par constater l'existence nombreuse et régulière des graphiques dans l'oeuvre de Hjelmslev : on en trouve dans tous ses ouvrages. Dans le Résumé, les graphiques sont d'abord présentés en note (« N 2 : Représentation graphique de Déf 3 », « N 4 : Représentation graphique de Déf 4 et 5 » 6 , etc.) mais bientôt ils font partie du corps même des définitions et des règles. Ceci se vérifie en particulier en ce qui concerne la description des classes (« Rg 16 » 7), pour laquelle il n'existe pas d'autres relais descriptifs, ainsi que celle des fonctions (« Df 138 » 8), dans laquelle sont distribués les symboles attachés aux fonctions selon les différentes classes. Aussi est-il raisonnable de penser que les graphiques constituent un moyen d'expression nullement superflu dans la pensée hjelmslevienne. Rappelons alors en quelques points ce qui peut être rapporté spécifiquement à la compréhension de la production graphique dans le Résumé, tel que le graphique présenté dans la Note 2 a pu en constituer le départ 9. 6 Louis Hjelmslev, « Résumé d'une théorie du langage » [extrait] in Nouveaux essais,
Au prisme du manuscrit: Littérature française médiévale, c. 1300–1550, ed. Sandra Hindman and Elliot Adam (Turnhout: Brepols, 2018), 35–56.
Communication & Langage, n° 212, 2022
L’article est la restitution critique d’une expérience de terrain menée au sein de l’association toulousaine APIAF (Association Pour l’Initiative Autonome des Femmes) ayant consisté en l’organisation de deux ateliers de création (littéraire et photographique) à destination des femmes qui fréquentent ce lieu. Au-delà de l’analyse sémiologique des textes et des images réalisés dans le cadre de ces ateliers, cet article est aussi l’occasion d’esquisser une réflexion sur la manière dont la production de sens est le résultat d’une négociation avec les « savoirs situés » d’actants incarnés, à savoir les acteurs.rices, d’un espace de communication.
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