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2021, LITERATURA Y NATURALEZA: VOCES ECOCRÍTICAS EN POESÍA Y PROSA
This article aims to discuss the links that Kenneth White’s geopoetics has with ecology. The latter is indissolubly connected to our first and fundamental condition of being human on earth, as is poïesis, which refers to the movement of creation after analyzing the potentialities of the poïêtes (craftsmen, manufacturers and poets), who give shape and meaning to the world. This meaning of poïesis is found in literary writing, and specifically in the relationship between human beings and the earth (geo). In this light, the literary space would be the place from which we can look at our way of being in the world and meditate on it. Since the end of the 1970s, Kenneth White has championed this view of geopoetics, a perspective that helps rethink the relationship between humans and earth in order to make it as intelligent as possible. Concordantly, we hypothesize that geopoetics showcases this bond as both aesthetic and ethical towards the environment and ecological in its philosophical sense. Aesthetics and ethics are thus assembled and aligned to eventually deploy an ecological conscience fruit of a meditation on the world, nature and otherness.
Does ethics need a foundation? First or all, ethics is an education; it is not only made of prescriptions, it is also made of indications, particularly in medieval christianism. Then, there is an attempt to found it upon natural law (les naturalis) in Aquinas. This foundation is purely rational. It does not rely on God. Natural law is rather a systematization of the laws towards goodness than a positive, alternative system of laws. And this balanced foundation has been criticized in the late middle ages.
Classiques des sciences sociales., 2004
comme idéologie" (4 août 1983). Un article publié dans l'ouvrage sous la direction de Claude Savary et Claude Panaccio, L'idéologie et les stratégies de la raison. Approches théoriques, épistémologiques et anthropologiques, pp. 119-147. Montréal: Éditions Hurtubise HMH ltée, 1984, 236 pp. Collection Brèches. Avec l'autorisation formelle de M. Robert Nadeau, professeur titulaire, département de philosophie, Université du Québec à Montréal, le 27 avril 2004.
Deleted Journal, 2018
Classiques des sciences sociales., 2007
De quelques enjeux épistémologiques d'une méthodologie générale pour les sciences sociales". * Un article publié dans l'ouvrage sous la direction de Poupart, Deslauriers, Groulx, Laperrière, Mayer, Pires [Groupe de recherche interdisciplinaire sur les méthodes qualitatives], La recherche qualitative. Enjeux épistémologiques et méthodologiques, pp. 3-54. Première partie : Épistémologie et théorie. Montréal : Gaëtan Morin, Éditeur, 1997, 405 pp. * Je remercie vivement pour leurs commentaires critiques à l'endroit de ce texte Fernando Acosta, Jocelyne Dorion, Gilles Houle, Colette Parent et Jean Poupart. Cette étude fait partie d'un projet d'équipe subventionné par le Conseil québécois de la recherche sociale (CQRS).
Ciclic, 2019
Panorama de l'articulation "Littérature et écologie", Livret Ciclic, 2019-2020
rilaale-uac, 2019
RESUME A quelles conditions est-il possible de passer du discours philosophique à une pratique plus scientifique de la philosophie ? Le rapport étroit entre la philosophie et la science n’est plus à démontrer. Le réalisme scientifique est le trait fondamental qui appartient à la science et qui la différencie de la philosophie. On n’accède pas à la science avec les démarches, les catégories de la philosophie. Le discours philosophique doit être dans le Réel comme le fait la science. La philosophie produit son épistémologie. Celle-ci pourrait être revue, dans la perspective husserlienne, en vue de l’émergence d’une « science rigoureuse de la philosophie ». La philosophie veut son unité avec la science, alors que la science veut l’autonomie de sa propre manière de penser le réel et ne veut pas du tout absorber la philosophie. La science rigoureuse de la philosophie est intimement lié au discours philosophique. Mots clés : Science rigoureuse, discours philosophique, épistémologie, logique philosophique, réalisme scientifique.
2008
Peut-on comprendre le phénomène humain sans envisager en même temps son milieu de vie ? Et si l'être humain se définit autant par ses rapports avec l'environnement que par sa nature propre, comment étudier ces relations ? Vers une écologie humaine adopte l'approche systémique pour identifier et comprendre les interactions entre l'être humain et son milieu. Il s'agit d'une optique moderne, expliquée abondamment dans un langage accessible aux étudiants et étudiantes du niveau collégial. Vers une écologie humaine élabore une réflexion qui mène au concept d'écologie humaine, ce qui saura intéresser tous ceux et toutes celles qui s'interrogent sur le phénomène humain et son évolution.
Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique, 2011
Dans Être et Temps [5], Heidegger a dé fini la phé nomé nologie comme une mise en lumiè re, ou mieux une mise en é vidence de ce qui se montre. Ce concept d'é vidence at -il quelque chose de commun avec celui de l'evidence-based medicine, ou mé decine des preuves ? La ré ponse à cette question est donné e par Heidegger lui-même, non pas dans l'ouvrage pré cé demment cité , mais dans les Se´minaires de Zurich [6], sé minaires que le philosophe a tenus auprè s de psychiatres, à l'invitation de M. Boss, dans les anné es 1960, et dont la traduction française vient d'être publié e cette anné e.
Ville et créativité, 2023
(English below) Le début du troisième millénaire de notre ère sera inexorablement marqué par le défi inouï auquel l’humanité doit – sans aucune alter- native – faire face ; à savoir, la lutte contre le réchauffement clima- tique, phénomène anthropogénique. La créativité humaine, notamment urbaine sera, espérons-le, l'une des forces qui permettra de faire face à ce défi. La créativité dans les villes se retrace dans l'antiquité et réssurgit avec vigueur au 19e siècle, grâce aux forces de la modernité. Cet article entreprend une lecture éclectique de cette histoire, de l'Athènes archaique, jusqu'à Genève contemporaine. (Cet article est publié dans un livre édité par Sandro Cattacin, Fiorenza Gamba et Nerea Viana Alzola) The beginning of the third millennium of our era will be inexorably marked by the unprecedented challenge that humanity must - without any alternative - face: the fight against global warming, an anthropogenic phenomenon. Human creativity, particularly urban creativity, will hopefully be one of the forces that will enable us to meet this challenge. Creativity in cities can be traced back to antiquity, and resurfaced with vigour in the 19th century, thanks to the forces of modernity. This article takes an eclectic look at this history, from archaic Athens to contemporary Geneva. (This paper is published in a book edited by Sandro Cattacin, Fiorenza Gamba and Nerea Viana Alzola)
2014
L'ESS contribue à faire converger les disciplines autour de la résolution de problèmes concrets, ce qui implique un positionnement épistémologique (et méthodologique) spécifique loin de la tradition épistémologique positiviste de l'économie orthodoxe. Les cadres épistémologique et méthodologique de l'ESS méritent ainsi d'être précisés. Il s'agit, de montrer d'abord (partie 1) dans quelle mesure le champ de l'économie sociale et solidaire s'inscrit dans le cadre de l'épistémologie constructiviste. Nous montrerons, par la suite (partie 2), que la pensée complexe (développé par Edgar Morin) à travers sa dimension systémique, est un cadre conceptuel qui permet de rassembler chercheurs, praticiens et citoyens autour de la résolution de problèmes. Une double question demeure que nous envisageons pour finir (partie 3) : comment évaluer la validité de la recherche ? Cette question induit de préciser, dans le cadre conceptuel envisagé, quel est le positionnement éthique du chercheur.
Dvinatio. Maison des Sciences de l’Homme et de la Société (Sofia)., 2019
Libérer la phénoménologie de l'herméneutique : une question d'architectonique Joëlle Mesnil « … libérer la phénoménologie de l'herméneutique : c'est là, pour nous, une question d'architectonique 1 » « Au fond, la question de la concrétude est autre que la question de la signification ou du sens de l'être. En cela, phénoménologie et herméneutique représentent deux chemins philosophiques divergents 2 » 11
2018
Stoic epistemology is usually assimilated to the Stoic theory of the criterion, namely ‘cognition’ (κατάληψις) and preconception (πρόληψις). Such assimilation is legitimate but needs to be further qualified. The Stoics considered science (ἐπιστήμη) to be accessible only to the Wise, defined virtue as a form of science and distinguished science from art (τέχνη), which has an identical structure: it consists in a coordinated system of ‘cognitions’ whose coherence and certainty is inferior to science, but accessible to non-wise persons. ‘Cognitive impression’ is the criterion coined by Zeno and it provoked polemics with the Academy: it is an impression in conformity with its object, whose existence was denied by the Academics. ‘Preconception’ was introduced by Chrysippus, who adapted Epicurean preconception, to which he gave a status beyond mere experience, though he denied ‘prenatal’ innatism.
L'oiseau benu (en égyptien bnw), au culte et à la représentation très anciennement attestés en Égypte, est un être divin de signification mythique, religieuse, astronomique et dynastique. C'est par la médiation de la littérature grecque, puis de la littérature hellénistique alexandrine que, sous le nom de phénix (gr. φοῖνιξ, lat. phoenix), il apparaît dans la littérature latine du Ier s. av. J.-C., à l'époque de la conquête romaine du royaume d'Égypte, et voit se développer progressivement un mythe appelé à la fortune que l'on sait. Il ne sera pas objet de culte dans la religion d'Isis qui s'implante alors à Rome, mais d'abord un thème poétique et un objet de curiosité naturaliste, historique ou ethnographique au Ier s. ap. J.-C., puis un symbole politique officiel du pouvoir impérial au début du IIe s., en même temps qu'un symbole religieux, chrétien, mais aussi judaïque. L'acclimatation de l'oiseau sacré d'Héliopolis à Rome et la constitution de sa légende romaine-avec l'introduction du thème du feu au Ier s. ap. J.-C.-se font sur la longue durée, et l'on peut voir le mythe s'élaborer dans le discours et l'iconographie de deux univers différents, mais en étroit contact, celui des païens et celui des chrétiens 2. Le souvenir des racines égyptiennes reste cependant très présent dans l'un et l'autre. Or, un maillon important de la transmission, sinon de la constitution de la légende chrétienne nous paraît se trouver dans une des rares occurrences textuelles du phénix antérieures au Ier s. av. J.-C., en Égypte, dans le milieu culturel si particulier de l'Alexandrie hellénistique : il s'agit des vers du Juif alexandrin Ézéchiel le Tragique (IIe s. av. J.-C. ?), comme l'avaient déjà senti J. Hubaux – M. Leroy 3 et R. Van den Broek 4. Il est l'auteur d'une Exode où Moïse, fuyant le pays de Pharaon, rencontre dans le désert, à la source d'Elim, un oiseau extraordinaire, anonyme, mais dans lequel la critique s'accorde à reconnaître le phénix ; Ézéchiel crée apparemment un précédent en intégrant le phénix à la matière biblique et pose ainsi les jalons d'une appropriation rabbinique et également chrétienne du mythe, à partir de Clément de Rome (fin du Ier s. ap. J.-C.) jusqu'à Lactance et Eusèbe de Césarée, qui cite sa description, sous le règne de Constantin. Pour mesurer l'importance du fragment d'Ézéchiel dans l'évolution de la tradition poétique, symbolique, mais aussi iconographique du phénix, en son temps et jusqu'à la fin de l'empire romain, nous ferons d'abord le bilan de l'héritage que le poète tragique a pu recueillir de l'Égypte ancienne, mais aussi de la littérature grecque et de la culture hébraïque, et nous étudierons son traitement particulier du thème de l'oiseau fabuleux ; puis nous rappellerons les étapes du développement du mythe romain du phénix, à la fois dans la littérature, l'iconographie et la numismatique, comme thème poétique et fantastique et comme symbole impérial de la transmission dynastique du pouvoir et du renouvellement heureux des temps. Nous signalerons l'importance que jouent encore les milieux culturels et religieux d'Alexandrie dans l'élaboration de la légende, avant de nous interroger sur les circonstances et l'influence de la réapparition des vers d'Ézéchiel consacrés au phénix chez Eusèbe, à l'époque des Cahiers de la MRSH, n° 41, janvier 2005 [2 e éd. – 2008 – revue et corrigée], p. 211-266
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