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Un regard scientifique sur les trois monothéismes depuis les origines jusqu'à l'époque moderne UMR 8584
Revue d'éthique et de théologie morale, 2010
Nouvelle revue théologique, 2007
Distribution électronique Cairn.info pour Association Nouvelle revue théologique. © Association Nouvelle revue théologique. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Pour les exercices 1à 4, on considère un triangle ABC et on désigne par I,J et K les milieux respectifs des côtés [BC], [AC] et [AB]. Exercice 1 On suppose que ABC est rectangle en A. 1. Que peut-on dire des droites (IJ) et (AB) ? des droites (IJ) et (AC) ? 2. Préciser la nature du quadrilatère AJIK. Exercice 2 Tracer un triangle ABC sachant que AB = 4 cm, AC = 5 cm et BC = 6 cm.
Revue des Questions Scientifiques, vol.191, n°3-4, pp.369-384, 2020
Le mouvement néothomiste à l’Université catholique de Louvain se concrétisa par l’érection d’un Institut supérieur de philosophie. Son créateur en était Désiré Mercier, le futur archevêque de Malines. Néanmoins, les débuts de l’Institut furent marqués par quelques controverses, notamment sur les relations entre science et religion. Mercier subit l’opposition du recteur de l’Université Jean-Baptiste Abbeloos et du premier professeur de cosmologie Henry de Dorlodot. La Faculté des sciences, en principe fortement impliquée par ces développements, resta largement absente de ces controverses. Cette contribution vise à reconstruire la position de la Faculté et à expliquer son apparent manque d’intérêt dans les questions touchant à la science et la religion. En général, pour la Faculté, la position de l’Université dans le monde scientifique était plus importante que son rôle dans le monde catholique.
ThéoPhiLyon Tome XXV, Vol. 1, 2020
Préambule Lorsque Pierre Abélard invente la science théologique, Bernard de Clairvaux ironise en traitant cette theologia de « stupidologie » (stultilogia). La logique et l'expérience religieuse semblaient prendre des voies divergentes. On aurait d'un côté, une recherche grammaticale, logique et rhétorique basée sur le trivium et de l'autre, un désir ardent de rencontrer Dieu dans la prière. Mais, est-ce vraiment le cas ? Le christianisme devait-il se satisfaire d'une distinction entre « théologie scolastique » et « théologie monastique » ? Science et sagesse n'ont-elles pas toujours été de pair ? Avec vous je voudrais explorer une voie qui consiste à envisager la scientificité de la théologie en tant, non pas qu'elle délaisse, mais, au contraire, prend en compte l'expérience religieuse.
Pardès, 2007
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Revue d'histoire de l'Amérique française, 2004
L es relations entre théologie et sciences sociales ont connu diverses périodes et on peut observer une certaine évolution pendulaire entre des positions tantôt fusionnelles et tantôt polémiques 1. Ainsi, à la fin du xix e siècle, la sociologie de la religion, au moins en France, « s'était coulée dans le mouvement laïque », comme le rappelait François-A. Isambert 2. Aussi, en 1954, lors de la constitution du Groupe de sociologie des religions et du lancement, la même année, des Archives de sociologie des religions, Joachim Wach plaidait « pour qu'à l'affectation d'un coefficient antireligieux ne succède pas une annexion de la sociologie religieuse par les confessions chrétiennes 3 ». La situation française n'est toutefois pas représentative du climat général qu'on pourrait résumer, de manière trop schématique certes, dans les lignes suivantes : après la période euphorique qui suivit le concile Vatican II qui avait fait appel à des sociologues et qui avait encouragé l'usage de la La rencontre de la théologie et des sciences sociales au Québec gilles routhier Faculté de théologie Université Laval 1. Même s'il y a d'indéniables différences, on peut observer des parallèles entre la rencontre entre la théologie et les sciences sociales et celle de la philosophie et des sciences sociales au Québec. Voir Louise Marcil-Lacoste, « Le regard de l'autre : la philosophie et l'émergence des sciences sociales », dans Continuité et rupture. Les sciences sociales au Québec (Montréal, Presses de l'Université du Québec, 1984), 435-454. 2. F.-A. Isambert, « Quarante ans déjà… », Archives de sciences sociales des religions, 93 (1996) : 20. 3. Ibid.,18.
Théologie et Sciences, Compréhension du monde et de l'homme, regards croisés Hommage à Jacques Fantino, 2017
Penser en théologie le monde comme création ne peut manquer de conduire le théologien à se confronter aux approches scientifi ques et philosophiques du monde. Comment alors penser des articulations entre théologie et sciences ? Quelles perspectives épistémologiques adopter ? Quelles catégories de pensée adopter ou forger ? Tout au long de sa carrière de théologien, Jacques Fantino a consacré sa recherche à ces problématiques, notamment comme Professeur des Universités au Département de Théologie et au Centre de Recherches Écritures de l'Université de Lorraine à Metz. Les contributions réunies ici rendent hommage à cette recherche. Elles refl ètent les approches interdisciplinaires qui caractérisent le Centre de Recherches Écritures et sa propre recherche, poursuivant et alimentant le dialogue entre sciences exactes, littérature, philosophie, études bibliques et théologie.
Laval Théologique et Philosophique , 2020
L’épistémologie est un domaine un peu oublié en théologie pratique, à la différence de la méthodologie. L’article développe l’hypothèse selon laquelle la manière dont un théologien ou une théologienne pratique situe la dimension empirique dans la construction d’ensemble de sa recherche, est significative d’une épistémologie implicite. Il y aurait des ancrages épistémologiques différents selon que les données du terrain sont situées en première partie, en deuxième partie ou disséminées tout au long de l’étude. Ce choix serait lié au statut de l’expérience de foi dans la recherche. L’important est alors d’être bien au clair sur les fondements et implications de la manière choisie de développer la recherche. Abstract Unlike methodology, epistemology is a forgotten field in practical theology. This article develops the hypothesis that the way in which a practical theologian situates the empirical dimension in the construction of his or her research reveals an implicit epistemology. There would be different epistemological options depending on whether the field data are located in the first part, in the second part or scattered throughout the study. This choice would be related to the status of the experience of faith. The important thing then is to be clear about the foundations and implications of the chosen way of developing research.
Michel Clément Ph.D., 2024
La théologie comme science ? 1 et Le temps final, sous le regard du Qohélet et de son exégète.
Introduction générale à propos de l'épistémologie, la philosophie des sciences, l'histoire des sciences & des techniques et les sciences Studies
Revue Théologique de Louvain, 2003
In J. Leclercq et P. Lorelle (dirs.), Considérations phénoménologiques sur le monde, 2020
Depuis la volonté husserlienne d’instituer la phénoménologie comme « une science rigoureuse » jusqu’aux recherches contemporaines visant à « naturaliser la phénoménologie », la phénoménologie s’est toujours pensée dans son rapport aux sciences. Tantôt pour nourrir l’ambition d’une archi-science, tantôt pour corriger ou infléchir les méthodes des sciences positives, tantôt pour rejeter radicalement l’ambition scientifique en tant que telle, tantôt pour renouer un dialogue et négocier une répartition des tâches. Nous essayerons de dégager un bilan de ces relations et de voir dans quelle mesure les démarches phénoménologique et scientifique correspondent à des projets intellectuels compatibles. A notre sens, la phénoménologie n’est viable qu’en reconsidérant son rapport aux sciences ainsi qu’aux exigences propres à la pensée philosophique.
Théologiques, 2020
L’article présente la personne humaine dans la pensée et dans la pastorale de Jean-Marc Ela comme le cœur du dialogue entre sciences humaines/sociales et théologie, et fait apparaître l’ecclésiologie et la théologie de la libération de J.-M. Ela comme les deux lieux par excellence de ce dialogue. En portant une attention lucide aux problèmes de la libération des opprimés, Ela s’oblige à repenser la manière de faire la théologie en Afrique. À bien des égards son épistémologie que nous estimons être en adéquation avec notre temps fait de lui un modèle de théologien africain.
Apostolia, publication de la Métropole Orthodoxe Roumaine d'Europe Occidentale et Méridionale, 2021
J.-L. Solère & Z. Kaluza, eds., La Servante et la Consolatrice. La philosophie dans ses rapports avec la théologie au Moyen Âge, Paris, Vrin (coll. “Textes et Traditions” n° 3), pp. 1-44, 2002
La sagesse, quelle qu'en soit la définition, nous tient tant à coeur qu'elle peut difficilement demeurer une entité abstraite. Dans l'attente de l'imaginaire collectif, elle doit prendre corps, s'incarner dans une figure qui la rend visible et la réalise. Qui peut prétendre à être le support de cette épiphanie ? Pour ceux qui sont en Occident à l'origine de la quête d'une sagesse délibérée, construite méthodiquement et rationnellement, qui se distingue ainsi de la sainteté, du prophétisme, de la transe aussi bien que du bon sens populaire, pour les Grecs donc, c'est indubitablement le philosophe qui doit lui donner chair, conformément à la visée, même si elle est empreinte de modestie, qui s'annonce par son nom. Certes, comme le remarque P. Hadot, on nomme aussi bien « sage » ou « philosophe » celui qui n'est pas un spécialiste de la pensée, mais de l'action, comme Caton d'Utique 1. Mais du moins le philosophe, même dans son sens le plus spéculatif, se définit par rapport à cette sagesse qui inclut une mise en pratique, même si elle ne s'y borne pas 2. Peut-être y tend-il seulement, comme le précisait Pythagore 3 , et peut-être le sage est-il plus rare que le phénix, comme l'avouaient les Stoïciens. Mais la philosophie antique se fixe comme but et réalisation d'elle-même cette sagesse qui ne se dépose pas seulement dans un système mais s'incarne en une existence, à tel point que c'est sur sa vie et ses actions que l'on peut juger et réfuter un philosophe (ainsi peut-on comprendre qu'une doxographie comme celle de Diogène Laërce s'attarde sur les détails-qui pourraient parfois passer pour des ragots-de la vie, qui n'est pas encore « privée », des penseurs recensés). Or celui qu'on appelle aujourd'hui philosophe n'est plus forcément une figure de la sagesse, ne serait-ce qu'en projet, mais une figure du savoir. Pour être
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