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2013, ENiM 6, p. 33-78
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48 pages
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Du lointain Orient, les Égyptiens ont importé une plante et sa graine qui étaient réputées avoir des vertus anaphrodisiaques et qui leur paraissaient, de ce fait, avoir des propriétés anti- séthiennes. Vouées pour cette raison à Osiris, elles furent employées pour assurer la protection de la momie contre le dieu Seth mais aussi pour protéger le médecin qui affrontait les démons des maladies ligués par ce dieu et mis au service du redoutable dieu Khonsou.
ENiM 3, p. 53-66, 2010
Deux formules magiques tirées d’un texte médical du début du Nouvel Empire mentionnent un dieu surnommé par les Égyptiens « celui de l’étranger », apparemment lié à une fédération de tribus appartenant au groupe des Shosou. Ce dieu était adoré dans une contrée étrangère appelée Ouân, que l’on peut situer en Édom. Dieu unique particulièrement violent, il était identifié dans la phraséologie magique égyptienne au dieu Bébon, forme séthienne du dieu Thot.
Franck Collard, Evelyne Samama éd., Dents, dentistes et art dentaire. Histoire, pratiques et représentations. Antiquité, Moyen Âge, Ancien Régime,, 2012
Sources égyptiennes concernant les dentistes et les traitements des dents à l'époque des pharaons
Le comparatisme en histoire des religions (François Boespflug et Françoise Dunand, dir.), 1997
1. Faute de place, je ne peux ici qu'en donner quelques jalons. Une étude exhaustive demanderait sans doute un volume entier. 2. J. HANI, La Religion égyptienne dans la pensée de Plutarque., Paris, 1976 ; Y. VERNIÈRE, Symboles et mythes dans la pensée de Plutarque, Paris, 1977. 3. De genealogia deorum gentilium, éd. incunable, Venise, 1532 ; trad. fse par Claude Wittard en 1578. 4. D. C. ALLEN, Mysteriously Meant. The Discovery of Pagan Symbolism and Allegorical Interprétation of the Renaissance, Baltimore, 1970. 5. Sur celle-ci, voir J. SEZNEC, La Survivance des dieux antiques, Londres, 1940 ; 2' éd. fse, Paris, 1980, notamment p. 199-228, « La science mythologique au xw siècle ». Le même auteur a repris plus récemment l'essentiel de son propos dans l'article : « Moyen Âge et Renaissance. La survivance des dieux antiques », dans : Y. BONNEFOY (dir.), Dictionnaire des mythologies, Paris, 1981, p. 128-137. 6. Voir H. VON HOHENBURG, Thésaurus hieroglyphicorum, 1610, et toute 1. Voyez notamment J. BALTRUSAITIS, Essai sur la légende d'un mythe. La quête d'Isis, Paris, 1967. 2. S. MORENZ, Die Zauberflôte. Eine Studie zum Lebenszusammenhang Aegypten-Antike-Abendland, Munster-Cologne, coll. « Miinstersche Forschungen », n" 5, 1952 ; Die Begegnung Europas mit Aegypten, Zurich, 1969. 3. Aujourd'hui encore, le débat entre partisans et adversaires de la thèse du « monothéisme » pharaonique n'est pas vidé, même si la plupart des égyptologues ont dépassé ce qui n'est, au fond, qu'une fausse problématique ; voyez D. MEEKS et C. FAVARD-MEEKS, La Vie quotidienne des dieux égyptiens, Paris, 1993, p. 13. 4. J. YoYOTTE, « Champollion et le panthéon égyptien », Bulletin de la Société française d'égyptologie 95 (1982), p. 76-108. 5. Voir R. G. BONNEI. et V. A. TOBIN, « Christ and Osiris. A Comparative Study », Pharaonic Egypt. The Bible and Christianity, éd. Sarah I. GroU, Jérusa-1. Le pélican comme symbole de la solitude set-a également beaucoup
Cahiers de recherches médiévales et humanistes. …, 2008
Malgré l'importance qui a été reconnue depuis longtemps à l'activité littéraire de David Aubert, son style personnel et la langue de ses manuscrits ont rarement fait l'objet d'études spécifiques. Une telle lacune est liée essentiellement au manque d'édition de ses ouvrages, ce qui constitue un obstacle assez gênant pour la critique moderne. L'ouvrage que nous présentons ici constitue en fait, à notre connaissance, la deuxième édition moderne d'un texte de David Aubert, qui paraît environ cinquante ans après les Chroniques et Conquestes de Charlemaine, publiées par Robert Guiette (Bruxelles, deux tomes, 1940-1951). Ce manque est lié, d'un côté, à des raisons purement esthétiques, et notamment à la longueur décourageante des mises en prose et des remaniements, et, de l'autre, à des raisons philologiques : alors qu'ils s'inscrivent à l'intérieur d'une tradition textuelle, les manuscrits signés par David Aubert s'écartent trop du reste de la tradition et sont considérés comme des témoins autonomes, moins utiles pour l'établissement du texte critique.
Cahiers jungiens de psychanalyse, 2001
Dans Cahiers jungiens de psychanalyse Cahiers jungiens de psychanalyse 2001/2 (n° 101) 2001/2 (n° 101), pages 71 à 86 Éditions Les cahiers jungiens de psychanalyse Les cahiers jungiens de psychanalyse
2012
Entrevue que j'ai effectuée avec mon directeur de recherche, le professeur Thierry Karsenti de l'Université de Montréal. À l'occasion d'un dossier spécial sur "Les changements en éducation ces 20 dernières années" dirigé par la professeure à la retraite Colette Gervais de l'UdeM, j'ai interviewé Monsieur Karsenti à propos de l'évolution des TIC en éducation au cours des deux dernières décennies.
Du mythe de l'imaginaire à l'intelligence du social
Chronique d'Egypte, 1999
La confrontation de documents épigraphiques, papyrologiques, archéologiques et numismatiques, qu’ils soient grecs ou égyptiens, laisse apparaître la mise en avant du couple Sarapis/Isis dans la politique religieuse de Ptolémée IV à partir de 217, en remerciement du rôle qui fut prêté aux dieux lors de sa victoire sur Antiochos III à Raphia. L’épiclèse de « dieux sauveurs »leur est alors attribuée. The author observes that the coins of Ptolemy IV reveal a particular devotion towards Sarapis and Isis; many inscriptions dedicated to these deities under his reign designate Isis and Sarapis as "the saviour gods" (theoi soteres; e.g., SEG XXVIII 1571; XXXI 1528; I.Philai 1 5 and 6; SB 1 2136). This suggests that Ptolemy's success in the battle at Raphia (217 BC) was attributed to Isis and Sarapis. (A. Chaniotis)
Présentation de Charles Tiphaigne, Giphantie, 2021
En parlant de « Gaïa », nos contemporains font généralement référence à une sorte de super-organisme que formerait le « système Terre », sur la base d'une hypothèse formulée dans les années 1970 par le climatologue anglais James Lovelock et la biologiste états-unienne Lynn Margulis 1. Le livre que vous tenez entre les mains montre que « l'hypothèse Gaïa » vient en réalité de bien plus loin dans le temps, et de bien plus près dans l'espace. Car Gaïa a été aperçue pour la première fois depuis la Normandie. La date de sa première apparition peut être précisément assignée à l'été 1760. Son tout premier observateur était un humble médecin de Montebourg, né en 1720, mort en 1774, qui a fait paraître une demidouzaine de livres assez bien accueillis de son vivant, mais tombés dans l'oubli depuis 2. Il publia sa découverte, de façon anonyme, dans un livre intitulé Giphantie. Comme il s'appelait Charles Tiphaigne et jouissait d'une certaine notoriété, les journalistes français de l'époque firent parade de leur sagacité en dévoilant l'anonymat que cachait (mal) l'anagramme de son nom (Tiphaigne > Giphantie). Seul son traducteur allemand fut assez perspicace pour percer le double secret caché par la révélation trompeuse de l'anagramme. « Giphantie, précise une note de sa traduction parue dès 1761, est peut-être formé des mots grecs γη, Gaïa, la Terre, et φαινω, phainô, faire apparaître à la lumière, ou φανταζω, phantazô, faire apparaître-et l'ensemble pourrait signifier l'apparition de la Terre [Erderscheinung] ». Autrement dit : l'apparition de Gaïa.
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Bulletin du Cercle d'Etudes Numismatiques 49-1, 2012
Thiry, Claude, Les lettres romanes, numéro spécial. Louvain-la-Neuve, p. 233-251, 1997
in La Leçon des dialectes. Hommages à Jean-Philippe Dalbera, Alessandria, 2012, pp. 61-65.
ZPE, 130, 2000, p. 143-146.
Le diable du ciel Laurent Obertone, 2016
Bulletin de la Société Botanique du Nord de la France, 2020
Irénikon Revue des Moines de Chevetogne , 2018