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2017, Diplômées
Diplômées est une revue de l'Association Française des Femmes diplômées de l'Université. Dans le cadre de ses actions l'association cherche à donner de la visibilité aux femmes dans tous les domaines et notamment la recherche. Si le double-numéro précédent (260-261) interrogeait « Les migrations au féminin », nous avons choisi d'aborder dans ce nouveau double numéro, « Les violences faites aux femmes ». Nous avons rassemblé des chercheuses de tous horizons : droit, histoire, médecine, philosophie, psychologie, sociologie,… Ce choix éditorial n'est pas anodin et il a été décidé bien avant l'actualité « #balancetonporc » ou « #metoo ». Si la parole sociale semble se déployer plus facilement aujourd'hui, elle ne doit pas non plus masquer la réalité des violences que les femmes subissent chaque jour dans le monde. Cet ouvrage se prolonge par une conférence, à la mairie du 6ème arrondissement de Paris, le 25 novembre 2017, journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Autour de Michelle Perrot, historienne et Drina Candilis-Huisman, psychologue, psychanalyste, nous posons la question « les violences faites aux femmes-comment y résister ? » Cette conférence sera disponible sur le site de notre association : www.associationdesfemmesdiplomees.fr Ont participé à ce livre :
Diplômées , 2019
Dans ce numéro, nous avons souhaité interroger la thématique « femmes et géopolitiue(s) ». Quels sont leurs liens ? Là, nous pourrions très rapidement nous entendre dire que les femmes (en tant que nombre) font partie des variables des stratégies géopolitiques. Combien sont-elles ? Manquons-nous de femmes ? Pourrions-nous dire si, à l’échelle planétaire ou d’un pays, les femmes sont désirantes (avec la variable du nombre d’enfants par femmes) ? Les femmes ont été pendant des siècles considérées comme des variables d’ajustement, c’est ce que l’archéologue et préhistorienne Marija Gimbutas a démontré dans ses travaux. En mettant en avant que l’emprise du discours masculin sur les sciences humaines avait considérablement orienté notre construction mentale et sociétale.
Diplômées , 2017
Quand les femmes parlent des migrations au féminin. Dans ce recueil, les textes émanant des auteures de plusieurs pays sont accompagnés de récits détaillés de leurs travaux auprès de femmes venues d’ailleurs. De ces regards de femmes, sur d’autres femmes en souffrance à cause de la migration, émerge de ces récits au féminin, un autre regard plus éclairant.
Connexions, 2008
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Vst - Vie Sociale Et Traitements, 2017
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Revue européenne des sciences sociales, 2021
Champ pénal, 2010
Diplômées , 2022
Diplômées est une revue de l’Association Française des Femmes Diplômées des Universités (AFFDU). Revue scientifique à comité de rédaction, elle a pour vocation de promouvoir la recherche et la visibilité des femmes chercheuses en Europe. D’inspiration généraliste et interdisciplinaire, libre à l’égard de toute école de pensée et des modes intellectuelles, sa périodicité est de deux numéros doubles par an. Elle accueille ainsi des textes théoriques et de recherches. Depuis sa création (en 1920), l’AFFDU se mobilise pour faire vivre la paix. Mais son histoire qui est aussi la nôtre a été traversée par des guerres et des conflits. Si après la deuxième Guerre Mondiale, la paix en Europe semblait assurée, même si fragilisée, elle a tenu pendant une bonne soixantaine d’années. Cependant la guerre en Ukraine fait trembler nos certitudes en matière de paix, de stabilité sociale et de vie en commun. Cette actualité qui bouleverse, renverse nos émotions, pousse les états à s’armer davantage. Mais cette escalade n’est-elle pas un facteur aggravant ? Il nous a ainsi semblé pertinent de réfléchir à la paix, à ce qu’elle signifie et à ce qu’elle exige. La paix est-elle une absence de guerre ou bien est-ce le meilleur état des relations entre les groupes humains ? Ont participé à ce numéro : Valérie Simonnet, Léa Lootgieter, Isabelle Béné, Hélène Romano, Claire Lefort-Rieu, Inès Corinto, Cécile Dubernet, Annie Demoulin & Richard Pétris, Sonia Bressler, Anne Bergheim-Nègre, Claude Mesmin, Élisabeth Nicoli & Christine Villeneuve, Eileen Rocard, Francine Rosenbaum, Geneviève Bouché, Anuchika Stanislaus-Mallet, Denise Pumain.
2002
Assurer un accès universel aux services de base... Les besoins urgents et immédiats des femmes et des filles doivent consister au minimum dans : un service d’assistance téléphonique 24 heures sur 24, des services d’intervention rapide pour leur sécurité et leur protection, des logements et des abris sûrs pour les femmes et leurs enfants, des prises en charge psychologiques et sociales, des soins médicaux post-viol et une assistance juridique gratuite afin d’aider les femmes à mieux comprendre leurs droits et leurs options.
Au-delà de son acception religieuse originelle, le terme « victime » est de nos jours principalement employé dans son sens « profane » : victimes sont les êtres qui subissent des violences, ou sont impliqués dans des accidents, ou sont touchés par des catastrophes naturelles, pas uniquement ceux qui succombent, mais aussi les survivants, ceux qui subsistent à un événement brutal. Le trait principal qui qualifie un être de « victime » est dès lors la souffrance occasionnée par tout événement de l’ordre du traumatisme 1. C’est dans ce sens général et en lien avec son acception religieuse, plus spécifique, que le terme « victime » est pris en compte dans notre réflexion. Ce terme, hérité du latin, a connu une importante extension dans son emploi au XXe siècle, développement qui se poursuit par ailleurs en ce début de IIIe millénaire. Lorsque cette recherche sur la « victime » en était encore à ses débuts, nous nous sommes rendu compte qu’une approche gender specific nous aurait beaucoup apporté. On aurait presque envie de dire que dans notre imaginaire culturel la « victime est un substantif féminin ». Conformément au domaine d’étude qui est le nôtre, c’est-à-dire l’histoire des religions et l’anthropologie, notre regard se concentre sur l’histoire du concept de « victime » et sur la place qu’il occupe dans notre imaginaire culturel, plutôt que dans l’actualité. Ce livre ne fait donc pas état de rapports d’organisations internationales sur les victimes, ni d’enquêtes statistiques, ni d’analyses psychologiques. Il n’a pas non plus la prétention de présenter l’histoire exhaustive du concept. Notre but est d’illustrer des jalons de la perception de la victime, perception qui est bien enracinée dans l’imaginaire collectif, sur la base d’analyses de documents historiques et artistiques, et par le biais d’un dialogue avec nos collègues issus de domaines culturels variés. Les articles réunis ici sont le résultat de deux colloques transdisciplinaires organisés à Genève en 2009 et en 2010.
Revue européenne des sciences sociales, 2021
Dans la panoplie de recherches portant sur la violence politique, les études qui traitent de l’engagement politico-militaire des femmes, peu nombreuses à l’origine, occupent une place de plus en plus importante. Par la variété des perspectives et par la profondeur des contributions, l’ouvrage codirigé par Caroline Guibet Lafaye et Alexandra Frénod, qui réunit les communications présentées dans le cadre d’un atelier du Laboratoire d’excellence Tepsis organisé en 2016, réussit à contribuer d’une manière décisive à l’enrichissement de la littérature dans ce domaine situé inévitablement au carrefour de plusieurs disciplines, telles la sociologie, l’histoire, l’anthropologie ou la science politique.
Diplômées , 2019
Dans ce numéro de Diplômées nous interrogeons les nouvelles pratiques culturelles afin de tenter de circonscrire la culture à l’heure du « tout numérique ». Parler des cultures numériques, c’est parler des choses qui fâchent comme l’obéissance (ou la soumission librement consentie), la mondialisation, l’obsolescence programmée, la culture de masse, les inégalités numériques, l’intelligence artificielle, les biais cognitifs entretenus ou créés, et en arrière plan la privatisation des enjeux géopolitiques…
Cahiers du Genre, 2019
À partir d’une recherche sur l’histoire de la psychologie féministe nord-américaine, cet article aborde la façon dont les travaux de psychologues féministes sont mobilisés pour dénoncer les violences envers les femmes et revendiquer des politiques publiques pour lutter contre celles-ci. Dans un contexte où les effets psychiques de l’oppression des femmes sont devenus une évidence, il s’agit de retracer l’histoire d’un processus de politisation de la psychologie dont on ne semble parfois retenir aujourd’hui que les éléments les plus conservateurs. Le cas des approches psychologiques des violences envers les femmes éclaire également plus globalement les enjeux de la qualification d’un processus de « psychologisation ».
Actes du colloque. 26 février 2013
Apostolato Universale, 2019
Sommario: In questi ultimi anni, la Chiesa Cattolica sta affrontando il problema dell'abuso sessuale compiuto dai membri del clero sui minorenni. Davanti a questa situazione, nessuno dovrebbe rimanere indifferente. Come tale, è un crimine che va affrontato con ultima energia. Ma par combattere, occorre capire questa tragedia in tutte le sue complessità. Perciò, in questo articolo, che è un estratto della mia tesi di dottorato, presenterò le definizioni della violenza sessuale, le sue forme, i suoi contesti e le sue conseguenze sulla vittima nella sua relazione con se stessa, con gli altri e con Dio.
Diplômées , 2018
Dans ce numéro, nous avons souhaité interroger la thématique « de l’art et des femmes ». Quels sont leurs liens ? Les femmes ont-elles toujours été considérées comme des artistes ou bien simplement comme des « objets » à recréer ? De la préhistoire à l’Antiquité, les femmes sont représentées comme des déesses, des héroïnes. Elles ne sont cependant pas perçues comme des artistes. Il faut attendre le XIXe siècle pour commencer à voir des femmes s’imposer comme artistes. Et c’est en poursuivant leurs combats que le XXe siècle leur ouvre les portes des rencontres avec le public.
Cahiers du Genre, 2003
Dans Cahiers du Genre Cahiers du Genre 2003/2 (n° 35) 2003/2 (n° 35), pages 45 à 70 Éditions Association Féminin Masculin Recherches Association Féminin Masculin Recherches
Chimères
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Annales historiques de la Révolution française, 2014
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