Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
…
3 pages
1 file
Distribution électronique Cairn.info pour Armand Colin. © Armand Colin. Tous droits réservés pour tous pays.
Carrés de Pythagore de l'Astrologia Gallica 13 personnages en 58 carrés de Pythagore tels sont les médaillons publiés dans l'Astrologia Gallica en illustration des textes. L'analyse attentive des personnalités revèle un choix opéré en fonction des personnalités et d'une histoire vécue par le sélectionneur. Lequel n'était pas Jean Baptiste Morin Voici les premières explications sur un texte non analysé depuis 355 ans.
ADALYA XVI, 2013
Les sources écrites nous remettent un matériel riche et authentique sur la vie religieuse du Durostorum haut-chrétien. Dans les divers hagiographies, calandriers d'église, ménologes et les monuments de lapidarium sont contenues des renseignements de douze saints martyrs de la première moitié du IVe siècle; quelques-uns de ceux-ci, comme St. Dasius et St. Emilian, sont très populaires dans tout le monde chrétien 1 . Il est évident qu'une telle ville, couverte de la gloire de martyr, comme Durostorum, reçoit une chaire épiscopale dès les premières années après la confirmation du chrétianisme comme la religion officielle dans l'Empire romain. On sait avec certitude que vers 380, l'évêque de Durostorum est Mercurian, disciple du guide spirituel des Gothes Ulfila. Après la mort d'Ulfila à Constantinople en 383, Mercurian est obligé de quitter Durostorum et de s'établir à Mediolanum (Milan) sous le nom d'Auxentius comme évêque des arians 2 . Le renseignement suivant d'un l'évêque est lié avec le Troisième concile oecuménique à Efes où est présent l'évêque Jacob de Durostorum 3 . Il n'y a pas d'indications catégoriques pour la participation d'un évêque de Durostorum au Quatrième concile oecuménique à Halquédon en 451, mais en 458 Monofilitus de 1 Н. Delehaye. Saints de Thrace et de Mésie,
Electrum, 2013
EUROPOS-DOURA sÉLEUCIDE * « Ce que nous savons de son plan, de ses bâtiments et de sa constitution antérieurs montre que l'Europos des premiers séleucides n'était pas une simple forteresse ni un village militaire, mais une association entre une puissante forteresse et une cité bien construite, au plan soigneusement étudié ». C'est ainsi que s'exprime M.I. Rostovtzeff dans son oeuvre maîtresse qui couronne une vie de recherches savantes dont dix années consacrées à l'exploration d'Europos-Doura. 1 Quelques pages plus loin, il confi rme : « La plupart de ces colonies (en Syrie, Mésopotamie et Iran), comme nous l'avons montré plus haut, avaient une constitution de cités et étaient d'authentiques poleis grecques ». Cinquante ans plus tard, E. Will ajoute : « Le sol de la Syrie n'a encore livré les vestiges d'aucun édifi ce de quelque importance de la période hellénistique », à l'exception d'Europos-Doura qui, par ses remparts, son plan hippodaméen et son agora constitue le seul exemple qui « offre encore l'image claire de ce qu'était une fondation séleucide ». 2 Depuis que ces dernières pages ont été écrites, certaines villes séleucides telles qu'Apamée du Bêlos, Zeugma, Djebel Khaled 3 ou, depuis peu, Cyrrhus ont été identifi ées et fouillées, apportant leur lot d'informations nouvelles. Mais c'est effectivement encore Europos de l'Euphrate, grâce à la richesse de la documentation écrite ou archéologique qu'elle nous a livré, qui nous fournit l'image la plus complète d'une ville séleucide. Même si les témoignages directs de ce que fut l'Europos grecque sont bien moins abondants que dans de nombreuses cités d'Anatolie, ils sont incontestables pour l'époque séleucide, en particulier dans le paysage urbain. Et l'on peut également en déceler l'empreinte dans la ville dominée par les Parthes (vers 115 av.n.è.-165 de n.è.), puis par les Romains (165-256) et jusqu'à la conquête sassanide qui met fi n à l'existence d'Europos en 256. * Je tiens à remercier ici S. de Pontbriand pour son aide effi cace et ses suggestions dans la rédaction et la mise en forme de cet article.
Chronique des activités archéologiques de l’École française de Rome, 2012
Chronique des activités archéologiques de l'École française de Rome Italie centrale | 2012 Castrum Novum Chronique des campagnes de septembre 2010 et septembre 2011
Parmi les souverains pontifes qui ont marqués la vie de l'Eglise, sa sainteté le Pape Jean-Paul II est l'une des figures qui aura marqué d'une tache indélébile son service à l'Eglise et au monde sur le trône de saint Pierre. En effet Karol Józef Wojtyła de son vrai nom, est devenu Jean-Paul II à son élection au Siège apostolique d'octobre 1978. Il est né le 18 mai 1920 à Wadowice, petite ville située à 50 km de Cracovie. Il est le plus jeune des trois enfants de Karol Wojtyła, son père et d'Emilie Kaczorowska, sa mère. Au cours de son pontificat, Jean-Paul II a présidé 15 Synodes des Evêques: 6 ). Il est décédé au Vatican le 2 avril 2005 et fut canonisé 9 ans plus tard, le 27 avril 2014 en la Basilique Saint-Pierre par le pape François. A son actif, on compte plusieurs documents majeurs dont 14 encycliques, 15 exhortations apostoliques, 11 constitutions apostoliques et 45 lettres apostoliques. Parmi les encycliques de saint Jean-Paul il y a une qui retient particulièrement notre attention. Il s'agit de la Lettre encyclique Redemptoris Missio sur la valeur permanente du précepte missionnaire, mieux, sur l'urgence de l'activité missionnaire. Elle fut signée par le Pape Jean-Paul II le 7 décembre 1990 à l'occasion du XXVe anniversaire du décret du concile Vatican II Ad Gentes, sur l'activité missionnaire de l'Église. Notre travail consistera donc à faire dans un premier moment, une présentation générale de l'encyclique dans laquelle nous ferons ressortir l'objectif principal du document ainsi que sa structure. Ensuite, nous proposerons une synthèse du message qui apparaît dans l'encyclique et nous déterminerons de la portée qu'elle a pu avoir avant de tenter une actualisation du message que nous livre le regretté pape Jean-Paul dans cette lettre encyclique.
Revue des Questions Scientifiques, vol.192, n°3-4, pp.281-300, 2021
Le 27 décembre 2021 marque le 450e anniversaire de la naissance de Johannes Kepler (1571-1630). Si Nicolas Copernic et Galileo Galilei sont le plus souvent présentés comme les phares de la révolution astronomique, Kepler est malheureusement parfois perçu comme un acteur secondaire dont le rôle et le travail auraient seulement servi de fondement à Isaac Newton (1643-1727) dans l’élaboration de sa théorie de la gravitation universelle. Newton a été l’héritier génial de Kepler en intégrant magistralement et naturellement la nouvelle mécanique céleste de ce dernier dans sa théorie de la gravitation. Considérant où Kepler se situe historiquement, il mérite d’être élevé au panthéon des géants qui ont transformé notre vision de l’univers et établi les fondements de la science contemporaine. Après un bref rappel de son œuvre, je montre que la pensée et la méthode de Kepler persistent profitablement dans l’astronomie d’aujourd’hui.
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
Initial. A Review of Medieval Studies, 4. , 2016
Journée d’études transdisciplinaires des Masters sur le genre, 2020
Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, 1993
Arqueología de la construcción III Los procesos constructivos en el mundo romano: la economía de las obras, 2012
Croutsch et al. 2020, 2020