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2018, Conférence International sur le français
Cet article examine le style de mode vestimentaire connu par le nom de Bon Chic Bon Genre (BCBG) mis au point par les Bourgeois en France après la crise pétrolière en 1979. Ce style de mode reflètte le statut social du groupe des personnes qui étaient les membres de la classe sociale la plus haute en France de l'époque. Le BCBG est né au sein de la communauté bourgeoise qui veulent se séparer des autres classes sociales à travers de la manifestations des valeurs de ce groupe. Le but c'est de présenter le BCBG non seulement comme un style de mode vestimentaire mais aussi les valeurs pratiquées comme mode de vie des Bourgeois. Les détails dans le style de mode BCBG seront analysés à l'aide de la sémiotique de Roland Barthes. Le dernier explique que les vêtements sont des « signifiants » et le style ou la mode comme « signifié » pour arriver à trouver le « mythe » qui relie les signes qui montrent le lien entre le style de la mode vestimentaire avec la mode de vie bourgeoise. Les résultats révélent que les Bourgeois font la distinction pour déterminer sa position ou se distinguer au sein de la société. Cette distinction des Bourgeois sera examinée en utilisant la théorie de la distinction de Pierre Bordieu qui est un concept de la ségrégation des dominants comme une étape d'établir leur position et de distinguer leurs valeurs des autres. Les mots clés: BCBG, les bourgeois, la mode en France, la sémiotique, la théorie de la distinction.
1977
Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web :
2012
Je prends appui sur la maniere dont je me suis efforce de participer, surtout au cours des 10 dernieres annees, a la relance du questionnement classiste pour souligner son actualite recente . J'essaie ensuite de repondre a la question ici posee des liens entre les notions de salariat et de classes sociales. Je termine en evoquant un livre en cours d'ecriture avec trois autres collegues sur la question des classes populaires, et en insistant sur l'urgence du decloisonnement des sociologies specialisees, au premier rang desquelles les sociologies des categories et groupes sociaux, et les sociologies des mouvements sociaux.
Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie, 2008
Classiques des sciences sociales., 2005
Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web :
Résumé Longtemps, les classes sociales ont été un concept total de la sociologie permettant de décrire, à la fois, la structure sociale, les identités collectives et les mouvements sociaux. C’est cette capacité analytique qui s’est défaite sous l’effet des mutations économiques, de la culture de masse et des transformations politiques. Classes sociales et stratification se sont largement séparées. Pour autant, il ne faut pas renoncer à la notion de classe sociale, à condition de lui réserver un usage analytique et critique, celui de l’étude des rapports de domination tels qu’ils se manifestent dans l’expérience subjective des acteurs. Abstract What to do with social classes? Social classes were long a central concept of Sociology, allowing it simultaneously to describe social structure, collective identities, and social movements. This analytic reach has been undermined by the effects of economic change, mass culture, and political transformations. Social classes and stratification are essentially separate. Nonetheless, there is no need to abandon the concept, as long as it is used analytically and critically to study relations of domination as they appear in the subjective experience of actors.
Mouvements, 2007
Distribution électronique Cairn.info pour La Découverte. Distribution électronique Cairn.info pour La Découverte. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Article disponible en ligne à l'adresse Article disponible en ligne à l'adresse https://www.cairn.info/revue-mouvements-2007-2-page-79.htm Découvrir le sommaire de ce numéro, suivre la revue par email, s'abonner... Flashez ce QR Code pour accéder à la page de ce numéro sur Cairn.info.
Actes de la recherche en sciences sociales, 2017
Distribution électronique Cairn.info pour Le Seuil. © Le Seuil. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
Revue de l'OFCE, 2001
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Revue de la régulation [En ligne], 22 | 2nd semestre / Automn 2017, mis en ligne le 23 février , 2018
La financiarisation, en fractionnant le salariat, en généralisant l'endettement et en laissant à penser que la propriété s’était universalisée, a modifiéles rapports entre groupes sociaux, transformé les formes de conflits, ainsi que les modes de représentation politique. L’objectif de cette introduction est de suggérer, à partir d’enquêtes empiriques, des pistes de réflexion sur ce que fait la financiarisation aux modes de division du monde social. L’analyse de la société en termes de classes antagonistes, longtemps centrale en sciences humaines, s’est estompée. Or, depuis la crise économique, la question de la dette – sa marchandisation par le capital financier tout comme les formes d’ascension sociale ou de surendettement populaire qu’elle engendre – ravive le vieux problème de la définition des classes sociales et permet de comprendre comment les rapports entre les classes ont évolué sous l’action du capital financier. Il s’agit d’analyser les dynamiques de formation des groupes sociaux mais aussi les jeux de consolidation et de déstabilisation de ces groupes. Mais cet exercice réflexif sur les catégories en jeu s’accompagne, dans le même mouvement, d’une visée descriptive réaliste, c’est-à-dire capable de distinguer les degres de réalité pris par tel ou tel groupe, d’évaluer les asymétries, et d’analyser les rapports de force entre groupes et catégories sociales. Les conditions d’existence des populations, brouillées par le recours massif au crédit dans de nombreux pays, ont largement été transformées par la financiarisation de l’économie. Celle-ci donne une consistance, temporaire et fragile, à l’idéal politique – porté notamment par les gouvernements successifs de centre-gauche et de centre-droite – d’une société sans classes, dont l’un des centres de gravité serait la petite propriété et la classe moyenne étendue à tout le corps social.
2017
Inlormotion bibliogrophique publiée por <rDie Deutsthe l{otionolbibliothekr <Die Deutsche Notionohibliothek> répertorie rette publicolion dons lo <DeuÏsche Nolionolbibliogrofie>; les données bibliogrophiques détoillées sont disponibles sur lnternet sous <http://dnb.d-nb.de>. CeTle publicolion o foit l'obiet d'une évoluoÏion por les poirs. Tous droils résetvês. Rêimpression ou reproduction interdites por n'impofe quel procêdé, noTommenÏ por microfilm, xêrogrophie, microfkhe, microcoûe, offset, etc.
2018
Une équipe de sociologues et de politistes a mené une longue enquête de terrain dans une région rurale en y étudiant les relations entre différents groupes sociaux (agriculteurs, ouvriers, cadres, enseignants, etc.). En proposant de saisir l’espace social à une échelle locale, l'ouvrage éclaire la transformation des rapports sociaux dans une France rurale contemporaine marquée par les restructurations industrielles, la concentration agricole ou le déclin des petites villes.
Nouvelles FondationS, 2007
Au centre des débats politiques et sociaux tout au long du xxe siècle, sous l’impact en particulier du marxisme qui lui a donné une visibilité dans différentes scènes – idéologique, politique, artistique mais aussi scientifique –, la « classe ouvrière » est désormais associée dans l’espace public à la question de sa fin, constamment...
1987
Le processus d’industrialisation de la région métropolitaine de Salvador (BahiaBrésil) dans les années cinquante à quatre-vingts constitue bien des classes, mais qui n’agissent ni ne se représentent en tant que telles au niveau politique. L’auteur en donne les raisons, historico-culturelles et actuelles : intervention massive de l’Etat dans l’économie, contrôle politique étroit du régime militaire. Sur cette base de pseudo-représentation, naît prématurément une société de masse, où la lutte des classes entre elles est remplacée par le conflit de répartition et la compétition pour l’accès à 1’Etat.
Revue Française de Sociologie, 1980
1Er Congres De L Association Francaise De Sociologie Universite Paris 13 Villetaneuse 24 28 Fevrier 2004, 2004
La conjoncture de notre discipline est marquée par un certain retour des interrogations en termes de classes sociales 1 , retour qui n'est pas sans lien avec le nouveau cycle sociopolitique initié au milieu des années 1990, au plan national comme au plan mondial. En ayant pris l'initiative d'un ouvrage sur ce thème 2 , on souhaite participer de ce mouvement et des débats qui l'accompagnent. Car l'accord est général pour affirmer qu'une conceptualisation en termes de classes et de rapports de classes n'a de pertinence qu'actualisée et renouvelée. Nous n'en sommes probablement qu'aux (re)fondations de ce chantier immense, de même qu'est gigantesque le défi d'une reconstruction d'une alternative sociale, posé à la galaxie des mouvements sociaux.
Savoir/Agir, 2015
Distribution électronique Cairn.info pour Éditions du Croquant. © Éditions du Croquant. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit.
2011
Ce document est diffusé sous le contrat Creative Commons « Paternité -pas d'utilisation commerciale -pas de modification » : vous êtes libre de le reproduire, de le distribuer et de le communiquer au public à condition d'en mentionner le nom de l'auteur et de ne pas le modifier, le transformer, l'adapter ni l'utiliser à des fins commerciales. remerciements s'adressent en premier lieu à mon directeur de thèse, Jean-Yves Authier, dont l'encadrement scientifique, les orientations et les conseils ont été extrêmement formateurs. Son soutien a été constant depuis le DEA et jusqu'aux derniers jours de la rédaction de ce mémoire. Je le remercie pour son implication dans cette thèse, pour ses relectures indispensables et pour la confiance qu'il m'a accordée tout au long de ce travail. Je remercie vivement Marie-Hélène Bacqué, Catherine Bidou-Zachariasen, Yves Grafmeyer et Sylvie Tissot d'avoir accepté de lire et d'évaluer ce travail. Cette thèse repose en grande partie sur des entretiens réalisés avec des habitants des Pentes de la Croix-Rousse à Lyon et du Bas Montreuil à Montreuil. Qu'ils soient chaleureusement remerciés pour leur accueil et pour le temps qu'ils m'ont accordé. Sans eux, ce travail n'aurait pas été possible. Je remercie Alexandre Kych et le CMH-ADISP pour la fourniture des données de recensement de l'Insee. Sans l'aide de Julien Barnier, ingénieur d'études au Groupe de Recherche sur la Socialisation, leur traitement aurait été incontestablement plus fastidieux. Je le remercie de m'avoir initiée au logiciel R et de m'avoir assistée dans ce travail. Merci également à François Cusin et Claire Juillard de la Chaire Ville et Immobilier (Fondation Dauphine) qui m'ont permis, en m'intégrant à leur équipe, d'avoir accès aux données des bases Bien et Perval. Jean-Marc Mannier à la SERL, Pascal Fuchs, Marie Brion et Julien Hederer à la Mairie de Montreuil ont été des interlocuteurs disponibles et précieux ; je les remercie pour les informations et la documentation mises à ma disposition. Les opportunités de présenter mon travail devant des collègues expérimentés ont toujours été très utiles. Je remercie en particulier les membres du Groupe de Recherche sur la Socialisation (Université Lumière Lyon 2) ainsi que du laboratoire ERMES (Université de Nice) pour le temps et l'écoute qu'ils m'ont accordés, ainsi que le RT 9 "Sociologie de l'urbain et des territoires" de l'AFS et le GIS Socio-économie de l'habitat qui ont constitué deux espaces de discussion scientifique très appréciables. Les analyses présentées ici doivent beaucoup aux échanges avec les doctorants et jeunes docteurs du GRS et en particulier aux membres du laboratoire junior Focales, dont l'entourage à la fois scientifique et amical est précieux : Loïc Bonneval, Jennifer Bidet, Aurélien Gentil, Pierre Gilbert, Colin Giraud, Johana Meynier, Hélène Steinmetz et Camille Valérion. Les discussions avec Hélène Steinmetz, en particulier, ont été d'une grande richesse ; un grand merci, donc, de m'avoir plusieurs fois tirée de la panique et aidée à progresser dans mes analyses. Merci également à Yann Faure pour ses commentaires et ses suggestions, notamment au sujet des enquêtes de terrain. Loïc, Pierre, Colin et Hélène ont en DEUXIEME PARTIE. LE « TRAVAIL » DE GENTRIFICATION DU BAS MONTREUIL : UNE VALORISATION RECIPROQUE DE L'ESPACE ET DES HABITANTS.
S’il est indéniable que les classes populaires contemporaines sont caractérisées par une hétérogénéité beaucoup plus forte que par le passé, il n’en demeure pas moins que cette diversité se dérobe pour partie aux tentatives de théorisation. Les travaux sociologiques semblent dès lors alterner entre descriptions empiriques et propositions de nouveaux paradigmes. Prenant au sérieux la troisième dimension de l’espace social (la trajectoire sociale) que Bourdieu avait proposée sans toutefois la mobiliser pour l’analyse des classes populaires, nous défendons ici l’idée suivant laquelle la mobilisation de cette dimension s’impose autant pour l’analyse des classes populaires d’aujourd’hui que pour celle des classes moyennes d’hier.
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