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The importance of the Psalms in the liturgical and devotional life of Byzantium has been investigated by eminent scholars. In the recent past, significant studies have outlined the manuscript tradition of the Greek Psalter in Byzantium more clearly than even before. Ongoing projects bring to light Byzantine epigrams and metaphrases of the Psalms. Yet other avenues still await further exploration, such as the Byzantine perception of the biblical Psalms as poetry. In my thesis I aim to study the influence of the Psalms on the Byzantine penitential poems called κατανυκτικά, most of which are still unedited, and require in-depth investigations. In particular, I want to demonstrate in which way, and with which intensity, the Byzantine penitential poems drew from the Psalter, also by outlining the peculiar elements related to self-expression and compunction, that the κατανυκτικά share with the Psalms. With this research I intend to contribute to a nuanced scholarly appreciation of how the Psalms were read and interpreted by Byzantines, as a literary and poetical text. In this presentation, I will introduce my project, focusing on my methods, sources and research corpus.
Archives de sciences sociales des religions, 2020
Chez Gallimard, la celebre collection de la NRF intitulee « Les Trente Journees qui ont fait la France » devient, en 2005, « Les Journees qui ont fait la France ». A la faveur de ce remaniement, plusieurs titres sont reedites, d’autres sont reecrits. Ainsi Le Bapteme de Clovis par Bruno Dumezil vient, en 2019, reactualiser le sujet en remplacant le Bapteme de Clovis de Gerard Tessier date de 1964, la premiere des « Trente Journees » qui inaugurait la construction de l’identite nationale. L’ou...
2022
Colloque organisé par l’Institut national de recherches archéologiques préventives, l’Institut historique allemand à Paris et le musée d’art et d’histoire du Judaïsme
2022
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Les travaux ethnographiques consacrés à l’appropriation du christianisme par les populations autochtones des Amériques ont souvent insisté sur le caractère éphémère ou inconstant des conversions amérindiennes. Or de nombreux groupes indigènes se revendiquent aujourd’hui chrétiens depuis plusieurs générations. En outre, certains ne se sont pas seulement emparés du message chrétien : ils ont aussi modifié le culte, qu’ils célèbrent parfois dans leur propre langue, voire, parmi ceux qui adhèrent au protestantisme évangélique, créé leurs propres Églises. Ainsi, les Amérindiens ne se contentent plus de s’approprier une religion exogène mais produisent à présent leurs propres modèles chrétiens, fondés sur des valeurs et des usages spécifiques. Cette journée d’étude entend explorer, à partir de plusieurs études de cas, les pratiques et les représentations chrétiennes cultivées par des populations autochtones de l’Amérique du Sud. L’appropriation du christianisme, les relations politiques avec les missionnaires, l’autonomisation et l’institutionnalisation des mouvements chrétiens amérindiens, ainsi que leur diffusion éventuelle seront abordées par les différentes contributions. La plupart de celles-ci porteront sur les basses terres du continent sud-américain mais les discussions incluront des spécialistes d’autres aires culturelles et d’autres époques.
2015
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Actualité de la photographie en Suisse en octobre. Ce mois, les passionnés de photographie ont l'occasion de célébrer l'image lors de No'Photo, première nocturne de la photographie à Genève, ou en visitant la Biennale dell'immagine au Tessin, qui célèbre sa dixième édition avec une belle thématique d'actualité : "Borderlines. Città divise/Città plurali". Plusieurs photographes contemporains sont à découvrir lors de ce festival ainsi que dans les nouvelles expositions présentées dans Photo-Theoria. Le département Photographie de l'ECAL – École cantonale d'art de Lausanne – est l'un des phares de l'actualité d'octobre : l'exposition des diplômes Bachelor et Master 2017, puis l'exposition et le symposium Augmented Photography, qui traitent en particulier de l'inscription de la photographie dans le flux numérique actuel. Pour lire la suite : http://phototheoria.ch/f/PhotoTheoria24_201710.pdf Magazine mensuel sur l'actualité de la photographie contemporaine Rédaction : Nassim Daghighian PDF gratuit disponible sur : www.phototheoria.ch Photo-Theoria vous propose des comptes rendus de publications récentes et d'expositions en lien avec la photographie contemporaine, ainsi qu'un aperçu de l'actualité des expositions de photographie en Suisse. Créé en 2011, Photo-Theoria est un site de ressources pédagogiques ainsi qu'un magazine en ligne depuis 2015. Historienne de l’art spécialisée en photographie, Nassim Daghighian est membre de l'AICA – Association Internationale des Critiques d’Art. Elle enseigne la photographie contemporaine, l’histoire de la photographie et l’analyse d’image au CEPV depuis 1997. De 1998 à 2004, elle a été conservatrice associée au Musée de l’Elysée, Lausanne. Elle s’engage dès 1998 dans la promotion de la création actuelle.
Une intervention pendant l'AGA de ACAT-Québec, 2018.
2023
XIV èmes Rencontres internationales des jeunes chercheurs en études byzantines de l'Association des étudiants du monde byzantin Paris, 6-7 octobre 2023
« Robinson sans royaume » – L’énoncé semble aller de soi tant Robinson est une figure de la rupture et de la perte du monde. Mais quand on le rapporte au Robinson de Defoe, on se rend compte que la nostalgie du royaume y est constante et que l’histoire de cet homme échoué sur une île est indissociablement celle de la reconstruction du monde humain et de l’advenue du règne de Dieu – retour impérieux à l’origine, accomplissement de la volonté du père. Ce « Robinson-roi », muré dans sa conscience théologique et coloniale, figure allégorique du salut et de la (bonne) apocalypse, ne s’offre-t-il pas aujourd’hui, à l’heure de l’anthropocène et de la sixième extinction des espèces, comme un mythe à distordre et à perturber ? On pourrait avancer une hypothèse de lecture : toute reprise de l’histoire de Robinson prendra la forme d’un parricide ou tout au moins d’une sérieuse mise à mal de la figure du père (jusqu’à porter atteinte à la paternité auctoriale, chez Coetzee) ; ces reprises du mythe procéderont par addition ou soustraction, et d’abord supprimeront l’a priori du royaume, de ce monde supérieur qui rachète la perte (temporaire, temporelle) du monde humain, qui justifie l’exploitation de la nature, qui légitime l’esclavage de Vendredi et l’assassinat des cannibales. Dans l’horizon contemporain, Robinson apparaît moins un héros dominateur qu’un humain descendu plus bas, « dans les limbes » ou dans « une sphère de démesure » (Chamoiseau), faisant l’épreuve de la disparition du sens, de la fragilité des structures psychologiques, de la précarité de toute limite. Un survivant qui, progressant sur ce chemin négatif, s’ouvre à une altérité multiforme : Vendredi, Speranza (Tournier), Susan (Coetzee) ou le « oui-autiste » (Demoulin). C’est sur cette contemporanéité de l’enrichissement et de la perte, sur les agencements nouveaux que cette dernière rend possible, que nous invitent à réfléchir les différentes figures de Robinson. Mais c’est aussi le sens même de l’altérité qui est en question : qui est autrui ? Et qui sont ceux que Deleuze appelait les « autres qu’autrui » ? Loin d’être un autre que soi ou un alter ego, autrui n’est-il pas l’un d’eux précisément, portant avec lui, plutôt qu’une identité définie, une invitation à devenir autre ? Qui est Vendredi ? Qui est Robinson ? Les réécritures contemporaines de la robinsonnade contribuent à brouiller et à rendre indécidables les réponses à cette question. Mais cette altérité n’est pas seulement rencontrée : elle est partout, elle est mobile et protéiforme, autour d’un Robinson qui s’altère lui aussi, emporté dans le flux des métamorphoses. Nouvelle nature, nouvelle animalité, nouvel autrui : expérience d’une altération globale qui consonne avec le monde disloqué et incertain de l’anthropocène où nous vivons aujourd’hui, à la fois exposé à la destruction et nous révélant la diversité de ses puissances. Robinson est le témoin privilégié de la fin d’un monde, celui de la modernité conquérante, et en même temps l’acteur (pas toujours consentant, souvent résistant, souvent en souffrance) d’une redéfinition du monde et de la manière d’y habiter. Ce changement de climat, de milieu de vie, l’affecte dans ce qu’il a de plus intime, sa sexualité ou les limites mêmes de son corps (Tournier). Tous les éléments bougent ensemble, donc, et se modifient réciproquement. L’histoire de Robinson (qui en réalité n’est plus la sienne, mais celle de Vendredi, de Susan, de la terre, des animaux, des vivants) ne serait-elle pas celle d’une fin où s’inventent aussi de nouveaux liens, où prennent de nouvelles greffes – fin du monde ingénieuse et régénératrice ? Ne faudra-t-il pas dire Robinson plus riche d’avoir perdu son royaume ?
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Appel à communications - Rencontres Frankenstein 2018, 2018