Academia.edu no longer supports Internet Explorer.
To browse Academia.edu and the wider internet faster and more securely, please take a few seconds to upgrade your browser.
…
5 pages
1 file
Philippe Poirrier, recension de « Jacques WALTER, La Shoah à l’épreuve de l’image, Paris, PUF, 2005 dans Questions de communication, 10 | 2006.
Recension d'ouvrage publiée dans le Bulletin de la Société Préhistorique Française, 117/4, 2020
Revista Ágora Filosófica
Céline Jouin * Dans un article intitulé « Vitoria und die Geschichte seines Ruhmes », que Schmitt a publié anonymement en juillet 1949 dans la revue Die Neue Ordnung et qu'il a repris ensuite dans Le nomos de la terre en le modifiant légèrement, Schmitt donne son interprétation de l'oeuvre de Francisco de Vitoria (1486-1546) et de sa place dans l'histoire du droit des gens. Depuis la fin de la Première Guerre mondiale, le théologien espagnol et défenseur du droit des Indiens était devenu le maître des pacifistes et les wilsoniens qui le présentaient comme le véritable père du droit des gens. Dans son journal, Schmitt note que «Vitoria et la dé-théologisation du droit des gens (Enttheologisierung des Völkerrechts) » est « son grand thème 1 ». On s'en aperçoit en lisant le Glossarium 2. La critique de son article de 1949 sur Vitoria par l'internationaliste von der Heydte 3 avait d'ailleurs beaucoup affecté Schmitt, qui n'a pas répondu publiquement à son collègue mais qui a longtemps exprimé son irritation à ses amis 4. La lecture que Schmitt délivre des Relectiones de Vitoria a beau être fameuse, elle est rarement commentée et ceux qui tentent de l'interpréter expriment souvent le désarroi dans lequel elle les laisse 5. Certains spécialistes qui sont d'accord avec Schmitt
Archives De Sciences Sociales Des Religions, 2001
Théologiser comme radicalisme illustré Propos Depuis le contexte catalan-hispanique, les défis pour la théologie peuvent être envisagés moyennant les apports de penseurs tels que Marina Garcés (Barcelone, 1973) avec sa «Nouvelle illustration radicale» et Francesc Torralba (Barcelone, 1967) avec son parcours sur les paradoxes et perplexités de l'intellectuel catholique, dans sa nouvelle visitation de l'oeuvre d'Emmanuel Mounier (+1950). La société de ce début du XXIè s. demande sans doute une nouvelle approche depuis la rationalité pour la présentation de la théologie au monde, en cherchant une adéquation de sa réflexion à une nouvelle culture, qui se trouve bouleversée par un changement constant dû aux événements historiques, culturels et sociaux. La théologie, en répondant au critère de l'incarnation , ne peut sinon répondre aux principales questions anthropologiques, tout en envisageant ces changements du contexte social, économique, politique qui définissent une vraie évolution spirituelle. Enfin, penseurs d'ordre européen, comme Slavoj Žižek (Ljubljana, 1949) et le regretté Adolphe Gesché (Bruxelles, +2003) peuvent jeter encore un regard en perspective sur la tâche confiée à la théologie dans une authentique interaction avec la culture présente, changeante, liquide, imprévue, tout demeurant un défi pour son discours.
Cahiers d'Histoire
À travers cette histoire environnementale du domaine de Versailles, Grégory Quenet illustre une « autre histoire », loin du stéréotype d'une nature rationalisée et contrôlée que laisse supposer le fantasme de l'« absolutisme environnemental » où la nature serait entièrement au service du souverain et ordonnée, à l'image des jardins à la française. Sa volonté est de faire revivre le « Versailles organique, vivant, énergétique » (p. 8) d'autrefois, faisant intervenir une multitude d'acteurs autres que le Roi. Il s'agit aussi de faire ressortir un Versailles « heurté, incontrôlé, contesté », au terri-toire dynamique dont l'emprise s'étendait bien au-delà des terres du Roi, à travers les grands travaux d'hydraulique et la gestion de la faune et de la flore à des fins cynégétiques au sein du Grand Parc. G. Quenet s'éloigne des récits anthropocentristes et décli-nistes au profit d'une étude des interactions société-environne-ment où nature et culture se confondent, se façonnent mutuel-lement pour créer des formes hybrides par Laëtitia Deudon Candidate au doctorat en histoire - Université de Valenciennes et Université de Montréal
Rivista italianadi Filosofia di Liguaggio (Segreteria RIFL) nº 8, vo2
In this article, we analyze the way Benjamin’s conception of pure language, defended since his earlier work (clearly in 1916, in the text On Language as Such and on the Language of Man), will determine his theory of critics and translation, namely in the period prior to his contact with Marxism, through Asja Lascis. In order to do so, it’s necessary to map the fundamental concepts from his earlier work and to understand the way they will develop subsequently in the texts about critics, like The Concept of Criticism in German Romanticism and The Origin of German Tragic Drama or even other texts.
Autour de La Fin de la Chrétienté 1 Le diagnostic est sans appel. Net et lucide. La Chrétienté se meurt, la Chrétienté est morte. Toutefois, la disparition en cours de la Chrétienté, c'est-à-dire de « la civilisation inspirée, ordonnée, guidée par l'Église » (p. 9-10), n'ouvre pas sur l'abîme sans fond du nihilisme et de l'immoralisme, comme se plaisent parfois à le penser les rares survivants du naufrage-« ni la civilisation ni la morale ne s'arrêtent avec la Chrétienté » (p. 35). Elle coïncide plutôt avec l'émergence d'un nouvel âge, d'une nouvelle civilisation avec ses croyances et ses valeurs propres, qui se substitue peu à peu à la Chrétienté. Par certains aspects, cet âge nouveau rappelle l'époque païenne qui précéda l'avènement de la Chrétienté dans l'Antiquité tardive. Comme si une parenthèse se refermait sous nos yeux. Telle est, en substance, la thèse défendue par la philosophe Chantal Delsol dans ce petit essai très stimulant. Les chrétiens qui s'interrogent sur les modalités de leur présence et de leur mission dans la société française contemporaine y trouveront ample matière à réflexion, car il a entre autres mérites celui d'écarter quelques illusions aussi tenaces que stériles. Par exemple, celle qui consiste à s'en tenir à la problématique de la déchristianisation, comme si le christianisme était encore au centre, alors que nous avons affaire à l'émergence d'une nouvelle culture largement étrangère au christianisme. D'où l'inefficacité aujourd'hui des stratégies qui, pour ranimer la
Loading Preview
Sorry, preview is currently unavailable. You can download the paper by clicking the button above.
Recherches sociologiques et anthropologiques, 2007
Revue d'histoire ecclésiastique , 2023
Annales historiques de la Révolution française, 2013
« Sur l’école d’Épictète », dans Stéphane MARCHAND (éd), Aperçus de la pensée stoïcienne, Cahiers philosophiques n° 151 (4/2017), Paris, Vrin, 2018, p. 91-104.
Oriente moderno n.s., 2006
Relations, 2020
Con-textos Kantianos: International Journal of Philosophy, 2015
Bulletin de la Mission Historique Française en Allemagne, 40 (2004) ; pp. 181-185 , 2004