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2018, ESPRIT
Artists need to figure out how to make the world value their work.
Idées économiques et sociales, 2009
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Revue Francophone d'Orthoptie, 2017
L'art occidental s'est progressivement intéressé à la représentation de l'homme au travail. D'abord centré sur le seul travail de la terre, l'évolution de la société et l'apparition de nouvelles techniques picturales élargirent le champ iconographique de l'homme au travail. Mais ce n'est qu'à partir du XIXe siècle que l'art, qu'il soit pictural ou littéraire, fait de l'homme au travail un sujet iconographique à part entière. Au XXe siècle, de nouveaux moyens d'expression artistique comme la photographie et le cinéma, vont permettre la poursuite de l'étude et de la mise en image des activités humaines.
Les sujets des articles du douzième numéro de Sillages critiques, revue consacrée à l'analyse des littératures anglophones, approchent le thème de la notion d'écart. Celle-ci comme système de différence -et de différance, puisqu'il est question de langage -d'un point de vue spatial comme métaphorique: la marge par rapport au centre, et la marge comme le centre d'un autre monde. L'introduction pose : « L'écart, c'est ce qui met à distance mais porte en lui le souvenir du point de départ. L'écart ne circonscrit pas une réalité nouvelle, superlative, mais s'inscrit toujours dans un comparatif, dans un autre qui grave à jamais sa présence 1 . » Plus loin, entre celles de B. S. Johnson et Geoffrey Hill, la notion d'écart dans l'oeuvre d'Edward Estlin Cummings est consciencieusement décomposée par Penelope Sacks-Galey. D'entrée, la poète établit le cadre de son article en évoquant la déviation qu'implique le geste artistique par rapport à une norme, sans quoi la problématique de la reproduction ferait surface, et il ne serait alors question que de « mimèsis au premier degré 2 ». La création au sens propre ne serait donc pas.
Savoirs et clinique, 2008
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HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2020
Parmi les diverses formes de discours portés sur la musique, celui que produit l'écrivain constitue un cas de figure particulier. Dans la situation qui nous retient ici, la musique est introduite dans la littérature, par le truchement de sa figure créatrice principale : le compositeur. Il peut s'agir, pour l'écrivain, d'une solution d'écriture pour dire la musique 1 , mais également d'un choix de s'exprimer, à propos d'elle, depuis un sujet, agissant, et non une oeuvre. Nous centrons notre analyse sur un ensemble de textes d'auteurs d'une même génération, nés autour de 1925, et ayant appartenu aux mouvements les plus modernistes des années soixante, tels que le Sérialisme intégral, le Structuralisme et le Nouveau roman 2. Nous retenons l'époque contemporaine en ce qu'elle met à l'épreuve, dans la littérature, la figure de l'auteur, le personnage et l'intrigue 3. Le compositeur de musique contemporaine, en outre, n'est pas une figure neutre, vis-à-vis de l'écrivain. Il écrit des notices de présentation de ses oeuvres, des critiques de celles de ses pairs, des essais théoriques, voire de la fiction 4. L'intention littéraire y est, selon les cas, palpable. Il s'agit donc ici de s'interroger sur la manière dont l'écrivain « met le compositeur en oeuvre ». À quelles représentations, catégorisations, et modes d'adresse au lecteur recourt-il dans ses écrits ? Contribuer à répondre à cet ensemble d'interrogations liées nous permet de saisir, de manière située, comment se manifestent les partages d'autorité entre ces deux figures de créateurs, par la médiation de l'écriture. L'approche sociologique, notamment qualitative et compréhensive, est conviée ici, s'agissant d'analyser une relation de sujet à sujet. L'analyse thématique de discours, à l'échelle fine de l'étude de cas 5 , apporte son concours à l'étude, en tant qu'outil de validation. Elle respecte le caractère enchâssé de l'écriture, a fortiori dans le type de textes que nous avons sélectionnés. Nous privilégions dans notre corpus d'étude les formats courts, aux intentions à la fois littéraires et communicationnelles, tels que les articles ou les entretiens, rédigés à propos de la collaboration même entre les deux créateurs. Trois binômes sont ici envisagés successivement, chacun d'eux étant illustré par deux textes. Sont retenus les écrits de Michel Foucault sur Pierre Boulez, autour de la question théorique de l'« actuel », ceux de Michel Butor sur sa collaboration osmotique avec Henri Pousseur dans l'opéra Votre Faust, enfin ceux d'André Hodeir, écrivain-compositeur, sur André Hodeir, compositeur-écrivain, au sein desquels s'observe un jeu identitaire particulièrement élaboré. Des liens divers-personnels, circonstanciés, institutionnels,
PALEO : Revue d'Archéologie Préhistorique, 2018
L'Aquitaine à la fin des temps glaciaires-Aquitaine at the end of the Ice Age Les sociétés de la transition du Paléolithique final au début du Mésolithique dans l'espace nord aquitain Actes de la table ronde organisée en hommage à Guy Célérier, Les Eyzies-de-Tayac, 24-26 juin 2015 PALEO, numéro spécial. Partie 1 : LE TEMPS LONG 1c-Les groupes humains et leurs cultures matérielles p. à 1 L'art laborien et le « style Pont-d'Ambon » Patrick PAILLET (a) , Elena MAN-ESTIER (b) , Malvina BAUMANN (c) Résumé : Les changements environnementaux et sociétaux de la fin du Tardiglaciaire entraînent la disparition d'une partie des productions techniques et symboliques du monde magdalénien. Durant l'Azilien, on considère ainsi que les expressions graphiques sont essentiellement abstraites ou géométriques et qu'elles investissent des supports bruts (galets de rivière) ou peu élaborés (fragments osseux). Pourtant, l'art figuratif se maintient encore discrètement dans les premiers temps de l'Azilien, comme nous le montrent les productions de Gouy (Seine-Maritime), Pincevent (Seine-et-Marne), Murat et Pégourié (Lot), Rochereil (Dordogne), Gay (Ain) et du Rocher de l'Impératrice (Finistère).
Jean-Marc Leveratto, 2016
Images du travail, travail des images 1 | 2016 Quand les groupes professionnels se mettent en images La promotion du travail artistique par le cinéma : image de l'artiste et « travail de l'image » Promoting artistic work through film: The artist's image and the working of the image
Les idées de S. T. Coleridge et E. A. Poe sur l'imagination, 2023
Dans sa main droite la Bible, dans sa main gauche Platon et Aristote, ainsi muni Emmanuel Kant se mit au travail, suivi sur l'imagination par Schelling, les frères Schlegel, puis par ses disciples étrangers : Coleridge et Poe. Le lecteur trouvera ici un résumé des idées de Coleridge et de Poe sur l'imagination, ainsi qu'un commentaire sur la fameuse distinction entre fancy et imagination, inaugurée par Coleridge et commentée par Poe. With the Bible in his right hand, Plato and Aristotle in his left one, Immanuel Kant started to work, followed on imagination by Schelling, the Schlegel brothers, and then by his foreign disciples: Coleridge and Poe. The reader will find here Coleridge's and Poe's ideas on imagination, as well as a commentary on the famous distinction between fancy and imagination, inaugurated by Coleridge and commented on by Poe.
Bacchanales, 2015
Poésie du travail, poésie en travail. Le travail est un sujet difficile pour la littérature, et singulièrement pour la poésie. L'approche courante, qui associe la poésie aux émotions, répugne à le considérer comme un sujet poétique : que dire du travail, son caractère répétitif, quotidien, forcé, comment et pourquoi le dire ? Derrière ces questions se profilent des débats plus larges, celui de la relation du poétique et du politique, ou encore celui du statut institutionnel de la littérature populaire, qui ne se confond pas avec l'histoire du livre (une partie de la littérature du travail est constituée de chansons anonymes). Cette exclusion a pourtant quelque chose de paradoxal, puisque le travail relève de l'expérience. Et c'est peut-être parce que le début du XXI e siècle prend conscience, plus qu'à tout autre époque sans doute, de l'engagement émotionnel de l'homme dans son travail (engagement dans le même temps instrumentalisé par les pratiques du néomanagement), que la poésie du travail s'y développe avec une richesse rarement égalée. L'anthologie que propose aujourd'hui la Maison de la Poésie Rhône-Alpes était donc à la fois nécessaire et attendue. Nécessaire, parce que la poésie du travail n'a que rarement eu, surtout en France (pays qui, plus que d'autres, a exclu la littérature des travailleurs de la culture littéraire), la reconnaissance que pourrait laisser attendre sa qualité, sa variété, son ancienneté. Attendue, parce qu'il ne fait nul doute que le début du XXI e siècle, sur fond de crise du travail et des valeurs qui lui sont liées, est un moment de production particulièrement dense, qu'il était important de rendre visible.
Was hier im Rahmen eines Vortrages über den Ursprung des Kunstwerks gesagt werden kann, ist wenig genug, vieles daran vielleicht befremdlich, das meiste aber Mißdeutungen ausgesetzt. Allein, über all dieses hinweg soll es doch nur auf das Eine ankommen, nämlich: bei aller Würdigung dessen, was zur Wesenbestimmung der Kunst längst gedacht und gesagt ist, eine gewandelte Grundstellung unseres Daseins zur Kunst mit vorzubereiten. Kunstwerke sind uns bekannt. Bauwerke und Bildwerke, Ton-und Sprachwerke sind hier und dort an-und untergebracht. Die Werke entsammen den verschiedensten Zeitaltern; sie gehören unserem eigenen Volke und fremden Völkern an. Wir kennen auch meist den "Ursprung" der so vorhandenen Kunstwerke; denn wo anders soll ein Kunstwerk seinen Ursprung haben als in der Hervorbringung durch den Künstler? Zu einer solchen gehören zwei Vorgänge: einmal die Fassung des künstlerischen Gedankens in der Einbildungskraft und dann die Umsetzung des Gedanken in das künstlerische Erzeugnis. Beides ist gleichwichtig, wenn auch die Fassung des künstlerische Gedankens die Vorbedingung für seine Ausführung und mithin das "Ursprünglichere" bleibt. Die Gedankenfassung est ein rein geistiger Vorgang, der sich als "seelisches Erlebnis" beschreiben läßt. Daraus erwächst ein Beitrag zur Seelenkunde der Hervorbringung von Kunsterzeugnissen. Dergleichen kann recht belehrend sein, nur bringt das niemals eine Aufhellung des Ursprungs des Kunstwerks. Woran liegt das? Zunächst daran, daß hier "Ursprung" einfachhin gleichgesetzt wird mit "Ursache" des Vorhandenseins von Kunstwerken. Diese Fragerichtung auf die "Ursache" wird aber deshalb wie selbstverständlich eingeschlagen, weil man gar nicht vom Kunstwerk ausgeht, sondern vom Kunsterzeugnis als einem Kunststück. Zwar bleibt richtig: das Kunstgebilde entsteht aus dem "geistigen Ringen" des Künstlers. Die Hervorbringung ist seine gekonnte
À PROPOS DU PEINTRE HANS VON MARÉES : UNE THÉORIE DU PHÉNOMÈNE ARTISTIQUE revue L'enseignement philosophique mars-mai 2017 67°année, n°3/ p.41-50
Hermès, 2015
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Nouvelle revue d’esthétique, 2009
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Klesis, 2010
Dans la troisième partie de la version définitive de « L"origine de l"oeuvre d"art » (Der Ursprung des Kunstwerkes), Heidegger aborde la question de la création de l"oeuvre d"art. Vers la fin de cette tentative pour penser la création selon les deux idéesclés de l"essai, celles du monde et de la terre, se trouve la remarque suivante : « Il est vrai que aussitôt le subjectivisme moderne interprète la création a sa façon : comme le résultat de l"exercice d"une virtuosité géniale chez un sujet souverain. (Der moderne Subjecktivismus mißdeutet freilich das Schöpferische sogleich im Sinne der genialen Leistung des selbstherrlichen Subjektes) » 1 . Étant donné le contexte philosophique et historique, il ne peut être question ici d"eine geniale Leistung au sens d"une simple performance magnifique ou merveilleuse. C"est pourquoi la traduction française que nous citons, celle de Wolfgang Brokmeier, ajoute le mot virtuosité en rendant cette phrase, ou périphrase allemande, par « exercice d"une virtuosité géniale ». Dans la tradition de la philosophie de l"art moderne, après Kant tout au moins, une telle virtuosité est, bien sûr, nommée génie. Eine geniale Leistung, c"est pour ainsi dire "un coup de génie", "un trait de génie" et, par conséquent, l"intention critique de la remarque semble porter sur le concept de génie dans l"esthétique moderne.
Cap-aux-Diamants: La revue d'histoire du Québec, 1986
Peintre-topograplx' de l'armée britannique, Tlxnnas Davies détaille ici les édifices aroisinant le terrain d'exercices militaires. Le style épuré et précis illustre le caractère descriptif utilisé par ces artistes officiers. Thomas Davies, La Place d'Armes à Québec, 1789. (Musée des Beaux-Arts du Canada, Ottawa).
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