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In relation to Jesus, the expression son of man does not make him a divine messiah. It is Jesus as the incarnated and resurrected son of God who confers a messianic meaning to that expression.
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Pierre-Yves Quiviger -Nice -Printemps éthique 2014 -Peut-on être responsable de l'imprévisible ?
Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, collaboratrice bénévole et professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: [email protected] Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web:
2015
Entrevues Effectuées Dans Le Cadre De La Conférence Humanitaire Canadienne 2014
flow chez les pratiquants d'athlétisme en Tunisie 2014 7
Eléments pour une histoire archaïque de la négativité André Laks 2 19/07/16 Avertissement Les pages qui suivent développent, à l'incitation de Thierry Marchaisse, que je remercie vivement pour l'intérêt qu'il lui a manifesté, une communication présentée au colloque « Que faisons-nous du négatif ? », organisé en décembre 2002 par l'Institut de la pensée contemporaine, dirigé par François Jullien. J'y avais posé la question de savoir ce qu'eux avaient fait du négatif -eux, les Grecs -et plus précisément, ce qu'en avaient fait, après Parménide, le penseur de l´être (mais aussi, moins connu, celui de l'Amour), Leucippe, le philosophe du vide (et du plein), et Empédocle, celui de la Haine (et de l'Amour). Au lecteur de juger s'« ils » nous parlent encore de « notre » négatif. Les renvois aux fragments des auteurs présocratiques sont à l'édition de référence (H.Diels et W. Kranz, Die Fragmente der Vorsokratiker, 6 e éd. Berlin 1954, abrégé en DK), dont la numérotation est reproduite dans toutes les traductions disponibles. La traduction des textes grecs cités est mienne, sauf indication contraire , mais j'ai largement repris, pour les Purifications d'Empédocle, la version de Jean Bollack (Paris, Editions du Seuil, 2003, coll. Points/Essais), dont je discute par ailleurs implicitement l'interprétation, qu'il s'agisse du poème religieux ou du poème physique, tout en m'appuyant sur elle. De manière générale, les décisions interprétatives, nécessairement nombreuses, s'agissant d'auteurs qui ne nous sont transmis que de manière indirecte et toujours fragmentairement, ne sont que sporadiquement argumentées ou même marquées comme telles. Ce n'est pas plus mal. Le philologue spécule lui aussi. Que Gérard Journée soit remercié de sa relecture.
Ce texte présente une lecture psychanalytique de l’ouvrage de Simmel Les grandes villes et la vie de l’esprit. Elle met l’accent sur l’extraordinaire intuition sur la relation entre la ville et le psychisme, qui nous permet d’associer le sentiment de déracinement (Simmel) à la notion freudienne d'abandon. Nous posons l’hypothèse que la ville exerce une fonction psychique de nature substitutive, dont découlent les formes de la subjectivité dans la ville. Nous concluons que la ville, y compris dans sa matérialité, n'est pas un objet extérieur distinct du sujet, mais bien un phénomène caractérisé par la subjectivité qui marque tout ce qui est humain.
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Bilan scientifique du DRASSM, 2014