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"Timbres-amphoriques" from Tyre region re-examined after the editio-ptinceps of I. Kaukabani
Archéologie, art et histoire 2016 Recensions Juan Manuel TEBES (éd.), Unearthing the Wilderness. Studies on the History and Archaeology of the Negev and Edom in the Iron Age (Ancient Near-Eastern Studies, Suppl. 45) Jérôme Rohmer Édition électronique URL : http://syria.revues.org/4419 ISSN : 2076-8435 Éditeur IFPO -Institut français du Proche-Orient Référence électronique Jérôme Rohmer, « Juan Manuel TEBES (éd.), Unearthing the Wilderness. Studies on the History and Archaeology of the Negev and Edom in the Iron Age (Ancient Near-Eastern Studies, Suppl. 45) », Syria [En ligne], Recensions, mis en ligne le 01 janvier 2016, consulté le 21 décembre 2016. URL : http:// syria.revues.org/4419 Ce document a été généré automatiquement le 21 décembre 2016. © Presses IFPO Juan Manuel TEBES (éd.), Unearthing the Wilderness. Studies on the History and Archaeology of the Negev and Edom in the Iron Age (Ancient Near-Eastern Studies, Suppl. 45) Jérôme Rohmer RÉFÉRENCE Juan Manuel TEBES (éd.), Unearthing the Wilderness. Studies on the History and Archaeology of the Negev and Edom in the Iron Age (Ancient Near-Eastern Studies, Suppl. 45), Louvain / Paris / Walpole, Peeters, 2014, 21,5 x 30,2 cm, x + 306 p., ISBN : 978-90-429-2973-9. 1
Russian Archaeology, 2006
Comment l’application experte de la recherche mise en place par la colonisation a-t-elle été réappropriée par les Etats du Sud ? Comment les Etats du Sud ont-ils donc continué à transformer les chercheurs en sciences sociales, locaux ou étrangers, en experts de la culture et du patrimoine ? Quels sont les outils déployés pour contrôler la recherche réalisée sur leur territoire et l’assujettir à un projet de développement ou de patrimonialisation ? Quel impact ce traitement de la recherche par les Etats du Sud peut-il avoir sur le statut du chercheur et sur sa représentation populaire ? Et enfin, quels rapports de pouvoir et de savoir entre le Nord et le Sud instaurent un tel détournement de l’esprit scientifique ? Pour répondre à une telle problématique, l’exemple de l’égyptologue en Egypte comparé à celui de l’ethnologue ou du géographe au Maroc, aussi différents soient-ils au niveau contextuel, permettent de saisir certains fondamentaux dans la manière dont la recherche est transformée en expertise au Sud de la Méditerranée. Tous deux mettent en effet en lumière le recours des Etats du Sud à des formes spatiales de cadrage de la recherche, héritées du temps colonial, qui permettent de mieux maîtriser et délimiter le terrain du chercheur : la concession en Egypte pour l’archéologue, de la tribu au terroir au Maroc pour l’ethnologue et le géographe. Tant la concession que la tribu ou le terroir, désignent des espaces ou des groupes dans lesquels les scientifiques, en l’occurrence les archéologues, les ethnologues et les géographes, travaillent de manière autorisée et parfois sur commande. Même si la tribu est une entité qui préexistait à la colonisation, on peut dire que ces trois termes furent employés en tant que qualification administrative d’un espace et d’un groupe à partir de la colonisation. Aujourd’hui, la concession en Egypte, la tribu et le terroir au Maroc sont aussi deux manières de territorialiser le patrimoine, qui tendent à impliquer d’une manière ou d’une autre le chercheur dans les enjeux patrimoniaux. D’un découpage arbitraire et imposé par les pouvoirs coloniaux pour dominer et contrôler, les nations du Sud tendent à faire de la concession, de la tribu ou du terroir, après s’être réapproprié ces notions exogènes, à la fois une monnaie d’échange contre un pouvoir d’influence sur les bailleurs internationaux, et un moyen de contrôle des acteurs locaux et extérieurs des projets de développement. Tout l’enjeu de cet article est ainsi d’interroger la concession, la tribu et le terroir comme des formes spatiales de cadrage de la recherche qui créent l’incertitude de genre entre la recherche et l’expertise. Cette incertitude est nourrie de non-dits et de malentendus entre les différents partenaires, mais aussi d'habitudes et de modes de fonctionnement tacites qui remontent au moins au siècle dernier, et ne sont jamais ni interrogés ni remis en question. How the expert application of research established by colonization has been re-appropriated by southern states? How the southern states have they continued to transform social science researchers, locals and foreigners, in experts in culture and patrimony? What are the tools used to control the research conducted on their territory and subject it to a development or patrimonialisation project? What impact this treatment of research by the southern states may have on the status of the researcher and his popular representation? And finally, what relations of power and knowledge between the North and South introduce such a misuse of the scientific spirit? To develop such problematic, the example of the Egyptologist in Egypt compared to that of the anthropologist and geographer in Morocco, as different as they are at the contextual level, allow to understand some basics in the way research is transformed into expertise in South of Mediterranean. Both show the use by southern states of spatial forms of framing research, inherited from colonial times, to better control and delimit the field-research: the concession in Egypt for the archaeologist, the tribe and the “terroir” in Morocco for the anthropologist and geographer. Both the concession that the tribe or the “terroir”, designate areas or groups in which scientists, namely archaeologists, anthropologists and geographers, working as permitted and sometimes as order. Although the tribe is an entity that existed before colonization, we can say that these three terms were used as administrative qualification for a space and a group since colonization. Today, the concession in Egypt, the tribe and the “terroir” in Morocco are also two ways to territorialize patrimony, which tend to involve researcher in patrimonial issues. From the arbitrary territorial subdivision imposed by the colonial powers to dominate and control, the southern nations tend to make of the concession, the tribe or “terroir”, after having recaptured these exogenous concepts, both a way to influence international donors and to control local and external actors of development projects. The challenge of this paper is thus to question the concession, the tribe and the “terroir” as spatial forms of framing research that create an uncertainty between research and expertise. This uncertainty is nourished unsaid and misunderstanding between the partners, but also habits and silent modes that date back to at least the last century and are still never either questioned or challenged.
Edité par Céline MASSON
'Israël Ethiopien au Travers des Principaux Géographes Arabes du Moyen Age, 1998
Dans son ouvrage sur Les Falashas, les Juif s oubliés d'Éthiopie, David Kessler est conduit à s'interroger sur les liens qui ont pu rattacher ces populations au reste du Judaïsme. Cette question touche d'assez près aux problèmes de l'identité des 'Falashas', de leur origine, de la date de leur apparition et du processus qui leur a donné naissance. Ces interrogations font l'objet de débats, parfois passionnés, qui risquent d'obscurcir la perception d'un sujet déjà fort difficile. La multiplicité des apparents paradoxes que pose l'existence de cette communauté déroutent la sagacité des scientifiques qui l'étudient. Qu'on en juge par les quelques antinomies que voici : Juifs et Noirs ; Israélites proclamés, bien qu'ignorants de l'hébreu ; ritualistes attachés aux prescriptions du Lévitique, mais peu sensibles à la sacralité de l'écrit ; de langue chamitique (l'agaw) dans un environnement sémite; pré-talmudiques jusqu'à en ignorer la chute du premier temple, et pourtant fort concernés par l'état d'Israël; et l'on pourrait continuer! Ce n'est là que quelques avant-goûts des problèmes redoutables dans lesquels l'existence des Béta Israël, alias Falasha, alias Kaïla, plonge depuis plus d'un siècle le monde savant. A l'heure actuelle, des réponses indiscutables à ces interrogations paraissent lointaines. Aussi semble-t-il judicieux, pour clarifier le sujet, de l'investir à la fois du dedans et du dehors. Par cette double approche le balisage du terrain permettra, par avancées successives et convergentes, de restreindre le débat à des possibles de plus en plus vraisemblables. Au niveau interne, on s'attachera, par une étude de la sociologie, des pratiques cultuelles, des traditions culturelles, du folklore, de la langue, etc.
Syria, 2005
Fondé en 1946 par le ministère français des Affaires étrangères, l'Institut français d'Archéologie de Beyrouth a constitué l'un des lieux privilégiés de la recherche archéologique grâce, en particulier, à la personnalité de ses directeurs successifs ainsi qu’à sa bibliothèque, qui était connue pour être l’une des meilleures du Proche-Orient. La réputation de l'établissement est demeurée en grande partie celle d'un haut lieu pour les recherches bibliographiques et documentaires jusqu'en 1975. Pour autant, l'institut ne s'était pas détourné de la recherche sur le terrain, comme en témoignent l'activité de la mission de Syrie du Nord et la création de la mission de Tell Arqa. À la fin des années soixante-dix, cette orientation a été précipitée par la guerre du Liban, le départ des chercheurs vers la Syrie et l'ouverture de deux antennes en Jordanie puis en Syrie. Privé de sa bibliothèque, l'institut s'est alors consacré à l'organisation de fouilles, de prospections et de restaurations dans les trois pays et, pour affirmer cette évolution, a pris en 1977 une nouvelle appellation, Institut français d'Archéologie du Proche-Orient (IFAPO). La présente étude a été menée d'après les archives conservées à l'IFAPO de Beyrouth mais aussi grâce aux témoignages des principaux acteurs qui animent aujourd'hui encore l'histoire et l'archéologie du Proche-Orient.
The 'Sen-en-Mut Project (TT 353)', was developed by the Institute of Studies of Ancient Egypt (Madrid). The Project was started in April 2002, under the joint direction of Dr. Francisco J. Martín Valentín and Ms.Teresa Bedman. Excavations and complementary works were carried out for six consecutive seasons, from 2003 to 2008, both inclusive. From its inception, the project counted with the financial support of the Ministry of Culture of Spain, through its General Direction for Communication and Cultural Cooperation, and with the support of the IEAE members, as well as from private companies and other private benefactors. The offer to work on the TT 353 hypogeum was formalized to our Institute in spring of year 2000, by Dr. Mohamed El Bialy, who was at that moment General Director of the monuments of the West Bank of Luxor. On the 8th of January 2001, the initial draft of the work to be done was officially presented to the Egyptian authorities, followed by an inspection carried out on the ground, and inside, of the Tomb. When legal permissions from the Permanent Committee of the SCAE were obtained, the ‘Sen-en-Mut Project's’ work began in the West Bank of Luxor, at Deir El Bahari, in November 2003. The successive Seasons continued during the years 2004, 2005, 2006, 2007 and 2008. The work done by I.E.A.E.'s teams, in one of the most emblematic monuments of the first half of the 18th dynasty, in Upper Egypt, has meant an incomparable opportunity for Spanish Egyptology and for the members of our team, who over six Seasons, have left in the distant lands where the hypogeum TT 353 is located, their best efforts and their selfless work.
Ce gros ouvrage de plus de mille pages rend compte des découvertes réalisées sur le site de Tell Jemmeh dans le Nord Sinaï, en Israël. Le site a été exploré au cours de douze campagnes effectuées de 1970 à 1990, par Gus van Beek sous l’égide de l’institution du Smithsonian, grâce à des volontaires, mais aussi grâce au soutien de sociétés savantes telles que la fondation du National Geographic Society. ( Suite sur le lien ci-dessous)
Revue Biblique 2011, p. 274-281.
L'étude de l'histoire ancienne d'Israël se heurte de plus en plus à des questions de méthode, juge H. Williamson, qui présente un recueil sur la compréhension de cette histoire, issu d'un symposium suscité en 2005 par la British Academy. Dans sa préface, il suggère trois causes : 1. la maigreur des sources, phénomène d'ailleurs constant pour l'ensemble des cultures antiques ; 2. un débat sur ce qu'on cherche à reconstruire, puisqu'il est admis que la Bible n'est jamais un simple constat ; 3. le phénomène particulier qu'est l'autorité culturelle et religieuse de l'Écriture. Pour ces raisons, des contributions ont été demandées à des auteurs professant des opinions divergentes, avec pour seule exigence de préciser leur méthodologie ; en outre, pour que les débats ne s'éparpillent pas, il a été choisi une période de référence, le IX e siècle, qui offre une substantielle documentation archéologique et épigraphique. La matière est distribuée en quatre parties. Chaque étude est suivie de la bibliographie correspondante, et un index thématique figure en fin d'ouvrage.
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Cahiers de l'Orient, 2018
Médiévales, 41, 2001, p. 149-164
Milieux et mémoire, éd. F. Alvarez-Pereyre, Cahiers du CRFJ, Jérusalem, 1993
HAL (Le Centre pour la Communication Scientifique Directe), 2012
Histoire(s) de la diplomatie culturelle française – Du rayonnement à l’influence, 2024
Bulletin Archéologique des Ecoles Françaises à l'étranger , 2023
Archéologie au pays des Nabatéens d'Arabie. Guide de Hégra, 2019
Classiques Garnier, 2022
Annales d'Ethiopie, 2000
Bulletin du Centre de Recherche Français de Jérusalem, 1997