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Comment rendre compte des itinéraires des artistes algériens entre art et politique et arriver à proposer des périodisations qui ne soient pas dictées d'abord par la chronologie politique ?
Le cours vise à offrir une exploration approfondie et critique de la dynamique entre l'art et la politique, en reliant des concepts théoriques à des exemples pratiques et en encourageant les étudiants à développer leur propre perspective réfléchie sur le sujet. Throughout the course, various concepts and theories that aid in understanding the interplay between art and politics will be elucidated using examples from texts and images. We will also examine how the arts have influenced history and politics, considering art as a means of direct political action and as a subtle instigator of social change. Given the unique political and economic conditions of Ottoman/Turkish political-economic life, we will discuss and problematize the major trends and transformations in certain forms of art (theatre, painting, cinema, visual arts, literature) through specific periods. As cultural production is mediated and evaluated by a variety of actors and cultural policy agendas, this course will draw attention to these aspects of cultural economy. Additionally, it will explore issues related to gender, race, class, political economy, and ideology throughout the history of modernization. By delving into the intricate relationship between art and politics, this course aims to provide a comprehensive understanding of how cultural production has shaped and been shaped by the political landscape. The course will encourage critical analysis and discussion of the multifaceted roles that art plays in society, shedding light on its potential to serve as a tool for political activism and a catalyst for societal transformations.
Cinémas: Revue d'études cinématographiques, 2007
Résumé La périodisation est essentielle pour permettre à l’historien de structurer son appréhension du passé et possède une finalité relativement pédagogique. Tout exercice de périodisation est cependant un discours sur l’histoire et procède d’un croisement entre présent (celui du sujet historien) et passé (celui de l’objet historique). Un croisement qui relèverait d’ailleurs davantage du sujet percevant et de son contexte que de l’objet temporel supposément perçu. La périodisation serait ainsi fondamentalement un exercice proprement constructiviste. Premier exemple de périodisation, pour l’histoire du cinéma : le centenaire, en 1995. Mais que célèbre-t-on, au juste, au bout de cette période de cent années ? L’événement « originel » serait-il l’invention du Cinématographe Lumière et le dépôt du brevet ? Si tel est le cas, parler sans ambages du « centenaire du cinéma », c’est faire l’économie de la démonstration à la base de pareil positionnement, qui établit une adéquation biunivoq...
l'Afrique du nord antique: la géographie et l'histoire comme facteurs de "régionalisation" de ce vaste espace ; le découpage historique et le terminologie retenue correspond à des lectures souvent "orientées" ; cette périodisation suscite des questionnements et méritent que l'on s'y arrête.
Perspective, 2008
Quelques réflexions sur la périodisation de l'art en Italie Les questions les plus discutées, ou qui reviennent en tout cas le plus souvent dans les périodisations de l'art italien, de manière explicite ou implicite, peuvent schématiquement se ramener à deux. La première consiste à savoir quand, où et s'il faut faire commencer l'histoire d'un art reconnaissable comme « italien », et porte sur la légitimité de l'expression « art italien », qu'il faut peut-être remplacer par « art en Italie » ; la seconde revient à se demander s'il est opportun, nécessaire ou erroné d'attribuer un rôle central aux moments d'innovation et de rupture 1. Si la première demeure étroitement liée à l'histoire tourmentée de la Péninsule, la seconde implique, à n'en pas douter, des choix méthodologiques qui vont bien au-delà des frontières nationales. Entre la fin des années 1970 et le début des années 1980, deux célèbres chercheurs italiens, Giovanni Previtali et Ferdinando Bologna, tous deux formés à l'école de Roberto Longhi, abordèrent ces problèmes fondamentaux dans deux volumineux essais antithétiques. Le premier, par ordre chronologique, est celui de Giovanni Previtali intitulé « La periodizzazione della storia dell'arte », qui ouvre la Storia dell'arte italiana, une ambitieuse collection publié aux éditions Einaudi à partir de 1979, dont Previtali dirigea les quatre premiers volumes 2. Le second essai, de toute évidence écrit à chaud, juste après la parution de celui de Previtali, et signé Bologna, constitue le premier volume d'une autre série monumentale, promue par les éditions UTET et intitulée Storia dell'arte in Italia, dont le premier tome parut à Turin en 1982, sous le titre La coscienza storica dell'arte italiana 3. Les questions définies plus haut ont sans doute une origine très ancienne, mais elles ont pris au X X e siècle une physionomie bien définie et provoqué de nombreuses polémiques. Il me semble plausible d'attribuer une certaine responsabilité à Heinrich Wölfflin et à son essai L'art classique : initiation au génie de la renaissance italienne (1899) dans la formalisation du débat sur la nature de l'art « italien » 4. Ce fut lui en effet qui, s'appuyant en partie sur le célèbre ouvrage de Jacob Burckhardt sur la Renaissance (1860) 5 , en vint à définir le parcours essentiellement classiciste du « sentiment de la forme » italien et, à l'opposé, celui, « expressionniste », de l'Allemagne, comme une sorte de vocation métahistorique des deux cultures figuratives 6. On vit alors apparaître une tendance à un nivellement unitaire du caractère complexe et articulé de l'art italien, souvent sous-tendue par des présupposés de nature idéologique. Les vicissitudes de l'unité italienne puis, au X X e siècle, certains courants nationalistes identitaires, contribuèrent à la favoriser. Pourtant, c'est justement l'héritage intellectuel d'Adolfo Venturi, fondateur, en Italie, de l'histoire de l'art comme discipline universitaire, qui donna naissance à deux écoles dominantes, nettement opposées 7. La première, dans la lignée de la tradition allant de Luigi Lanzi 8 à Giovanni Battista Cavalcaselle 9 et à Pietro Toesca 10 , a pour principal représentant Roberto Longhi 11. Celui-ci s'orienta résolument vers l'étude des cultures locales, du rapport entre les zones géographiques de production, en évitant avec soin toute tentation d'esprit de clocher et en
Soci??t??s & repr??sentations, 2001
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Hors dossier, 2007
Critique d’art, 2001
Archives de sciences sociales des religions, 2009
Critique d’art Actualité internationale de la littérature critique sur l’art contemporain, 2022
«RE-», Répétition et reproduction dans les arts et les media, M. Colas-Blaise, G.M. Tore (eds.), Mimesis , 2021
Classiques des sciences sociales., 2005
Revue canadienne de science politique, 2022
Critique d’art
L’artiste en revues - Arts et discours en mode périodique, 2019
L'Observatoire, 2014
Las Torres de Lucca, 2020
Malika Combes, Igor Contreras Zubillaga, Perin Emel Yavuz (eds.), À l'avant-garde! Art et politique dans les années 1960 et 1970, Brussels, Peter Lang, 2013