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L’Orientation Phénoménologique. Essai de phénoménologie appliquée. Intervention au CIO de Clermont-Ferrand (63) auprès des Psychologues de l’Éducation Nationale (2018).
Psychiatry and Clinical Neurosciences, 1987
The following article attempts to introduce a coupled analytical method simultaneously based on "Daseinsanalyse" and "Schicksalsanalyse" that we call "phemenological analysis of fate." One instance of its use is presented here concerning a young French woman who has been hospitalized for a month in a private Japanese hospital before being repatriated to France. During her hospitalization she went through three different phases that we analyse, first according to Schicksalsanalyse, then to Daseinsanalyse and finally from the point of view of the combined approach. Before doing so we present the foundaments of the "phenomenological analysis of fate" showing how it can complement the above methods used separately. We conclude the article by pointing out that this analytical method is mainly descriptive and that its insight can allow a more specifically adapted therapeutic help.
Les neurosciences et la philosophie de l'action, 1997
PERTINENCE NEUROPHYSIOLOGIQUE D'UNE PHÉNOMÉNOLOGIE DE L'ORIENTATION Jean-Luc Petit Université des Sciences Humaines de Strasbourg En moi se constitue (...) le monde infini, dans la spatio-temporalité objective duquel je suis un être humain insignifiant, qui ...
Psychologie Française, 1999
La psychologie a un objet d'étude à double face, une face manifeste, comportementale, publique se prétant assez bien aux contraintes des sciences naturelles et une face privée, subjective (auquel le sujet est le seul à avoir accès sur le mode expérientiel, ce qui définit le point de vue en première personne) que cette discipline a tout fait depuis un siècle pour ne aborder, en essayant de disqualifier toute approche directe de type introspective (Vermersch 1998). Or cette dimension expérientielle, revient comme une question fondamentale dans les publications récentes, dans la mesure où elle se confond avec la conscience phénoménologique et que ce thème se traduit à l'heure actuelle par un véritable boom éditorial, par la multiplication de nouvelles revues, par d'innombrables colloques et plus encore comme le lieux de rencontre privilégié de toutes les disciplines qui composent les sciences de l'esprit : neurophysiologie, philosophie, psychologie cognitive, lingustique, psychiatrie, Intelligence Artificielle etc ... Au point, que l'on peut se demander, si ce que la psychologie a rejeté de son domaine ne va pas faire le bonheur d'autres chercheurs, moins encombrés des peurs de ne pas être reconnue comme une vraie science, qui habitent la psychologie depuis ses débuts. Dans de nombreuses publications récentes relatives à la conscience, les auteurs signalent, la nécessité d'une articulation entre niveau sub-personnel ou computationnel et niveau phénoménologique (par exemple : soulignent l'importance de la prise en compte de l'expérience subjective, des qualias et certains vont mettre l'accent sur la nécessité de de mobiliser l'introspection (Pesoa 1998, Block 1995) et même sur sa nécessité ethique (Howes 1991, Varela 1996a). Bref, un ensemble d'auteurs (avec de grandes diversités) plaide pour la prise en compte d'un niveau d'analyse le niveau de ce qui apparait au sujet, donc un niveau phénoménologique, d'un objet d'étude particulier relevant typiquement de ce niveau : l'expérience subjective ; et d'une méthodologie susceptible de permettre d'y accéder : l'introspection, qui désigne globalement à la fois le geste réflechissant et la description verbalisée du contenu réfléchi (cf Depraz, Varela, Vermersch en préparation). Cependant, pour la majorité des auteurs, alors que leurs écrits comportent un luxe de bibliographie en ce qui concerne la psychologie cognitive, les neurosciences, la clinique neuro pathologique ou la philosophie de l'esprit, en revanche, quand il s'agit du niveau phénoménologique, on ne trouve plus guère de références, et quand c'est l'introspection qui est évoquée on n'en trouve quasiment plus aucune, il ne reste guére que du prêt à penser . De plus, tout se passe comme si adversaires et tenant du niveau phénoménologique n'éprouvaient aucune difficulté à citer un exemple issu de leur expérience personnelle. A l'heure actuelle, dans l'ensemble des publications, tout se passe comme si mobiliser le niveau de la description phénoménologique ne posait aucun problème méthodologique.
Les Cahiers philosophiques de Strasbourg, 2015
Winston Churchill, qui cherchait toujours, quand il se trouvait en France, à donner l'impression qu'il appréciait beaucoup la langue et la culture française, a commencé un jour un discours portant sur son passé de la manière suivante : « Quand je regarde mon derrière, je vois que c'est divisé en deux parties ». Pour prévenir tout soupçon d'exhibitionnisme, je voudrais vous assurer tout de suite que ce que j'espère vous montrer, sinon démontrer, se divise non pas en deux mais en trois parties ; une première partie, assez facile, une deuxième partie, pas trop diicile, et une troisième, assez diicile. Tout d'abord, j'espère pouvoir montrer que Husserl lui-même reste l'ennemi tenace de toute naturalisation de la phénoménologie : partie A, assez facile. Puis, je vais tenter de procéder au renversement du mouvement de « naturalisation », thème de ce colloque, dans le sens d'une certaine forme de « spiritualisation » en deux étapes : prenant appui sur l'ambition husserlienne d'idéalisation (partie B, pas trop diicile), je réinterpréterai cette idéalisation comme spiritualisation dans le sens de ma propre philosophie ontologique : C. La grande diiculté de cette troisième partie, c'est que je serai obligé de vous inliger un cadre conceptuel qui ressort de ma propre façon de faire la phénoménologie, dont vous n'avez certainement jamais entendu parler. A/ Commençons avec la partie la plus facile. On sait que le mot utilisé par Husserl pour identiier et condamner une attitude non philosophique, était le mot « naturel ». L'attitude naturelle, c'était cette attitude qui prenait, comme allant de soi, le monde de notre comportement habituel, de notre expérience journalière, y compris celui de notre recherche scientiique. Dès ses premiers écrits sur l'arithmétique
Annales de Phénoménologie N°18/2019, 2019
In this paper, we want to show how the text "What does it mean to orient oneself in thinking? (1786) preludes a phenomenology of feeling.
Le projet phénoménologique naît d'une conscience de crise, c'est-à-dire, de séparation. Dans presque tous les domaines, la connaissance humaine se trouve dans une situation inédite : d'une part, elle n'a jamais connu une telle exactitude au sujet de ce qu'on appelle la « nature » ; d'autre part, cette exactitude n'a jamais semblé plus étrangère aux soucis les plus intimes et terribles de l'homme, à ses espoirs métaphysiques légitimes, ou à un quelconque fondement rigoureux de sa vie éthique, morale, politique, ou esthétique dans une objectivité semblable à celle qui fonde les sciences de la nature. La conscience de séparation à laquelle il s'agit de faire face est donc celle d'une unité perdue entre la science ou la connaissance objective et le sentiment subjectif de déchirure né d'une dislocation ressentie par l'homme face à la disharmonie entre cette ordre objective et l'ordre que son ressenti semble, de manière injustifiée, appeler de ses voeux, et qui saurait le situer par rapport à l'ordre objectif qu'il découvre. Cette déchirure se manifeste historiquement dans la polarisation des sciences en deux domaines étanches l'un par rapport à l'autre que sont les Naturwissenshcaften et les Geistwissenschaften, une division qui se manifeste par le face-à-face réactif des deux doctrines auxquelles la phénoménologie avait à faire face : le naturalisme ou le positivisme, et le relativisme ou la philosophie de la Weltanschauung. Même si Husserl fait remonter la paternité de cette déchirure à la décision galiléenne, hobbesienne, et cartésienne de mathématiser la nature et, simultanément, de considérer que ne peut être véritablement connu objectivement que ce qui est susceptible d'une mathématisation, le reste relevant de l'intériorité purement subjective, la crise actuelle de la science remonte plus immédiatement à la limitation kantienne du domaine de l'objectivité au seul domaine de l'expérience sensible, relative pourtant à l'homme et à ses facultés.
La Phénoménologie à plusieurs voix, 2008
L’article est une lecture de l’Introduction de la Phénoménologie de l’esprit et examine la manière dont Hegel présente la relation entre le savoir apparaissant et la pensée philosophique. L’hypothèse défendue est la suivante : d’un côté, pour Hegel la philosophie spéculative se distingue de la philosophie critique en ce qu’elle ne fait pas de la dénonciation des savoirs inadéquats un préalable mais la substance même de la philosophie. De l’autre, le progrès phénoménologique n’est pas dû à l’intervention du philosophe mais obéit à une règle strictement immanente.
In : J. Farges & D. Pradelle (éds.), Husserl : Phénoménologie et Fondements des sciences, Hermann, 2019, p. 45-62., 2019
In : J. Farges & D. Pradelle (éds.), Husserl : Phénoménologie et Fondements des sciences, Hermann, 2019, p. 45-62.
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Posada Varela, Pablo, "Essai pour un introduire en phénoménologie le concept de spectre phénoménologisant", in Annales de phénoménologie nº17, 2018, pp. 239-281., 2018
Intellectica, 2004
La Lettre Du Psychiatre, 2005
in C.J. Gill et Fr. Renaud (éd.), Hermeneutic Philosophy and Plato : Gadamer’s Response to the Philebus, Sankt Augustin, Academia Verlag, 2010
Revue germanique internationale, 2016
L'Orthodontie Française, 2005
Revue européenne des sciences sociales, 2009
implications philosophiques, 2022
Philosophie (Editions de Minuit), 2015